Ma Thèse se doit d 'etre theorique pour autoriser l' analyse ( K.Lorenz disait qu'entre une espece isolée et une espece sociale , il y a des tas d' intermediaires ).hyperion a écrit :il faudrait etre sur que l'unité de lieu soit detruite ; l'école et les clubs de vieux sont loin de disparaitre. 2 stades tres stabilisants pour la société.6/La destruction de ce modèle de groupes morcelés ( qu' on peut améliorer d'etages fractales)...pour une dynamique globalisatrice ...n' autorise plus les interactions d' affect .....gregarité que l' individu va essayer de recreer ...Mais virtuellement et par affinité ( pas d' unité de lieu : groupe de motard , groupe de bio , ou de fachos , bar a pédés ou a turfistes ....
Cette endogamie culturelle des groupes est dangereuse , car l' inhibition de l' agressivité entre individus (qui a mis si longtemps a se formater en rites complexes), ne va pas fonctionner entre groupes et va etre au contraire boostée ....
pour ce qui des lynchages en periode de crise, je n'ai pas entendu qu'il yen ait bq en Grèce.
en fin le nombre d'homicides qui represente la vraie violence est stable voire en légère baisse.
L' unité de lieu de la cellule humaine dans mon système d' analyse est exclusif ...vie et habitat sur place , histoire commune sur des génération ( on est reconnu qd on est connu)...regrouper des enfants ou des vieux c'est comme regroupe des motards à la victoire le vendredi soir ( place de Bordeaux)...les rétroactions doivent se faire au plus pres de la "brique initiale".Fernand Braudel montre bien que les villages tendent vers l' autarcient et dépendent des bourgs puis des villes que pour des besoins marginaux ( bien qu' essentiels).
La grece n' est pas assez desespérée pour s'en prendre a ses maitres et le délitement est limitée au dessus de la survie ( pas de manque alimentaire) ..les manifs anti Merkel ont été des plus dures .
Dire que l' homicide est "LA" vraie violence me parait etre un raccourcit ...pas beaucoup d' homicides à Dachau ou des moutons sur le berger ..
Ma seul démarche est de montrer que l' optimisation de l' individu ne peut passer que par le modèle qui a si longtemps formaté le couple individu-groupe .....donc un groupe restreint ..Je m' appuie sur l' anthropo, l'ethnologie et surtout l' ethologie pour ce qui est de l' extreme rigidité comportementale transhistorique d' une espece ...du moins ds ses interactions entre individu , meme si comme pour les corvidés ils sont tres "souples"/adaptable envers l'environnement .
Les rats , par ex peuvent avoir des centaines d' individus , puisque ce n' est pas la "reconnaissance" qui gere l' affect mais l' odeur caractéristique au groupe.
Mon but n' est pas cde trouver des solutions mais de cerner "LE" problème qui , a mon sens n' est pas ideologique mais uniquement structurel ...
Si l' on me demandait des solutions , je conseillerais plutot de cherche des "outils " qu' une structure idéale qui ne pourrait cohabiter avec la dynamique actuelle ( sauf pour un individu, une famille , voire un petit groupe)......des outils comme favoriser des circuits courts , de l'auto-production , favoriser des retours ruraux , du télé travail en ruralité ou rurbanité ,l' abandon du concept modialiste , globalisation ...Le retour au commerce bi-lateral plutot que le multilatéral , l' inversion temporel de la demande sur l' offre ...etc