AREVA

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Record de production d'uranium pour Areva en 2012

le 18 février 2013 Usine Nouvelle

Areva devient ainsi le deuxième producteur mondial d'uranium derrière le kazakh KazAtomProm.

Le groupe public français spécialisé dans le nucléaire a annoncé le 18 février que sa production d'uranium avait atteint un niveau record en 2012 à 9 760 tonnes.

Il a précisé dans un communiqué avoir produit 3 661 tonnes d'uranium sur le site minier Katco, au Kazakhstan, 3 065 tonnes sur le site Somair, au Niger, et 512 tonnes d'uranium dans l'autre mine nigérienne du groupe, sur le site Cominak.

En outre, 2 270 tonnes "en part Areva" ont été produites sur le site canadien McArthur - Key Lake, exploité par Areva et Cameco, et 251 tonnes sur le site pilote de Trekkopje, en Namibie.

Selon les chiffres de la WNA (World nuclear association), la production mondiale d'uranium s'est élevée à 54 610 tonnes en 2011. KazAtomProm a produit cette année-là 8 884 tonnes, Areva 8 790 tonnes et Cameco 8 630 tonnes d'uranium.

http://www.usinenouvelle.com/article/re ... 12.N191734

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Après un nouveau revers en Finlande, Areva pourra-t-il vendre dix EPR ?

le 25 février 2013 Usine Nouvelle

La Finlande a écarté l’EPR d’Areva d’un appel d’offres. C’est un nouveau revers pour le réacteur nucléaire, qui a déjà échoué en République tchèque. Il reste des projets en cours mais peut-être pas assez pour vendre dix EPR d’ici à 2016, comme l’espère le groupe.

L’objectif de Luc Oursel paraît de plus en plus compliqué à atteindre. Fin 2011, le patron annonçait vouloir vendre dix réacteurs EPR d’ici à 2016. Ce lundi 25 février, Areva a enregistré un nouveau revers pour son fleuron. L’électricien finlandais Fennovoima a rejeté l’offre d’Areva pour construire un réacteur de grande puissance dans le nord du pays, à Pyhäjoki. Le finlandais entre en négociation exclusive avec le japonais Toshiba. Du côté d’Areva, on assure ne pas avoir reçu de notification d’arrêt des discussions. Mais la messe semble dite. Cet échec s’ajoute à la perte de l’appel d’offres tchèque pour deux réacteurs à Temelin en novembre dernier, et à l’enterrement définitif par François Hollande de la construction d’un deuxième EPR Français à Penly (Seine-Maritime). Est-ce que le champion français de l’atome peut encore remplir son objectif ?

Il reste des projets dans le "pipe". Reste à savoir s’ils sortiront dans les temps. En Chine, deux EPR supplémentaires devraient être construits à Taishan. Les deux premiers modèles, Taishan 1 et 2, sont érigés dans les temps et en respectant les budgets. Mais la polémique en France sur le transfert de technologies nucléaires a tendu les relations entre Paris et Pékin.
En Inde, deux réacteurs EPR doivent être vendus pour le projet de centrale de Jaitapur, dans l’Etat du Maharashtra. Depuis l’accident de Fukushima, cependant, le projet indien semble avancer à tout petits pas. Aucun écho n’en a été fait lors du voyage de François Hollande sur le sous-continent en février.
Aux Etats-Unis, plusieurs projets existent mais l’essor des gaz de schiste et son utilisation dans la production électrique laissent peser des incertitudes sur leur réalisation. Areva a répondu à un appel d’offres en Finlande auprès de l’électricien TVO, mais au regard des difficultés à construire le premier EPR à Olkiluoto (retard de cinq ans et surcoûts), la position française est délicate. D’autres projets sont à plus long terme : Arabie saoudite, Suède, Pologne…

Le marché clé dans l’immédiat est la Grande-Bretagne. Le pays veut construire une dizaine de réacteurs nucléaires. EDF a le projet de bâtir et d’exploiter deux EPR à Hinkley Point. La décision finale d’investissement est suspendue aux négociations en cours entre l’électricien et le gouvernement britannique sur les tarifs garantis de rachat de l’électricité. Henri Proglio, PDG d’EDF a déclaré : "Nous n’irons pas sans garantie formelle de rentabilité de nos investissements". De la réussite de ces négociations dépend l’ouverture de ce vaste marché outre-Manche. Et l’atteinte, sinon l’approche, de l’objectif de Luc Oursel.

