C'est facile d'avoir les taux immobiliers en France environ 4.2 % sur 20 ans.
http://credit-immobilier.meilleurtaux.com/
Mais quels sont-ils en Europe ?
L’Espagne
L’Italie
L’Allemagne
L'Angleterre
La Belgique
et la Grèce

Modérateurs : Rod, Modérateurs
Ah tu es un emprunteur "de qualité"Raminagrobis a écrit :Moi j'ai eu 3.21%, mais je n'empruntais que sur 13 ans, et seulement 55% du prix de mon appartement (45% de mis de fonds).
Standard and Poor's prévoit une baisse de l'immobilier en France en 2012
Par A.C., le 15 décembre 2011 à 07h25 , mis à jour le 15 décembre 2011 à 07h32
L'agence de notation prévoit pour 2012 une baisse de 5 à 10% des prix de l'immobilier en France, estimant qu'ils avaient trop augmenté dans un contexte de crise économique. Mais pour la zone euro, une "légère récession" est à l'horizon.
Bonne nouvelle pour les acheteurs, moins bonne pour les vendeurs et la conjoncture économique de la France. L'agence de notation Standard and Poor's prévoit une baisse des prix de l'immobilier dans l'hexagone de 5 à 10% en 2012, estimant qu'ils avaient trop augmenté dans un contexte de crise économique. L'économiste en chef de S&P pour l'Europe, Jean-Michel Six, a indiqué dans ne note sur "les perspectives du crédit dans le monde en 2012" que l'évolution des prix de l'immobilier en France avait été "un peu un mystère" cette année.
."Depuis le début de la crise, on aurait pu s'attendre à voir les prix se stabiliser mais, en fait, il ne l'ont fait que provisoirement et ont commencé à augmenter de nouveau", a-t-il relevé. "Les prix des logements en région parisienne ont grimpé de 18% sur les douze mois jusqu'en septembre 2011, ce qui est un taux très inquiétant dans un contexte de ralentissement économique et de chômage élevé. Donc la France est un peu une exception", a-t-il poursuivi.
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Effectivement, c'était en Février 2011, ça doit être le moment de plus faibles taux depuis 1945 ^^La banque c'est la bnp, mais j'avais des offres équivalentes dans deux autres.Flora a écrit : Ah tu es un emprunteur "de qualité"
Nous, le courtier vient de nous proposer 3,8% (sur 15 ans) alors qu'on apporte 55%.... on devrait avoir encore un meilleur taux que toi !!![]()
quelle est ta banque ? et quand as-tu obtenu ton prêt ? (je suppose que dans la conjoncture, 1 mois d'écart ça peut jouer... ?)
Et le point d'indice de la fonction publique a augmenté de 12% depuis 1997paradigme a écrit :Immobilier : le prix de l’ancien multiplié par 3 depuis 1997 (Graphique Crédit Agricole)
Les propriétaires ne feront plus de travaux dans les logements et investiront ailleurs, a fait valoir M. Apparu.
"Quand vous avez un propriétaire qui 'gagne' comme rapport locatif 800 euros par mois et que vous lui dites 'non ce n'est plus 800 euros, c'est 700 euros', est-ce que vous croyez vraiment qu'il va continuer à faire des travaux dans son logement ?", a-t-il demandé.
En outre, le propriétaire va dire "je vais vendre mon logement et investir mon argent ailleurs. La conséquence sera catastrophique", a-t-il prédit.
J'imagine bien celui qui fait payer sans scrupule, à Paris, 30 ou 50 euros/mois/m² de loyer, réinvestir avec enthousiasme dans la construction...ans la construction de quoi? alors qu'il n'y a pas de place.La très grande majorité des professionnels de l'immobilier marque son opposition à la proposition du Parti socialiste de plafonner le montant des loyers, une mesure qui suscite pourtant l'espoir des associations de consommateurs.
