krolik a écrit :Les questions énergétiques sont essentielles...
Je suis bien d'accord.
Ouf. Enfin, tu as lu mes messages lentement, en en comprenant le sens... Merci, krolik !
krolik a écrit :
Alors pourquoi ne réclamez vous pas un débat sur le pétrole et sur le gaz, et au besoin sur l'hydraulique ???
Je ne fais que cela sur Oleocene, depuis mon inscription (2006). Si tu as le courage, tu reliras mes 4 000 messages, notamment sur ceux concernant la "transition énergétique" et donc, de la "descente énergétique". Sinon, et je comprends que tu n'as pas le temps, tu te rendras compte que ta remarque est donc sans objet, voir déplacée.
Le débat doit mettre tout sur la table : le pétrole, le gaz (gaz et huile de schistes compris), le charbon, les renouvelables, et ... il faut le dire, l'uranium. Le nucléaire n'est pas une exception. Surtout en France.
Ma posture est probablement la plus honnête pour toutes les énergies : faire ses choix en connaissance de causes, démocratiquement.
krolik, je suis beaucoup plus critique sur le fossile que je ne le serais jamais sur le nucléaire. Tu veux une preuve : j'ai déjà manifesté contre le fossile, et encore jamais contre le nucléaire.
Mais ce que je vois, c'est que tu défends férocement une énergie, avec sectarisme. C'est ce qui te fait penser ce que tu écris. Je ne t'en veux pas, mais tu clives le débat : en refusant un débat aussi sur le nucléaire, tu défends une chapelle, ... en évitant de prendre la question sur sa globalité. Mais je sais que tu peux avoir l'intelligence de prendre de la hauteur.
Car il n'en reste pas moins que la question du débat sur les énergies restent fondamental au XXI eme siècle.
krolik a écrit :
la discussion sur la centrale Japonaise est une sodomisation des diptères au vol, comparativement aux effets du seisme et du tsunami combinés.
Ce n'est pas moi qui est séparé les 2, mais un modo : pour moi, la catastrophe japonaise est un tout.
Etape n°1 : Les africains nomment le pétrole : la "merde" du diable.
Etape n°2 : Restons cool, le
PO arrive...
Etape n°3 : "Mais à cet endroit, en ce moment, l'humanité, c'est nous, que cela nous plaise ou non", Samuel Beckett