On ne peut pas résoudre la question d'un approvisionnement durable en énergie, tendre vers un équilibre, avec de telles hypothèses. Évidemment, il y a besoin de nucléaire/charbon/gaz/pétrole si, partant d'une consommation pléthorique de ces ressources extraites du sous-sol, on n'essaye pas de réduire ladite consommation.Le taux moyen d’augmentation de la consommation de 1,2% durant ces 12 dernières années en a été affecté. On peut donc raisonnablement tabler sur un maintien de ce taux,
Finalement, les débats "pour ou contre l'énergie nucléaire" ne m'intéressent pas dans ce contexte de croissance.
Sinon, avec une baisse de 1% an de la consommation au lieu d'une hausse, ça change beaucoup de chose pour ce calcul.