"Le parti socialiste essaie de régler le problème des loyers en s'attaquant aux conséquences, non pas aux causes, à savoir le manque chronique de logements neufs", déplore auprès de l'AFP Serge Ivars, président de l'Unis (Union nationale des syndicats de l'immobilier) qui regroupe 4.500 administrateurs de biens, agents immobiliers et marchands de biens.
"Pour stopper l’envolée des loyers, nous plafonnerons leur montant lors de la première location ou à la relocation, notamment dans les zones de spéculation immobilière", indique le projet du PS pour l'élection présidentielle de 2012 présenté mardi.
Pour René Pallincourt, président de la Fnaim (Fédération nationale immobilier), "il faut lutter contre l’encadrement des loyers en secteurs tendus car sinon, il n’y aura plus d’investissement locatif où la demande est forte".
Personne n'a parlé de ces villes-là"Les socialistes ne sont pas du tout dans le coup sur les loyers. Dans de nombreuses villes comme Dijon, Besançon, Clermont-Ferrand, Saint-Etienne, Niort, Belfort, Pau, les propriétaires privés seraient très heureux de voir leurs loyers maintenus car pour le moment ils sont à la baisse", indique Jean Perrin, président de l'Unpi (Union nationale de la propriété immobilière) qui revendique 250.000 adhérents.
Ben voyons.Selon M. Perrin "les loyers ont augmenté en 2010 plus vite dans le parc public que dans le parc privé (2,60% contre 1%). C'est l'augmentation des charges (chauffage, électricité) qui est est le vrai problème".
Ha oui, on imagine bien ces bailleurs philantropes, après avoir pratiquer des loyer indécent, investir dans la construction pour que d'autre puissent être logés... alors qu'il n'y a nulle part de la place à Paris."En plafonnant les loyers à la relocation, on risque de décourager les propriétaires qui avaient calculé la rentabilité de leur logement. On risque de revoir dans les grandes villes des files d'attentre devant les rares logements à la location qui seront disponibles", affirme Laurent Vimont, président de Century 21, un des principaux réseaux d'agences immobilières.
M. Vimont souligne un phénomène qui se développe rapidement à Paris: la location saisonnière, notamment pour les étrangers, qui échappe à toute réglementation concernant les loyers.
"Le blocage des loyers à la relocation, on l'a déjà fait. C'est un dispositif qui ne fonctionne pas", affirme de son côté Didier Ridoret, président de la Fédération française du bâtiment.
Pour M. Ridoret "cela fait peur aux investisseurs. On va diminuer la construction alors qu'au contraire on a besoin de logements neufs".
soit presque personne, évidemment.Les seules à être en faveur d'une telle mesure sont les associations de consommateurs et de locataires.
http://www.boursorama.com/actualites/im ... 42031c5a1bImmobilier : l'apport personnel demandé par les banques multiplié par trois depuis 2009
L'apport personnel nécessaire à l'achat d'un logement en France a pratiquement triplé (+185%) entre début 2009 et fin 2011, a calculé en exclusivité le réseau d'agences Century 21 pour le quotidien Le Parisien/Aujourd'hui en France.
D'après les chiffres de Century 21 publiés ce 4 janvier, l'apport personnel moyen demandé par les banques pour financer un projet d'achat immobilier atteint 42.977 € fin 2011, soit 21% de la valeur moyenne d'un logement dans l'Hexagone (205.177 €). Trente-six mois plus tôt, début 2009, il suffisait de disposer de 8% de la valeur du bien (15.055 € pour un prix d'achat moyen de 178.655 €).
En Ile-de-France, où les prix sont globalement plus élevés, l'apport est passé en trois ans de 22% (47.416 €) à 33% (79.745 €) de la somme totale. Le prix d'achat moyen est passé de 211.016 € à 241.945 € (+14,7%). A Paris même, il faut désormais disposer de plus de la moitié de prix d'achat afin de concrétiser son projet. 58% des 382.129 € moyens sont demandés par les banques, soit 219.929 €. Début 2009, l'apport moyen ne s'élevait qu'à 137.659 €, soit 46% du prix moyen du logement fixé à 301.259 €.
