[Maritime] Le transport maritime mondial

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Mieux étudier les navires pour prévenir les marées noires

21 Fev 2012 univers-nature.com

Le 6 février dernier, l’Association de la sécurité passive embarquée (MPS) publiait une étude de cas sur le « Rena », navire porte-conteneur échoué sur le récif de l’Astrolabe, au large des côtes de la Nouvelle-Zélande, le 5 octobre 2011. Celui-ci transportait alors à son bord 1712 tonnes de pétrole et 1368 conteneurs. Lorsqu’il heurta le récif, près de 350 tonnes de pétrole se déversèrent immédiatement, polluant un écosystème fragile et tuant des milliers d’oiseaux marins. Mais ce que l’étude a permis de mettre en évidence est le « cauchemar logistique » auquel ont été confrontées les équipes de sauvetage au cours des 36 jours qui suivirent l’accident, aggravé par une météo chaotique. Le basculement progressif du navire et la perte d’une digue de retenue d’eau ont notamment contraint à intégrer toujours plus de personnel et d’équipements, générant des coûts croissants.

Or, selon la MPS, le Système FOR (Fast Oil Recovery) aurait permis de réduire de moitié le coût de cet incident. Développé par le JLMD Ecologic Group, cet équipement de sécurité « passive » embarquée permet aux équipes d’intervention d’accéder plus rapidement aux réservoirs de pétrole et de carburant. En effet, il est conçu pour atteindre les citernes de charge et à combustible, rendues accessibles grâce à des connecteurs reliés au pont supérieur du navire par exemple. Ne nécessitant pas d’entretien particulier, ce dispositif fonctionne avec n’importe quel type de polluant liquide. Il est, en outre, compatible avec les navires neufs comme avec les bateaux déjà en service.

Alors que l’industrie maritime continue de croître, à la faveur de nouveaux navires toujours plus imposants, les mesures anti-pollution semblent exclues de cette course à la performance.
La multiplication des accidents en atteste. Selon Gilles Longuève, Président de la MPS et Directeur général du JLMD Ecologic Group, le plus grand défi reste à convaincre les propriétaires et les exploitants de navires de « changer leur manière d’aborder et de se préparer à ce type d’évènements malheureux ».

Cécile Cassier

1- Créée par « les principales parties prenantes de l’industrie », l’association se définit comme une organisation sans but lucratif. Elle vise à sensibiliser au problème de la pollution maritime accidentelle et travaille à la mise en avant de solutions de prévention.

http://www.univers-nature.com/inf/inf_a ... gi?id=5037

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Chine : Le plus grand porte-conteneurs du monde en direction du Brésil

Le plus grand porte-conteneurs en vrac (DWT), construit en Chine a levé l'encre pour le Brésil, a annoncé le constructeur jeudi.

L' énorme transporteur de minerai (VLOC) «Gemma» mesurant 330 m de long et 57 m de large, pèse 151,915 tonnes et est capable de transporter 313.000 tonnes de charge, indique un porte-parole de la construction navale de Dalian Industry Co. Ltd Saïd.

Il a fallu 15 mois pour construire le plus grand cargo porte-conteneur en vrac, indique le porte-parole et précise que le 16 février, avant de partir pour le Brésil, le Gemma a été chargé de 5.300 tonnes de carburant, 200 tonnes de gazole léger, de 1,012 barils d'huile de graissage ainsi que d'autres fournitures.

"Sa construction indique que la capacité de construction navale de Dalian a atteint le plus haut niveau dans le monde," a ajouté le constructeur.

La Grèce, le Japon et la Chine sont les trois principaux constructeurs de vraquiers dans le monde.

Source: le Quotidien du Peuple en ligne

http://french.peopledaily.com.cn/Economie/7739396.html

Il y a un probléme de traduction, la ou ils disent ''cargo porte-conteneur en vrac'' il faut évidemment lire ''vraquier''.

