C'est pas un pléonasme ça ?Cloverfield Alone a écrit : Certaines plantes qui végétaient depuis quelques années se sont mis à pousser de façons impressionnantes.

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C'est pas un pléonasme ça ?Cloverfield Alone a écrit : Certaines plantes qui végétaient depuis quelques années se sont mis à pousser de façons impressionnantes.
Interessant surtout de remarquer que le terme de" végéter" a actuellement une connotation négative .......Comme si pousser naturellement au rythme des saisons et au gré de la richesse du sol local , ...c' etait nul de chez nul , et qu" avec 1kg de NPK, qqs litres de petrole et une serre , "on " fait achement mieux ......C'est vrai que les "jardinier " végètent avec ce temps de merdre ...surtout ceux qui vendent des barbecue et des gadgets sur gazon .....Je crois que je l' ai deja dit ....les sardines sont moitié prix , si vous avez une cheminée ou une cuisine exterieure ...Raminagrobis a écrit :C'est pas un pléonasme ça ?Cloverfield Alone a écrit : Certaines plantes qui végétaient depuis quelques années se sont mis à pousser de façons impressionnantes.
A lire : http://www.liberation.fr/sciences/2013/ ... ain_906990Le climat a un grain
Enquête
Y a-t-il un mystère derrière ce printemps pourri ? Non, répondent les météorologistes, qui invoquent un blocage de la circulation atmosphérique au-dessus de l’Atlantique. En revanche, les spécialistes sont bien moins formels quant au futur du climat planétaire qui demeure très incertain.
Par SYLVESTRE HUET
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Le printemps exécrable a coûté au moins 700 millions d'euros à la France
12 Juin 2013 LeFigaro
LE CHIFFRE ÉCO - Selon une étude Protourisme, la météo maussade d'avril et mai derniers a entraîné un manque à gagner d'au moins 700 millions aux secteurs du tourisme, de l'agriculture et du BTP. Les prévisions pour l'été ne laissent guère présager d'un retournement de tendance.
http://www.latribune.fr/actualites/econ ... caise.htmlAu printemps 2013, la météo a (aussi) déprimé l'économie française
D'après une étude RTL, la mauvaise météo aurait coûté près de 700 millions d'euros à l'économie française. Tourisme, BTP, agriculture sont les secteurs qui ont le plus souffert de la météo. Le secteur de l'énergie, en revanche, se frotte les mains...
Le mauvais temps n'est pas seulement mauvais pour le moral, il l'est également pour l'économie. En l'occurrence, le "printemps" aurait coûté particulièrement cher à la France cette année. D'après une enquête menée par RTL, la météo capricieuse de ces trois derniers mois pourrait avoir coûté près de 700 millions d'euros à l'économie française.
Le tourisme, première victime
Le tourisme apparait, sans surprise, comme le secteur qui a le plus souffert. "On peut chiffrer la perte à 300 millions d'euros par rapport à l'année dernière où le printemps était déjà mauvais", a expliqué Didier Arino, président du cabinet Protourisme et auteur d'une étude sur le sujet.
BTP, agriculture...
Il semblerait que le secteur du BTP a également souffert du mauvais temps. Des chantiers auraient pris du retard en raison de l'impossibilité pour les maçons, terrassiers, couvreurs de travailler sous la pluie abondante de ces derniers mois. Les entreprises ont donc accumulé les pénalités de retards de livraison. La Confédération des artisans des petites entreprises du bâtiment estime à 5% la baisse du chiffre d'affaires du secteur.
Les agriculteurs accusent également de lourdes pertes en raison de la météo décevante. La Fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles évaluent la perte à plusieurs dizaines de millions d'euros.
Le bonheur des autres...
Mais il n'y a pas que des malheureux dans ce contexte météorologique morose. Le secteur de l'énergie s'est très bien porté grâce à la persistance de températures quasi-hivernales qui ont obligé les particuliers et les entreprises à rallumer leur chauffage. Une étude du cabinet Sia Conseil estime que la facture d'électricité ou de gaz des particuliers devrait augmenter de 8% en moyenne cette année, soit 80 euros. Et les marchés ne s'y trompent pas. L'action EDF a augmenté de près de 23% sur trois mois, alors que le CAC 40 s'est tassé en lâchant 1,69%.
http://www.bfmtv.com/societe/coup-chale ... 65374.htmlCoup de chaleur: à qui profite la hausse des températures?
23 Juillet 2013
quelque chose malheur est bon, dit la maxime. Le coup de chaleur qui s'est abattu sur la France depuis quelques jours n'y échappe pas et certaines professions tirent leur épingle du jeu. Ce mardi, Météo France a prévu un écart de quatre degrés de plus que la normale saisonnière. Et ce n'est là qu'une moyenne, car selon la configuration des lieux, cet écart, qui ne semble a priori pas insurmontable, peut être ressenti de manière très variable.
RTE à la fête
Le premier à bénéficier de cet affolement du mercure est RTE, le convoyeur d'électricité principal de France, filiale d'EDF. La vague de chaleur a dopé la consommation d'électricité française de près 2.000 mégawatts, soit l'équivalent de 1,5 fois la consommation de Paris intra-muros, a indiqué mardi le gestionnaire du réseau.
Cette hausse de la consommation est due à l'usage "intensif" des climatiseurs, indique RTE dans une note pédagogique sur son site internet. "L'été, la consommation s'accroit de 500 mégawatts quand la température augmente d'un degré", explique Nathalie Lemaître, directrice adjointe du dispatching national de RTE, qui veille à la stabilité du réseau électrique à haute tension en France.
Selon RTE, la consommation des climatiseurs est perceptible dès que "les températures dépassent 18°C environ", l'effet s'accentuant ensuite en fonction de la chaleur.
Les restaurateurs boivent du petit lait
Outre les marchands de crèmes glacées, d'espadrilles et d'articles de plage, d'autres professionnels, pour lesquels la météo à une réelle incidence, bénéficient de cette chaleur. Ainsi, les restaurateurs adaptent leur carte. Les salades prennent le pas sur les plats plus roboratifs et la consommation des boissons augmente elle aussi.
l' electricité ne doit pas étre assez chére.....mahiahi a écrit :climatisation dès 18°C?