Laurent Vimont, président de Century 21, analyse cette envolée par des taux bas qui ont encouragé les vendeurs à proposer des prix plus chers. Une situation qui a pour conséquence d'exclure les classes moyennes de l'accès à la propriété, ajoute-il au Parisien/Aujourd'hui en France.
Pourquoi la fin du AAA va réduire d'un tiers le marché de l'immobilier français
La perte par la France, vendredi soir, de sa signature AAA, a fait une première victime : le marché de l’immobilier. Depuis plusieurs semaines déjà, les taux d’intérêts français, et notamment celui de l’Obligation d’état à dix ans, l’OAT (3,1% ce lundi), ont augmenté en prévision de la décision de l’agence Standard & Poor’s. Or, c’est ce taux de l’OAT qui sert de référence aux prêts à taux fixe octroyés par les banques.
Conséquence : depuis quatre mois, les taux immobiliers ont déjà augmenté de 0,2 à 0,3 point, passant de 3,90 à environ 4,20%. Mais il faut s’attendre, avec cette dégradation de la France, à une nouvelle vague de hausse des taux, qui "pourraient s’apprécier, d’ici fin juin, de 50 points de base, soit des taux moyens autour de 4,70% sur 20 ans versus 4,20% aujourd’hui" explique par exemple Maël Bernier, porte-parole du courtier en crédit Empruntis. Entre ces 4,7% attendus en juin prochain et les 3,20% atteints en mars 2011 (le taux le plus bas de la décennie), les crédits auront donc subi une hausse de… 45%.
Disparition probable d’un tiers des acheteurs
Cela aura deux conséquences pour le marché de l’immobilier. La première, la plus importante, c’est la disparition d’un certain nombre d’acquéreurs potentiels. Déjà au cours de l’année passée, avec le passage des taux immobiliers de 3,20% à 4,20%, près de 20% des acheteurs potentiels avaient été exclus du marché de l’accession, car l’augmentation de la mensualité qu’avait entrainée cette hausse des taux les faisait dépasser la barre des 30% d’endettement exigés par les banques.
Une nouvelle hausse de 0,5 point des taux immobiliers, qui les porterait à 4,70%, en exclurait une dizaine de pourcents supplémentaires. Ce qui veut dire qu’en dix-huit mois, près d’un tiers des acheteurs potentiels d’un logement auront disparu du paysage. Cela nous amène à la seconde conséquence de cette perte du triple A : une réduction équivalente, c'est-à-dire d’un peu moins d’un tiers, du marché des transactions immobilières, qui passerait donc d’un peu moins d’un million de transactions (neuf, ancien, maisons individuelles) l’an dernier à moins de 700.000 cette année.
C’est d’ailleurs sur cette base d’une réduction d’un tiers que les promoteurs font actuellement leurs prévisions pour 2012 puisqu’ils s’attendent à passer de 100.000 ventes l’an dernier à environ 60 000 cette année…
Du coup, le volume des prêts aux particuliers, qui avait commencé à décélérer il y a quelques mois, pourrait carrément plonger. "Les montants de crédits accordés en 2012 devraient chuter de 16% par rapport à 2010 pour tomber aux alentours de 130 milliards, pas loin des 120 milliards de 2009" s’inquiète ainsi Michel Mouillart, professeur d’économie à l’Université de Paris-Ouest…
Le marché des transactions n’étant plus alimenté par un flot aussi important d’acheteurs, cela pourrait entraîner une accélération de l’ajustement des prix dans toutes les villes de province –environ deux sur trois- qui ont déjà connu une chute des prix de 3 à 6% l’an dernier.
Comment faire face à cette hausse des taux
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