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Les métamorphoses du Costa Allegra

Avant de devenir un paquebot portant les couleurs de Costa Croisières, le Costa Allegra a commencé sa vie comme porte-conteneurs

lire ici : http://www.lefigaro.fr/environnement/20 ... llegra.php



Bon, la présentement il fait pas le fier, en remorquage par un thonier Français.


http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-S ... picks=true

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Le Baltic Dry Index (BDI) pris dans les glaces : 647 ce matin.
http://www.bloomberg.com/apps/quote?ticker=BDIY:IND

Le printemps arrive.

Le Baltic Dry Index (BDI) remonte à 738.

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L'Environship de Rolls-Royce : Un navire vert et économique

07/03/2012 meretmarine.com

L'Environship, c'est la fierté des ingénieurs et architectes navals du centre Rolls-Royce d'Aalesund, en Norvège. « C'est un concentré de tout ce que l'on sait faire de mieux : du design à la propulsion au contrôle des émissions ». Odbjorn Eliassen, le patron de la division Navires Marchands de Rolls Royce, n'est pas peu fier. « L'Environship est plus qu'un nouveau type de navire, c'est un concept, une nouvelle façon de penser. Tout est réfléchi pour que le navire soit le plus économique et le plus efficace possible ». Nouvelle propulsion, avec un moteur Bergen au Gaz Natuel Liquéfié (GNL) et un système Promas couplant l'hélice et le gouvernail ; nouveau design, avec un très surprenant bulbe d'étrave perce-vague ; nouveau circuit électrique « hybride »... Tout a été repensé pour créer un nouveau navire qui puisse à la fois répondre aux futures réglementations en matière environnementale et aux exigences de flexibilité des armateurs.
Lors du salon Norshipping 2011, l'Environship a décroché le prestigieux prix du « meilleur design du futur ». Et à l'automne, une première commande de deux caboteurs pour la compagnie norvégienne Nor Lines construits dans les chantiers chinois Tsuji. Un deuxième contrat vient d'être annoncé pour un navire ravitailleur des fermes de poissons, commandé par l'armement norvégien Eidsvaag et qui sera construit dans les chantiers STX de Braatvaag, en Norvège.

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lire en entier http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=118959

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Wallenius Wilhelmsen baptise le plus gros roulier du monde

13 Mars 2012 meretmarine.com

7800 voitures, 227 mètres de long, 13 ponts, 11.3 mètres de tirant d'eau, 34 mètres de la quille au pont supérieur. Le Titania, de l'armement Wallenius Wilhelmsen, est le roulier de tous les superlatifs. Premier d'une série de quatre navires commandés par le groupe Wallenius Wilhemsen et construits par les chantiers coréens de Daewoo Shipbuilding and Marine Engineering, le roulier a été baptisé à Malte, où il est immatriculé, la semaine dernière.

http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=119034

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Les rochers Italiens sont fort peu acceuillant en ce début d' année


Echoué. Un pétrolier vide de 127 mètres de long s'est échoué samedi au large de la Sicile en raison des fortes rafales de vent de 70 km/h, des vagues de 8 à 10 mètres et d’une faible visibilité. Les 19 membres d'équipage du «Gelso M», qui se rendaient au terminal pétrolier d'Augusta pour embarquer du fioul, ont été secourus par deux hélicoptères des garde-côtes, appuyés par deux autres de la marine militaire et de l'aéronautique. Les autorités ont précisé que le navire, capable de convoyer du pétrole et du gaz, ne transportait aucune cargaison au moment de l'échouement. Une voie d'eau est signalée au niveau de la salle des machines et des préparatifs sont en cours pour tenter de dégager le bateau des récifs sur lesquels il s'est échoué. MARCELLO PATERNOSTRO

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Mise sur cale du premier ferry propulsé au GNL

15/03/2012 meretmarine.com

Les chantiers STX Finlande de Turku ont procédé, le 6 mars, à la mise sur cale du Viking Grace. Commandé par la compagnie finlandaise Viking Line, ce navire sera le premier grand ferry propulsé au gaz naturel liquéfié. Long de 214 mètres pour une jauge de 57.000 tonneaux, le futur navire, livrable en 2013, sera exploité entre la Finlande et la Suède, avec une certification Ice 1A Super pour la navigation dans les eaux glacées. Armé par 200 membres d'équipage, le Viking Grace comptera 880 cabines et pourra transporter 2800 passagers. Ses garages comprendront 1275 mètres linéaires pour les camions et un pont séparé pour les voitures, offrant 500 mètres linéaires supplémentaires.
Grâce à sa propulsion au GNL, ce ferry, présenté par STX comme « le navire le plus respectueux de l'environnement jamais construit », n'émettra pas de particules polluantes lorsqu'il utilisera sa propulsion au gaz.