http://www.usinenouvelle.com/article/ap ... pr.N192165

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Areva veut toujours vendre dix EPR d'ici à 2016
Usine Nouvelle 01 Mars 2013

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en relation avec ce post : viewtopic.php?p=345586#p345586

Areva inaugure son usine d’enrichissement d’uranium

29/03/2013 Le Figaro

Le site de Georges-Besse II consomme 50 fois moins d’électricité que l’ancienne installation.
Tout se passe derrière une porte rouge, jaune, verte, ou bleue. C’est en fonction de ces couleurs que des opérateurs juchés sur des transbordeurs chargent derrière elles des cylindres de 12,5 tonnes. Chacun représente le potentiel de production électrique d’une ville de 330.000 habitants. Ils contiennent tantôt de l’uranium appauvri, enrichi, ou naturel avant que ce dernier ne soit distillé par gaz vers les centrifugeuses de la toute nouvelle usine d’enrichissement nucléaire Areva du Tricastin (à cheval entre la Drôme et le Vaucluse), inaugurée vendredi.

Baptisée Georges-Besse II Nord, cette nouvelle unité est la dernière pierre d’un investissement total de 4 milliards d’euros pour Areva qui modernise l’ensemble de son parc industriel du Tricastin et de Malvesi, dans l’Aude. Avec Georges-Besse II Sud, inaugurée à 2,5 km de là voilà deux ans, ces deux établissements remplacent l’usine Eurodif, fermée en juin 2012. Cette dernière utilisait un autre procédé industriel par «diffusion gazeuse.» Beaucoup plus énergivore, il consommait «cinquante fois plus d’électricité», rappelle le président du directoire d’Areva Luc Oursel. Ainsi, Areva réaliserait des économies annuelles d’électricité dont le montant s’évalue en centaines de millions d’euros!

Du mieux avec EDF

Ce procédé, Areva l’a acheté à Urenco, le numéro deux mondial du secteur, dont deux actionnaires - les Allemands RWE et Eon - chercheraient à se désengager. Vendredi, le Wall Street Journal a révélé qu’Areva aurait mandaté la banque Nomura pour examiner le dossier. Luc Oursel a d’abord démenti toute approche de ce type avant de préciser: «Urenco, c’est une très belle entreprise, c’est un concurrent, c’est aussi un partenaire. C’est avec lui qu’on développe la technologie des centrifugeuses… Si jamais il se passait quelque chose au niveau du capital d’Urenco, bien entendu, nous serions amenés à nous y intéresser.»

Les usines Georges-Besse II emploient aujourd’hui 380 personnes, 450 d’ici à trois ans. Entrée en service au début du mois de mars, elle ne tourne pas encore au plein de ses capacités. L’opération d’enrichissement dure plusieurs semaines, et c’est dans quelques jours que l’usine Nord produira son premier cylindre chargé en uranium enrichi, probablement destiné à l’export qui représente la majorité du chiffre d’affaires du groupe. À la fin de l’année, l’usine tournera à plus de 50 % de ses capacités, puisque des centrifugeuses sont encore progressivement installées au gré de la montée en charge d’une usine qui devrait atteindre sa vitesse de croisière en 2016. «Cela lui permettra de fournir près de 70 réacteurs nucléaires sur les 440 installés sur la planète», poursuit Luc Oursel.

Côté clients, Areva, qui exploite ces usines au travers de la société d’enrichissement du Tricastin - dont des électriciens privés japonais sont actionnaires - espère, par la voix de son président, que l’Archipel relancera «d’ici deux ou trois ans, plus de deux tiers de ses réacteurs». Quant aux relations, toujours complexes, avec son client historique EDF, Luc Oursel affirme: «Elles se sont beaucoup améliorées depuis le milieu de l’année 2011 avec, l’an dernier, un contrat dans l’uranium naturel qui court jusqu’en 2035. Et puis, nous avons décidé d’aller ensemble sur la Pologne et l’Arabie saoudite pour préparer les programmes nucléaires qui vont avoir lieu là-bas en 2013 et 2014.»

http://bourse.lefigaro.fr/indices-actio ... ium-392425

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Pour le patron d'Areva, le débat sur l'énergie ne doit pas reposer sur des scénarios de décroissance

03 Avril 2013 Usine Nouvelle

A l'occasion du débat sur la politique énergétique de la France, Luc Oursel, président du directoire d'Areva, souhaite défendre la "complémentarité" entre l'atome et les renouvelables au sein du bouquet énergétique national. Il ne faut pas "s'enfermer dans des scénarios de décroissance", a-t-il affirmé lors de la convention annuelle de la Société française d'énergie nucléaire (SFEN), qu'il préside également.

