L'économie des USA en difficulté

Discussions traitant de l'impact du pic pétrolier sur l'économie.

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Re: [Crise] L'économie des USA en difficulté

Message par nemo » 10 mars 2012, 12:24

Les chiffres sont toujours surestimés en première estimation puis revus à la baisse, c'est aussi un autre aspect de la question. Sans compter bien sur que ceux du chômage sont truqués chez eux comme chez nous...
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Re: [Crise] L'économie des USA en difficulté

Message par Tovi » 10 mars 2012, 12:46

Les non indemnisés ne sont pas inscrits comme demandeurs d'emploi, il me semble. En tout cas, ils n'ont aucun intérêt à se déclarer comme tels (un peu comme en France). On avoisinerait plutôt les 20%, selon le BIT.
Si vous ne faites pas partie de la solution, alors vous faites partie du problème.
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Re: [Crise] L'économie des USA en difficulté

Message par nemo » 10 mars 2012, 13:35

Y a aussi une histoire d'heure travaillé par mois si t'as fait 1 ou 2h dans le mois t'es pas chômeur...
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Re: [Crise] L'économie des USA en difficulté

Message par Angelus68 » 05 avr. 2012, 15:53

Combien d'Américains qui ne sont plus comptés dans les statistiques du chômage ou qui ne s'inscrive plus sur les listes ? :-" En Europe, en Asie etc... le système économique entre en berne ou ralentie fortement et aux USA tout repart, on nous prendrait pas un peu pour des cons ? :-k
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Re: [Crise] L'économie des USA en difficulté

Message par nemo » 05 avr. 2012, 16:08

Angelus68 a écrit :Combien d'Américains qui ne sont plus comptés dans les statistiques du chômage ou qui ne s'inscrive plus sur les listes ? :-" En Europe, en Asie etc... le système économique entre en berne ou ralentie fortement et aux USA tout repart, on nous prendrait pas un peu pour des cons ? :-k
C'est l'effet présidentielles, dès le début de l'année prochaine on renverra tout ça à sa juste place.
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Re: [Crise] L'économie des USA en difficulté

Message par nemo » 10 avr. 2012, 10:23

http://www.dedefensa.org/article-de_aa_ ... _2012.html

Une petite agence de notation dégrade la note des tazus de AA+ à AA . Le président de Egan Jones prévient que les 3 grandes agences de notations feront probablement de même d'ici 6 à 12 mois.
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Re: [Crise] L'économie des USA en difficulté

Message par energy_isere » 10 avr. 2012, 11:49

nemo a écrit :http://www.dedefensa.org/article-de_aa_ ... _2012.html

Une petite agence de notation dégrade la note des tazus de AA+ à AA . Le président de Egan Jones prévient que les 3 grandes agences de notations feront probablement de même d'ici 6 à 12 mois.
sans doute.
Il n' y a qu' à attendre le prochain été quand arrivera la rediscussions entre démocrates et Républicain à la chambre des représentants au sujet du relévement du plafond de la dette.
Cf le gros sketche de fin Juillet 2011.

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Re: [Crise] L'économie des USA en difficulté

Message par phyvette » 11 avr. 2012, 16:03

Le tableau ci-dessous montre comment après chaque récession le taux d'emploi de la population US augmente très vite en sortie de crise.
Les zones grises représentent les contractions économiques.
Après chaque récession l'emploie US redémarre toujours très fort. En 2008/2009 l'emploi a chuté plus que jamais, si nous étions dans période économique normale, il aurait été raisonnable de s'attendre à une énorme augmentation de l'embauche.
Mais ce n'est pas le cas comme le prêtant à juste raison Olivier Delamarche, plus proche de 20% réel que des 8% officiel.


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Re: [Crise] L'économie des USA en difficulté

Message par Feuille d'érable » 12 avr. 2012, 21:45

Puisqu'on est dans les graphiques, je trouve intéressant que les médias ne commentent pas plus celui-ci, soit la masse monétaire américaine:
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Re: [Crise] L'économie des USA en difficulté

Message par Angelus68 » 27 avr. 2012, 15:07

USA : net ralentissement de la croissance du PIB au premier trimestre

La croissance économique des Etats-Unis a ralenti nettement au premier trimestre mais certains de ses fondements essentiels se sont renforcés, selon la première estimation officielle du PIB américain de l'hiver publiée vendredi à Washington.

Par rapport au trimestre précédent, le produit intérieur brut du pays a augmenté de 2,2% en rythme annualisé de janvier à mars après avoir progressé de 3,0% pendant les trois mois d'automne, a indiqué le département du Commerce.

Le chiffre du ministère est inférieur à l'estimation médiane des analystes, qui donnait un taux de croissance de 2,5% au premier trimestre.

Le ralentissement du PIB découle d'une contribution moins forte de la hausse des stocks des entreprises "et d'une baisse de l'investissement privé hors logement, qui ont été compensés en partie par une hausse plus rapide des dépenses de consommation des ménages et des exportations", écrit le ministère dans un communiqué.

La hausse de la consommation est ainsi passée de 2,1% pendant l'automne à 2,9% de janvier à mars. C'est son taux de progression le plus rapide depuis le quatrième trimestre 2010, et il a permis d'assurer à lui seul près de 93% de la hausse du PIB.

