Modérateurs : Rod, Modérateurs
En tout cas pour le LEAP, cet avis n'est absolument pas partagé. Pour eux ce sont les anglo-américains qui vont faire défaut d'ici la fin de l'année! Qui a raison, qui a tort. Bien malin qui saura anticiper...rico a écrit :La faillite de l'Europe ne fait aucun doute. La question c'est quand? Tous à vos paris!
J'en sais rien par contre j'ai bien aimé une remarque de l'historien Jean Tullard invité chez Taddéi la semaine dernière. Il faisait une comparaison entre aujourd'hui et l'époque de la révolution de 1789 (à savoir que l'état monarchique avait un très grave problème de dette, déjà!), et bien ceux qui s'en sortirent le mieux des troubles révolutionnaires sont ceux qui possédaient de la terre et de l'immobilier, du concret quoi! Tout ceux qui ont investit en action et surtout en bonds du trésor étaient ruinés!rico a écrit :Je crois qu'au final la planète entière va faire faillite non?
(Reuters) - Greece will probably default but will not leave the euro zone, Fitch credit ratings agency said on Tuesday, as pressure increased on the Greek government to push through with fiscal reforms.
International lenders told Greece on Monday it must shrink its public sector to avoid running out of money within weeks.
While widely expected, a Greek default would further unsettle already nervous financial markets, fuelling fears a precedent had been set for other struggling euro zone states and sending yields on other peripheral bonds sharply higher.
However, Fitch did not expect Greece to leave the euro zone, as some in markets have speculated in recent weeks.
"Concerns over the risk of a break-up of the euro zone are greatly exaggerated," David Riley, Fitch's head of global sovereign ratings said in a news release.
Fitch also said it did not expect any systematically important financial institution or sovereign to be allowed to default.
Contagion fears have put the spotlight on Italy and Spain's finances and yields on their benchmark bonds remain high despite austerity measures and regular European Central Bank purchases in the bond market over the past month.
Standard & Poor's, another ratings agency, cut Italy's credit ratings on Monday, pushing the Italian yield spread over Germany wider.
Worries the crisis could spread have also put pressure on larger euro zone economies such as France, whose banks are heavily exposed to peripheral debt.
http://in.reuters.com/article/2011/09/2 ... 4320110920
On dirait que le FMI a du mal a estimer le PIB grec. Il n'est pas le seul.Grèce: le FMI relève sa prévision de dette à 189% du PIB en 2012. L'organisation monétaire internationale relève sa prévision pour le pic de la dette publique de la Grèce à 189% du produit intérieur brut en 2012, contre 172% dans sa dernière projection datant de juin. Le FMI a indiqué qu'il tenait compte d'ajustements comptables, mais que ce chiffre ne changeait pas son point de vue sur le pays, avec lequel il discute depuis fin août des conditions du versement d'une sixième tranche d'un prêt de 30 milliards d'euros qu'il a accordé en mai 2010.
http://www.leparisien.fr/crise-europe/e ... 616864.php
Pas facile à anticiper en effet. Aux USA, le niveau d'imposition est plus faible qu'en europe, donc à p^riori ils ont plus de marge que nous pr les augmenter... Mais j'ai l'impression que l'hostilité de l'opinion publique à toute hausse d'impot est plutôt plus forte qu'en europe.batista a écrit :En tout cas pour le LEAP, cet avis n'est absolument pas partagé. Pour eux ce sont les anglo-américains qui vont faire défaut d'ici la fin de l'année! Qui a raison, qui a tort. Bien malin qui saura anticiper...rico a écrit :La faillite de l'Europe ne fait aucun doute. La question c'est quand? Tous à vos paris!
et puis la crise n'affecte pas tout le monde ni tous les secteurs de la meme façon. 
http://www.courrierinternational.com/ar ... -financier– réduction des salaires et des retraites atteignant jusqu’à 30 % ;
– baisse du salaire minimum à 600 euros ;
– hausse des prix draconienne au cours des quinze derniers mois (fioul domestique : + 100 % ; essence : + 100 % ; électricité, chauffage, gaz, transports publics : + 50 %).
Sur les 165 000 commerces, 30 % ont fermé leurs portes, 30 % ne sont plus en mesure de payer les salaires.
En attendant le krach, les banques encaissent des intérêts copieux… On invente de nouvelles taxes. Ainsi, pour déposer une plainte au commissariat, il faut payer sur-le-champ 150 euros. Dans le même temps, les policiers sont obligés de se cotiser pour faire le plein de leurs voitures de patrouille. Un nouvel impôt foncier, associé à la facture d’électricité, a été créé. S’il n’est pas payé, l’électricité du foyer est coupée. Depuis plusieurs mois, les écoles publiques ne reçoivent plus de manuels scolaires, l’Etat ayant accumulé d’énormes dettes auprès des maisons d’édition. On ignore comment les écoles – surtout celles du Nord – vont régler leurs dépenses de chauffage. [...]
Tous les acquis sociaux des dernières décennies ont été pulvérisés.