"Débattre sur l'énergie, c'est reconnaître le rôle essentiel de l'énergie dans la croissance économique", a souligné mercredi 3 avril le président du directoire d'Areva, Luc Oursel, à l'occasion de la convention annuelle de la Société française d'énergie nucléaire (SFEN), qu'il préside également. Pour le dirigeant du groupe nucléaire français dont les propos ont été rapportés par l'AFP, il est essentiel de ne pas "s'enfermer dans des scénarios de décroissance".

"La demande mondiale en énergie va augmenter (...) et dans nos économies matures, la maîtrise de la consommation énergétique ne doit pas pour autant déboucher sur une apologie de la décroissance", a-t-il poursuivi, expliquant par exemple que de nouveaux usages de l'électricité étaient appelés à se développer, notamment dans les transports ou la production de chaleur.


Nucléaire et renouvelables, "des alliés naturels"

Luc Oursel a en outre réitéré son plaidoyer pour un recours simultané au nucléaire et aux énergies renouvelables afin de couvrir les besoins en énergie du pays, conformément à la stratégie d'Areva, qui s'est diversifié depuis plusieurs années dans l'éolien et le solaire.

Le débat sur l'énergie doit "inclure et associer plutôt qu'exclure", a-t-il affirmé, défendant des échanges "loin des dogmatismes (...) qui "consisteraient à exclure le nucléaire ou les renouvelables du mix énergétique". Pour Luc Oursel, l'atome et les renouvelables se présentent ainsi comme "des alliés naturels".

Energie peu chère et "bastion d'emplois industriels"

Il a décliné les atouts à ses yeux du nucléaire, qui selon lui contribue à donner à la France l'électricité la moins chère d'Europe continentale, la place parmi "les meilleurs élèves de la classe en matière d'émissions de CO2", et constitue un "bastion d'emplois industriels".

"Cette complémentarité entre nucléaire et renouvelables est une chance pour la France", a-t-il enfin estimé, citant des estimations selon lesquelles 110 000 emplois pourraient être créés d'ici 2020 dans le nucléaire, et 125 000 dans les renouvelables.

http://www.usinenouvelle.com/article/po ... ce.N194513

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Départ imminent et contesté de plutonium pour le Japon:

13 Avril 2013

Areva s'apprête à envoyer du MOX, un combustible composé de plutonium, au Japon, un convoi des plus contestés au moment où Pyongyang se dit en état de guerre et que Tokyo n'en finit pas de se battre contre les conséquences de la catastrophe de Fukushima.

"Ce transport partira prochainement de Cherbourg et sera réalisé par les navires spécialisés Pacific Heron et Pacific Egret de la compagnie britannique PNTL", a annoncé vendredi dans un communiqué le groupe nucléaire qui présente le MOX comme une opportunité pour recycler le plutonium issu des centrales nucléaires.

L'entreprise est la seule au monde à produire à l'échelle industrielle ce combustible composé de 5% à 10% de plutonium et de 90 à 95% d'uranium, depuis que l'Angleterre a cessé d'en fabriquer.

Selon Greenpeace, ce transport "dangereux" aura lieu entre lundi 0H00 et mercredi à minuit.

Selon l'ONG, ces 10 tonnes de MOX doivent quitter l'usine Areva de Beaumont-Hague (Manche) la nuit, à bord de trois poids-lourds, pour rejoindre le port de Cherbourg et être chargées dans la journée. "La route entre l'usine et le port sera alors bouclée, avec des gendarmes à tous les carrefours", dit Yannick Rousselet, chargé de campagne nucléaire de Greenpeace France.