Selon les chiffres officiels, l'investissement privé hors logement a reculé, pour la première fois depuis l'automne 2009, de 2,1%. Il a été plombé par une chute de 12,0% dans le domaine des infrastructures tandis que la hausse de l'investissement des entreprises dans leur outil de production ralentissait nettement, à 1,7%.

A l'inverse, l'investissement dans le logement a bondi de 19,1%. Réalisant ainsi sa meilleure progression depuis le printemps 2010, il a apporté 0,4 point de croissance, un peu moins que la hausse des stocks des entreprises (0,6 point), qui avait été le moteur principal de la croissance au quatrième trimestre en assurant 1,8 point de hausse du PIB.

Conséquence de cette contribution moins forte des restockages, la demande intérieure finale pour les produits américains a augmenté de 1,6% au premier trimestre, contre 1,1% au trimestre précédent, ce qui traduit un renforcement de la croissance aux Etats-Unis.

Les chiffres officiels montrent que l'accélération des exportations a permis de contrer les effets de celle des importations, et que le commerce extérieur a finalement eu un effet nul sur la croissance économique du pays pendant l'hiver alors qu'il l'avait légèrement entamée au quatrième trimestre.

Le ministère indique encore que la baisse de la dépense publique a continué, mais à un rythme moins rapide que pendant l'automne (3,0% contre 4,2%), faisant perdre finalement 0,6 point de croissance au pays contre plus de 0,8 au quatrième trimestre.

La banque centrale américaine (Fed) a estimé mercredi que le ralentissement économique du pays ne devrait être que passager et a annoncé qu'elle entrevoyait un redressement à venir de la croissance.

Selon elle, celle-ci devrait se renforcer progressivement en 2012, 2013 et 2014, dernière année sur laquelle portent ses prévisions.

Le Fonds monétaire international (FMI) a indiqué pour sa part le 17 avril que la hausse du PIB américain, qui avait atteint 1,7% en 2011, devrait s'accélérer à 2,1% en 2012 et 2,4% en 2013.
http://www.boursorama.com/actualites/us ... 4#comments

Pendant ce temps la, la bourse monte, monte... \:D/
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Re: [Crise] L'économie des USA en difficulté

Message par energy_isere » 30 avr. 2012, 19:58

Vous ne pouvez pas consulter les pièces jointes insérées à ce message.

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Re: [Crise] L'économie des USA en difficulté

Message par energy_isere » 18 mai 2012, 12:16

Il y a des idiots aux USA pour investir dans FesseBook.

Facebook fait ses grands débuts à la Bourse de New York :

16 milliards de $ vont êtres achetés en action FesseBook.

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Re: [Crise] L'économie des USA en difficulté

Message par energy_isere » 19 mai 2012, 11:37

Déception pour l'entrée en Bourse de Facebook malgré le tapage

Tout le tapage entourant l'entrée en Bourse du géant des réseaux sociaux sur internet Facebook s'est terminé vendredi sur une déception, le titre n'ayant arraché qu'une maigre progression de 0,61% pour finir la séance à 38,23 dollars, 23 cents au-delà du cours d' introduction.

La clôture est intervenue après une demi-heure d'échanges très serrés où le cours est redescendu jusqu'à son cours d'introduction de 38 dollars,
...............
Facebook mettait sur le marché 421 millions d'actions, pour une opération à 16,02 milliards de dollars, la plus grosse pour une valeur internet, la deuxième plus grosse pour une valeur américaine tous secteurs confondus, qui le valorisait à 104 milliards de dollars.
..................
http://www.boursorama.com/actualites/de ... 0d0d238e21

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Re: [Crise] L'économie des USA en difficulté

Message par energy_isere » 24 mai 2012, 10:30

Hewlett-Packard va supprimer 27 000 emplois :

La direction du géant américain de l'informatique Hewlett-Packard (HP) a annoncé mercredi 27 000 suppressions d'emploi destinées à soutenir son redressement, tout en se disant déjà "prudemment optimiste" en dépit d'une nouvelle chute de ses résultats. Cette annonce qui faisait bondir le titre du géant informatique de 11% dans des échanges d'après-Bourse.

C'est la plus grosse vague de suppressions d'emplois pour le groupe américain, qui emploie plus de 300 000 personnes à travers le monde, depuis l'acquisition de la société de services EDS en 2008, qui avait conduit le groupe à se séparer de près de 25 000 personnes.

La directrice générale, Meg Whitman, qui a pris ses fonctions en octobre, a expliqué qu'il était nécessaire de réduire de 8 % les effectifs, et de prendre d'autres mesures pour baisser les coûts comme une réduction du nombre d'articles vendus et une rationalisation des chaînes logistiques, pour dégager des économies à réinvestir dans le groupe.

Le numéro un mondial des micro-ordinateurs a précisé que la plupart de ces suppressions de postes prendraient la forme d'une retraite anticipée. Le groupe compte se séparer de 9 000 employés dès cette année, et d'environ 27 000 d'ici au 31 octobre 2014, pour "dégager des économies annualisées de 3 à 3,5 milliards de dollars à la fin de l'exercice (clos fin octobre) 2014".

Des licenciements "ont un impact négatif sur la vie des gens, mais dans ce cas, ils étaient absolument indispensables à la santé sur le long terme de l'entreprise", a déclaré Meg Whitman, directeur général de Hewlett Packard. L'entreprise va passer une charge imposable de 1,7 milliard de dollars sur l'exercice fiscal 2011-2012 en raison des licenciements.
http://www.boursorama.com/actualites/he ... d3dbe6942b

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