Développée par le motoriste Wärtsilä, avec un système de gestion de l'énergie à bord fourni par ABB, celle-ci permettra au navire d'atteindre la vitesse de 22 noeuds. Pour le réapprovisionnement des cuves à GNL dans les ports, Viking Line a signé un accord avec la société AGA Gas. En dehors des avantages environnementaux indéniables de ce système propulsif innovant, l'adoption de moteurs fonctionnant au GNL sur les ferries constitue un enjeu économique majeur. Elle doit, en effet, permettre de réduire les coûts d'exploitation, mais apporte aussi une réponse aux projets de mise en oeuvre de nouvelles réglementations drastiques en matière de rejets polluants. Ainsi, l'Europe travaille actuellement sur l'adoption de l'annexe 6 de la convention internationale MARPOL, qui prévoit d'imposer, en 2015, des carburants désulfurés aux navires exploités en Manche, mer du Nord et Baltique.

http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=119055

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Les plus grands portiques du monde à Shangai pour les futurs 18.000 EVP

20/03/2012

Le terminal Shanghai Guandong International Container Terminal Co va prochainement être équipé des deux plus grands portiques au monde. Construits par ZPMC, les nouveaux portiques, livrés à la fin de l'année, pourront traiter les futurs porte-conteneurs de 18.000 EVP, avec une capacité de levage de 65t-150t, avec une hauteur de 48 mètres et une capacité de 70 mètres de débordement.

http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=119064

le futur porte-conteneurs de 18.000 EVP de Maersk (image de synthése)

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suite de ce post du 17 Janvier 2012 viewtopic.php?p=308564#p308564

Nouvelle Zélande: le pont du Rena quasiment vidé


crédits : MARITIME NEW ZEALAND

20/03/2012 meretmarine.com

Cela fait maintenant six mois que le porte-conteneurs Rena s'est échoué sur le récif de l'Astrolabe au nord de la Nouvelle Zélande. Après avoir résisté plusieurs semaines, il a fini par se casser en deux début janvier. Et les sauveteurs sont encore loin d'en avoir fini avec les deux bouts d'épave qui continuent à laisser échapper des fuites résiduelles d'hydrocarbures. L'énorme grue Smi Borneo est toujours à pied d'oeuvre pour débarquer les conteneurs du navire. Entre deux tempêtes, les sauveteurs ont réussi à presque débarasser la pontée du Rena. Restent maintenant les cales, qui s'annoncent très compliquées à vider.

http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=118960

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Fin des opérations de pompage sur le Costa Concordia



23/03/2012 meretmarine.com

Le pompage des soutes à combustible du Concordia devrait s'achever ce soir, a indiqué Costa Croisières. Les opérations, qui ont débuté le 2 février, ont mobilisé d'importants moyens, soit une vingtaine de bateaux et une centaine de personnes. En tout, 2400 m3 de carburant, en majeure partie du fuel lourd, ont été extraits de l'épave du paquebot, qui a fait naufrage le 13 janvier sur l'île du Giglio, en Italie.
D'ici la mi-avril, Costa Croisières doit annoncer le nom de l'opérateur devant mener à bien l'enlèvement du navire, ainsi que le plan prévu pour cette délicate opération. L'évacuation de l'épave du Concordia, déclaré en perte totale par les assurances, prendrait selon les estimations de 10 à 12 mois. Pour mémoire, le paquebot mesure 290 mètres de long et affiche une jauge de 114.500 tonneaux. Son naufrage a fait 32 morts et disparus.

http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=119171

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Bruxelles veut durcir la législation sur le démantèlement des navires

27 Mars 0212 zegreenweb

Pour mettre au fin au recyclage « sauvage » des anciens navires marchands et donc aux risques de pollution qu’ils entraînent, la Commission européenne propose de nouvelles règles de démantèlement, dans des installations plus sûres pour les travailleurs et écologiquement rationnelles.