L'usine est distante de 20 km du port mais le convoi en fera 40 pour des raisons techniques selon l'ONG.

Un millier d'hommes mobilisés

Toujours selon elle un millier d'hommes seront mobilisés sur le trajet, un dispositif lié à la spécificité de ce combustible "beaucoup" plus radioactif qu'un combustible classique, mais aussi à un appel, pour l'heure vague, d'antinucléaires à perturber le transport. Cet appel a été lancé il y a plusieurs semaines sur internet.

Une source proche des forces de l'ordre a confirmé cet effectif.

Selon différentes sources, la cargaison doit contenir de 650 kg à 800 kg de plutonium. Greenpeace affirme que ce plutonium peut servir à faire des bombes (15 kg par bombe), mais Areva dément.

D'après Greenpeace, à bord des bateaux équipés chacun de deux canons 30 mm, une trentaine d'hommes en tout d'une force spéciale britannique seront chargés d'assurer la sécurité. Selon M. Rousselet, les Etats-Unis suivent également discrètement le transport puisque les matières fissiles japonaises sont sous leur contrôle.

Les cargaisons sont en général stockées dans des conteneurs - trois en l'occurrence - de 6 mètres de long sur 2,50 large, avec des parois de 30 cm d'épaisseur, selon des données d'Areva.

Le voyage doit durer 60 à 70 jours.

Si les quantités sont confirmées, la cargaison serait nettement moins importante en volume que lors des précédents transports de MOX vers le Japon (15 tonnes en 2010, 32 tonnes en 2009, 14 tonnes en 2001 et 1999).

Mais le transport se déroule dans un contexte délicat.

"Les bateaux vont naviguer dans des eaux sous tension. La cargaison est destinée à la centrale de Takahama, en face de la Corée. C'est complètement irresponsable", a estimé M. Rousselet. L'entreprise Kansai (Kepco) a confirmé attendre une livraison pour cette centrale à l'arrêt.

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http://www.boursorama.com/actualites/de ... 57aca7465a

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Site nucléaire de La Hague : nouvelle mise en demeure d'Areva par l'ASN

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Du MOX quitte Cherbourg pour le Japon

Chargé sur un navire spécialisé dans ce type de transport, du MOX, combustible radioactif et controversé contenant du plutonium, est parti de Cherbourg, dans la Manche, mercredi après-midi pour un voyage de plus de trois mois à destination du Japon, pour la première fois depuis l'accident nucléaire de Fukushima.
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Dans la nuit, la cargaison avait quitté l'usine Areva de Beaumont-Hague, distante d'une vingtaine de kilomètres de Cherbourg, à bord de trois poids-lourds, escortés par des dizaines de fourgons de gendarmerie : plus d'un millier d'hommes auraient été mobilisés.
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Les conteneurs ont été chargés sur le Pacific Egret, un navire spécialisé de la compagnie britannique PNT. Les bateaux – celui transportant la cargaison et celui qui l'accompagne – mettront environ soixante-cinq jours pour rejoindre le Japon.......
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Il s'agit du cinquième convoi de MOX de La Hague vers le Japon, le premier avait eu lieu en 1999

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Areva arrache un contrat « majeur » avec le champion du nucléaire américain

18/04/0213 la Tribune

Le groupe français a annoncé ce jeudi la signature d'un contrat avec Exelon, prévoyant la livraison de combustible nucléaire pour ses centrales de Dresden et Quad Cities (Illinois) et de Three Mile Island (Pennsylvanie). Ce contrat est qualifié de "majeur" par Areva.

Areva multiplie les contrats. Après avoir annoncé mercredi avoir remporté un contrat auprès du consortium coréen Kaeri/Daewoo pour lui fournir début 2015 des éléments de combustible pour le coeur du réacteur JRTR (Jordan Research and Trading Reactor) en construction en Jordanie, le groupe nucléaire français a annoncé ce jeudi la signature d'un contrat avec l'exploitant américain de centrales électriques Exelon. Depuis l'absorption il y a deux ans de Constellation Energy, l'ancien partenaire d'EDF aux Etats-Unis, Exelon est devenu le numéro un de l'énergie nucléaire aux Etats-Unis. L’accord prévoir la livraison de combustible nucléaire pour ses centrales de Dresden et Quad Cities (Illinois) et de Three Mile Island (Pennsylvanie). Ces combustibles seront assemblés dans l'usine américaine d'Areva, située à Richland (Etat de Washington, nord-ouest du pays).

