Il commence mal cet article.matthieu25 a écrit :L'éloignement relatif du spectre des famines a ainsi relégué momentanément au second plan la question démographique.
Plus de 9 millions d’humains meurent de faim chaque année, soit 25 000 par jour.
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Il commence mal cet article.matthieu25 a écrit :L'éloignement relatif du spectre des famines a ainsi relégué momentanément au second plan la question démographique.
Et toi, tu es bien né de quelque part.T'aurais préferé ne pas être né?rico a écrit :Fallait pas faire des gosses. Faut pas venir pleurer après....
C'est quoi ces conneries ?akochan a écrit :De toute façon avec Hollande pas de problème. Il compte inciter encore plus les femmes à tuer leur bébé dans leur ventre et il compte exterminer les vieux...joli programme....
lorsque tout est fait pour le bien-être des gens, en particulier quand on parvient à juguler les douleurs, les gens ne demandent pas à mourir. On accompagne donc en douceur jusqu'au bout, humainement. ça demande du temps, du personnel. Il faut être à 2 pour la toilette, sans se presser, histoire d'y aller en douceur. malheureusement les impératifs du service, quand on est peu de personnel pour beaucoup de travail, nous empêchent dans beaucoup de cas de faire le boulot correctement (donc dans la plupart des services autres que les palliatifs). L'accompagnement, l'humanité, c'est pas compatible avec le "rendement". Pour les familles pressées de toucher l'héritage, on les voit venir de loin avec leurs gros sabots.........comme ces neveux venus faire signer des chèques en blanc au tonton attaché car il arrachait les tuyaux qui le maintenaient en vie...."recommence ! ils vont refuser à la banque ! "akochan a écrit :Bon les liens ont été donné. Merci à Théotrace. J'ai une tante qui est morte d'un cancer généralisé et qui à fini dans un centre de soin palliatif à Paris.Je pense que Ticaribou sait ce qu’est ce genre de centre et le personnel hospitalier est remarquable pour accompagner les malades en phase terminale et leur famille C'était un cadavre vivant dans les derniers jours mais elle na pas demander à ce qu'on l'achève.Plutôt que de légaliser l'euthanasie je pense qu'il faudrait développer ce genre de centre. Je ne sais pas ce que je ferais dans le même cas, mais si je deviens vieux et malade je ne tiens pas spécialement à ce qu'on m’achève. J'ai peur que dans certains cas il y ait des abus pour des problèmes d'héritage. Concernant l'avortement, nous ne pouvons malheureusement pas avoir d'enfant, raison pour laquelle ce sujet de l'avortement me touche particulièrement...
"De l'inconvénient d'être né" Emile Cioran.Et toi, tu es bien né de quelque part.T'aurais préferé ne pas être né
http://www.boursorama.com/actualites/un ... edc66e008bUne planète trop peuplée en 2050? Une "peur infondée" pour Hervé Le Bras :
La planète n'a-t-elle vraiment pas les moyens de subvenir aux besoins des quelque 9 milliards d'humains attendus en 2050? Cette "peur" grandissante est "infondée" pour le démographe Hervé Le Bras qui estime que l'accès à la nourriture ou à l'eau est d'abord une question de partage.
"Cette peur fait partie d'une argumentation idéologique des pays riches pour ne pas considérer les problèmes chez eux et les rejeter sur les pauvres", affirme à l'AFP l'auteur de "Vie et mort de la population mondiale" (Le Pommier), ouvrage qui ressort vendredi dans une version actualisée.
Alimentation, accès à l'eau et aux ressources énergétiques: la planète paraît toujours plus étriquée pour répondre aux besoins croissants d'une population mondiale passée de 2 milliards en 1930 à 4 milliards dans les années 1970 pour franchir fin 2011 le cap de 7 milliards, selon les prévisions de l'ONU.
Une hausse qui devrait se poursuivre jusqu'au milieu du 21e siècle avec des projections moyennes tablant sur 9,3 milliards de Terriens vers 2050.
"Mais il y a une hypothèse basse intéressante qui amène le monde à 8 milliards avec un plafonnement", dit Hervé Le Bras, directeur d'études à l'École des hautes études en sciences sociales (EHESS) à Paris.
"L'idée commence à se faire que la population atteindrait un maximum dans un délai pas tellement lointain", remarque ce spécialiste reconnu des questions démographiques.
"Et ce qui est intéressant, c'est l'évolution du taux de croissance de la population: depuis 1970, ce taux diminue régulièrement. Il était de 2,1% par an en 1970, son maximum, et est maintenant d'environ 1%", précise-t-il, rappelant la difficulté d'anticiper précisément les évolutions en la matière.
Bétail et biocarburants
"Par exemple pour l'Iran, en 1994, l'ONU prévoyait 180 millions d'habitants en 2050, aujourd'hui, elle n'en prévoit plus que 85 millions. La fécondité a commencé à baisser en Iran en 1985 et on n'avait pas intégré que cela n'était pas une baisse temporaire", explique-t-il. "La fécondité y est aujourd'hui inférieure à celle la France."
"La baisse est presque aussi spectaculaire pour le Maroc et l'Algérie."
A cet égard, estime-t-il, le passage de 7 milliards d'habitants, aujourd'hui, à 8 ou 9 milliards dans trois ou quatre décennies serait "tout à fait gérable" en termes de quantités globales de nourriture ou même d'eau.
Son inquiétude concerne davantage "les conditions du partage".
Pour l'alimentation, par exemple, "si on prend les données de la FAO (l'agence de l'ONU pour l'alimentation et l'agriculture), on voit bien que la production agricole a augmenté plus vite que la population."
"Il y a donc en principe assez à manger pour tout le monde, mais l'utilisation de cette production a beaucoup changé", remarque-t-il.
Car les terres agricoles ne servent plus seulement aujourd'hui à nourrir les humains mais aussi, de plus en plus, à cultiver des céréales à destination des bétails ou pour produire des biocarburants.
"Au fur et à mesure que le prix du pétrole va augmenter, cela va devenir de plus en plus intéressant pour les agriculteurs de se diriger vers la filière éthanol plutôt que la filière nourriture", affirme le démographe.
"Plus que le niveau global, c'est la mécanique interne, la répartition des prix, qui va être difficile à gérer dans les années à venir."