Plus de 1 000 grands navires marchands seraient recyclés chaque année pour leur ferraille, « mais de nombreux navires européens se retrouvent sur les plages soumises aux marées de l’Asie du Sud, dans des installations qui ne répondent pas aux normes », souligne la Commission européenne dans un communiqué. Sans mesures relatives à la protection de l’environnement et sans règles de sécurité pour gérer les matières dangereuses contenues dans les navires en fin de vie (notamment l’amiante, les polychlorobiphényles, le tributylétain et les boues d’hydrocarbures), ces installations représentent un véritable risque sanitaire.

Le nouveau règlement proposé par Bruxelles repose sur la convention de Hong Kong, adoptée en 2009 et qui jette les bases d’un recyclage plus sûr et écologiquement rationnel des navires. Il prévoit en effet « un système de visites et d’octroi de certifications et d’autorisations pour les grands navires de mer marchands qui battent le pavillon d’un Etat membre de l’Union Européenne (UE), couvrant l’ensemble du cycle de vie, de la construction au recyclage, en passant par l’exploitation ».

Les navires européens devront en outre dresser un inventaire des matières dangereuses présentes à bord et dont les quantité devront être réduites avant que le navire soit remis à une installation de recyclage. Ces installations figureront sur une liste des établissements agréés dans le monde et devront elles-mêmes respecter un certain nombre d’exigences en matière de protection de l’environnement et de sécurité, exigences qui seront plus strictes que celles prévues par la convention de Hong Kong afin d’assurer une meilleure traçabilité des navires européens. Enfin, la Commission propose que les propriétaires de navires informent les autorités nationales de leur intention d’envoyer un navire au recyclage.

Bruxelles espère que la convention sera mise en place au plus vite, « sans attendre sa ratification et son entrée en vigueur, lesquelles n’auront pas lieu avant plusieurs années ». La Commission a présenté à cette fin un projet de décision obligeant les Etats membres à ratifier la convention. Si ces nouvelles règles apparaissent contraignantes pour les propriétaires, elles devraient néanmoins permettre de combler les lacunes de la législation actuelle, souvent contournée et conduisant à des conditions de recyclages dangereuses pour l’Homme et l’environnement.

http://www.zegreenweb.com/sinformer/uxe ... ires,51500

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Le Costa Concordia sera renfloué et remorqué vers Gênes

L'épave du Costa Concordia, échoué depuis le 13 janvier dernier devant l'île italienne du Giglio, sera remorquée en entier et non pas découpé sur place. Alors que le pompage des soutes par la société de sauvetage néerlandaise Smit s'est terminé en début de semaine, Costa a fait savoir que, parmi de nombreux scénarios envisagés, elle a retenu cette option. Celle-ci est nettement plus coûteuse que la découpe du navire en sections évacuées au fur et à mesure. Mais elle paraît incontournable compte tenu de la localisation de l'épave dans un environnement marin protégé.
Le site spécialisé anglo-saxon examiner.com estime le coût de cette opération à 288 millions de dollars. Actuellement, une dizaine de compagnies spécialisées se sont positionnées pour ce contrat qui devrait être prochainement attribué par Costa. Il y a notamment les armements Donjon Marine, Fukada Salvage & Marine Works, Mammoet Salvage, Nippon Salvage, Resolve Marine, Smit, Svitzer, T&T Marine, Titan, et Tito Neri. Selon plusieurs experts de la questions, et compte-tenu de l'ampleur et de la technicité du chantier, celui-ci pourrait être confié conjointement à deux compagnies. Smit, déjà sur le terrain, fait figure de grand favori. Costa a annoncé qu'une shortlist de trois sociétés serait annoncée dans les jours qui viennent. Les travaux pourraient commencer en mai prochain et devraient durer une année.