Réacteurs à eau bouillante

Comme pour le contrat en Jordanie, Areva n’a pas donné le montant de cette commande. Néanmoins, précise le groupe, ce contrat est « majeur ». Concrètement, Areva livrera début 2016 douze recharges de combustibles pour Dresden et Quad Cities. Le groupe fournira également six recharges supplémentaires pour Three Mile Island, ainsi que les services d'ingénierie associés. En outre, le groupe dirigé par Luc Oursel fournira à son client américain des assemblages de type Atrium 10XM conçus pour les centrales nucléaires à eau bouillante.
Pour le directeur des activités combustibles d'Areva Markus Birkhofer, ce contrat "confirme (la) position forte (du groupe) sur le marchés des réacteurs à eau bouillante", qui recourent à une technologie différente des réacteurs français.

http://www.latribune.fr/entreprises-fin ... icain.html

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Areva annonce plusieurs accords stratégiques en Chine

le 25 avril 2013

Areva a annoncé jeudi la signature de plusieurs accords avec les entreprises chinoises CNNC et CGNPC dans le domaine du nucléaire civil.

Le groupe public a signé avec CNNC une lettre d'intention pour doter la Chine d'une usine de traitement-recyclage des combustibles usés, a indiqué Areva dans un communiqué.

A l'occasion de la visite du président François Hollande en Chine, Areva a également signé avec EDF et CGNPC un accord de coopération industrielle et opérationnelle.


Selon les termes de cet accord, les trois groupes s'engagent à achever avec succès la construction des deux premiers réacteurs de Taishan et à mener à bien le démarrage de leur exploitation commerciale.

Areva a par ailleurs confirmé l'avancement de ses discussions avec CNNC sur la prise de participation potentielle du chinois dans la filiale d'Areva détentrice de 66,65% de la mine d'Imouraren située au Niger.

http://www.usinenouvelle.com/article/ar ... ne.N195979

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Areva plombé par le maillon faible finlandais

Usine Nouvelle 25 Juillet 2013

Le nucléariste français a présenté, mercredi 24 juillet, des résultats encourageants : un chiffre d’affaires en hausse de 13% au premier semestre, un bon avancement du plan de réduction des coûts, l’objectif de cessions d’actifs atteint… Mais l’ombre de l’EPR finlandais continue de ternir le tableau.

"Le premier semestre 2013 confirme la pertinence stratégique et la bonne exécution d’Action 2016. Nous tenons le cap de la croissance, du redressement de la performance industrielle et de la maîtrise des coûts", s’est félicité Luc Oursel, président du directoire d’Areva, lors de la présentation des résultats semestriels, mercredi 24 juillet.

Et pour cause. Le spécialiste de l’atome affiche un chiffre d’affaires en hausse de 13% par rapport au premier semestre 2012, à 4 762 millions d’euros. "Le redressement de la performance se poursuit avec une amélioration significative de l'excédent brut d'exploitation en un an, et plus particulièrement sur nos activités nucléaires pour lesquelles le niveau de rentabilité progresse nettement plus rapidement que le chiffre d'affaires", a également expliqué Luc Oursel.

150 millions d’euros de provision

Si les activités nucléaires ont tiré les résultats du groupe vers le haut, le cas de l’EPR finlandais continue de peser sur ses performances. En effet, Areva a passé une nouvelle provision de 150 millions d’euros pour pallier les déboires du chantier d’Olkiluoto. Une provision de plus, imputable aux "travaux de finition", assure l’industriel.

L’EPR finlandais est le premier réacteur de 3ème génération dont la construction a été lancée par Areva. Depuis, d’autres chantiers ont suivi : Flamanville (France) et deux à Taishan (Chine).

Les contretemps et les surcoûts s’enchaînent, depuis le début des travaux en juillet 2005. Le coût de ce prototype, initialement fixé à 3,5 milliards, a explosé. Le surcoût dépasse désormais 3,35 milliards d’euros. En février 2013, un retard de 7 ans était annoncé. De quoi rendre "électriques" les relations avec TVO, le client finlandais d’Areva.