Un sauvetage en plusieurs étapes

Ramener le navire, qui devra flotter, en remorque à Gênes, va impliquer pour les sauveteurs une phase très longue de préparation. Il s'agira d'abord de rendre un semblant d'intégrité à la coque et donc de boucher l'énorme brêche sur le flanc du navire. Pour cela, des plaques en fer devront être disposés le long de la fissure, qui mesure près de 60 mètres et qui se trouve sous la ligne de flottaison du paquebot, qui mesure 290 mètres de long. Cette opération d'étanchéification menée, il faudra injecter de grandes quantités d'air pour chasser l'eau se trouvant dans les fonds et les compartiments du navire. Puis il faudra, à l'aide de grues, relever le navire avant de le stabiliser de manière à pouvoir être remorqué. Le tout dans un environnement compliqué, tant par la présence de nombreux rochers, la proximité de la côte, ainsi que des conditions météorolgiques méditerranéennes, souvent synonyme de coup de vent brutal et de mer courte. Sans oublier que depuis le naufrage, la structure a sans doute beaucoup souffert.

http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=119318

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Le chalutier japonais emporté par le tsunami a été coulé


Le patrouilleur des garde-côtes américains surveille le lent naufrage du chalutier japonais, après avoir tiré dessus au canon. Crédits photo : Petty Officer 2nd Class Charly Hengen/AP

Les garde-côtes américains ont coulé à coups de canon le chalutier japonais qui avait été emporté par le tsunami du 11 mars 2011, et dérivait désormais vers les côtes de l'Alaska.

La lente dérive du Ryou-Un Maru, un chalutier japonais emporté le 11 mars 2011 par le tsunami qui avait provoqué la catastrophe de Fukushima, s'est terminée près de l'Alaska, sous les obus explosifs d'un navire de patrouille des garde-côtes américains. Quatre heures après avoir été criblé d'obus de 25 mm et avoir pris feu, le navire a fini par sombrer dans 300 mètres d'eau.

Quelques heures auparavant, un navire de pêche canadien avait tenté de récupérer ce navire fantôme de 50 mètres de long mais avait estimé après un examen rapproché que le remorquage serait trop dangereux. Les autorités américaines, qui avaient déjà décidé de le couler pour limiter les risques pour la navigation et pour l'environnement fragile des côtes de l'Alaska ont poursuivi leurs manœuvres, qui ont servi d'exercice de tir pour l'équipage des garde-côtes.


Impacts d'obus sur la coque du chalutier.

Le chalutier à la coque constellée de rouille avait été aperçu pour la première fois en mars dernier par une patrouille canadienne, au large de la Colombie-Britannique. Le vent et les courants l'avaient depuis poussé vers l'Alaska et la ville de Juneau.

Le 11 mars 2011, le Ryou-Un Maru était à quai au nord de l'île d'Hokkaido, destiné à la casse, quand le tsunami provoqué par un séisme de magnitude 9 avait dévasté les côtes du nord-est du Japon. Le chalutier avait été emporté vers le large par la grande vague, en même temps que des millions de tonnes d'autres débris, dont certains ont traversé le Pacifique et ont été retrouvés sur les plages américaines quelques mois plus tard.

http://www.lefigaro.fr/environnement/20 ... -coule.php

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J' avais une fois posté sur un bateau transport de GPL (Gaz de pétrole liquéfié, c' est à dire butane-propane).

Ici c' est un tel bateau de transport (il est marqué LPG qui est la facon Anglo-Saxonne de l' écrire) qui à subit ..... une explosion puis incendie en salle des machines.
Ouf ca n' a pas fini en torche géante.

meretmarine.com 11 Avril 2012

Le Coral Favia, un navire gazier néerlandais de 99 mètres de long, a été victime lundi d'une explosion dans la salle des machines, alors qu'il se trouvait à une trentaine de milles au nord de Barfleur. L'accident a entraîné un incendie et a fait deux blessés parmi les 17 membres équipage. Alerté, le Centre Régional Opérationnel de Surveillance et de Sauvetage (CROSS) de Jobourg a fait appareiller le remorqueur Abeille Liberté et coordonné l'évacuation des deux mécaniciens (dont le chef), l'un d'eux étant gravement brûlé.
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http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=119382