Si Luc Oursel garde son cap avec un objectif fixé à 10 EPR vendus d’ici à 2016, ces nouvelles difficultés ne devraient pas contribuer à redorer l’image du réacteur d’Areva.

http://www.usinenouvelle.com/article/ar ... is.N202098

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Areva : contrat de fourniture de combustible pour la centrale de Gösgen 5suisse)

26 Juillet 2013

Areva a annoncé hier avoir remporté un contrat pour la fabrication de 5 recharges de combustible destinées à la centrale nucléaire de Gösgen située en Suisse, dotée d'un réacteur d'une puissance de 1.035 MW bruts.
Dans ce cadre, Areva ajoute qu'elle fournira, à partir de 2018, 180 assemblages de combustible à l'électricien suisse Gösgen-Däniken AG.

Le groupe Areva a construit la centrale nucléaire de Gösgen et fabrique ses éléments combustibles depuis sa mise en service en 1979. L'industriel français modernise actuellement le contrôle-commande grâce au système TELEPERM® XS de sûreté numérique.

"Ce contrat renforce encore les liens historiques entre Gösgen-Däniken AG et Areva. La fourniture à ce client de services portant à la fois sur le réacteur et les combustibles illustre la compétitivité de l’offre intégrée du groupe et renforce notre position de fournisseur nucléaire en Suisse", a expliqué Guillaume Dureau, Directeur du BG Amont d'Areva.

http://www.enerzine.com/2/16098+areva-- ... sgen+.html

[Remundo]

Voici la fiche technique de Gösgen

Il semble qu'elle soit capable d'utiliser du UO2 classique et aussi du MOX...

Areva doit avoir grande envie de refourguer du MOX en ce moment...

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Areva : contrat de services avec l'électricien américain PSEG Nuclear

05 Sept 2013 enerzine

Areva a annoncé hier la signature d'un contrat de services à long terme avec l'électricien américain PSEG Nuclear dans le cadre des arrêts de tranche de trois réacteurs des centrales de Salem et Hope Creek, situées dans le New Jersey.

Ces prestations incluent le rechargement des réacteurs en assemblages de combustible, un programme d'inspection et la maintenance des générateurs de vapeur. Les premières opérations débuteront à l'automne 2013.

Areva interviendra sur deux réacteurs à eau pressurisée et sur un réacteur à eau bouillante.

Le parc nucléaire de PSEG Nuclear est le deuxième aux Etats-Unis par sa capacité (plus de 3 500 MWe). Sa production répond quotidiennement aux besoins en électricité de trois millions de ménages.

"Nous sommes fiers de fournir à PSEG et à l'industrie nucléaire américaine des solutions compétitives et de qualité pour améliorer durablement la sûreté et la fiabilité des centrales nucléaires", a déclaré Philippe Samama, Directeur de la business unit Base Installée. "Ce contrat marque la reconnaissance de notre culture de sûreté, de nos capacités techniques et de notre maîtrise des offres intégrées."

http://www.enerzine.com/2/16188+areva-- ... lear+.html

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Emballages nucléaires : Areva signe avec des électriciens allemands

enerzine le 06 Sept 2013

Areva a annoncé la signature de plusieurs contrats en Allemagne pour la fourniture de plus de 70 emballages de type TN24E, pour un montant supérieur à 200 millions d’euros.
Dédiés au transport et à l’entreposage des combustibles nucléaires usés (oxyde d’uranium ou MOX), ces conteneurs en acier ont été conçus d'après Areva pour résister à des conditions extrêmes et offrent un très haut niveau de performance et de flexibilité aux clients.

L’Office fédéral allemand pour la radioprotection a récemment approuvé l’utilisation du TN24E, permettant pour la première fois à une société étrangère d’accéder au marché de la gestion des combustibles usés allemands.

"Nous sommes fiers d’apporter notre expertise des combustibles usés à nos clients historiques allemands. Grâce à la certification en Allemagne de ses emballages TN24E, Areva accède à un nouveau marché et le groupe est désormais bien positionné pour proposer à ses clients allemands son offre complète de fin de cycle", a déclaré Dominique Mockly, Directeur Exécutif du Business Group Aval d'Areva.

http://www.enerzine.com/2/16233+emballa ... ands+.html