Modérateurs : Rod, Modérateurs
Mais non , c'est le plan d' invasion des méduses sur fuku !
Mais la propagation des ondes correspondant au tsunami est assez ou complétement indépendante des courants marins.kercoz a écrit : ....apres tout ce sont les memes courants marins .....pour un thèsard courageux!
C'est aussi mon premier ras bord....au 3eme ras bord , me suis dit que vu la carte , les tsu ça aime peut etre surfer sur les courants !( les requins du nuke restant sur terre )yvesT a écrit :Mais la propagation des ondes correspondant au tsunami est assez ou complétement indépendante des courants marins.kercoz a écrit : ....apres tout ce sont les memes courants marins .....pour un thèsard courageux!
http://www.rtbf.be/info/societe/detail_ ... id=8163128Ostende: de l'uranium appauvri dans la queue des avions
L'uranium appauvri provient de la queue de deux vieux Boeing démolis sur l'aéroport. Beaucoup d'anciens appareils possèdent cet uranium appauvri utilisé pour servir de contrepoids. Sa masse équilibre les gouvernes de l'avion.
Sa fonction est d'éviter les vibrations provoquées par la vitesses. Des vibrations qui pourraient désintégrer la gouverne de l'appareil.
de 400 à 850 kilos dans la queue
Alors pourquoi avoir choisi l'uranium appauvri qui pourrait être toxique en cas d'accident? Tout simplement en raison de sa densité. Ce " matériau " permet de fabriquer des contrepoids très lourds occupant un espace très réduit. Un Boeing 747 contient jusqu'à 400 kilos d'uranium appauvri.
Si les nouveaux appareils sont maintenant pourvus d'autres technologies, les avions détruits à Ostende contenait, chacun, 850 kilos d'uranium. Une partie de cette masse a été retrouvée dans un conteneur de l'aéroport et le reste chez le ferrailleur.
L'Agence fédérale de contrôle nucléaire (AFCN) n'a pas été avertie par le ferrailleur qui aurait dû le faire surtout qu'il dispose d'appareils de mesure
L'AFCN qui a décidé de mener une enquête précise que cela n'a eu aucun impact sur la santé des travailleurs ni des riverains. Des mesures ont aussi été prises pour éviter que cet uranium appauvri ne soit traité comme de la simple ferraille.
Surement un petit jeune qui fait ses premières pigesRaminagrobis a écrit :Inquiétude autour de l'unique centrale nucléaire nord-coréenne (France info)
Si il fallait la preuve que les journalistes sont prêts à raconter n'importe quoi pourvu que ça fasse peur sur le nucléaire : ce court article dit (au moins) trois énormes conneries.
"la vétusté de l'installation qui utilise une technique hors d'âge : le refroidissement par graphite"
le refroidissement par graphite, ca existe pas. C'est la modération des neutrons
"Le graphite est hautement inflammable, d'autant plus quand il s'agit de graphite usagé comme celui dont dispose la Corée du Nord. "
du "graphite usage" ça ne veut rien dire
"C'est exactement ce qui s'est passé à Tchernobyl."
Ils insinuent que ça risque un accident de type tchernobyl alors qu'on parle ici d'un petit réacteur de recherche ne contenant que qq kg de combustible
c'était mieux dit dans un article des echos de sept 2013 que j' avais poste le 21 sept 2013.Raminagrobis a écrit :Inquiétude autour de l'unique centrale nucléaire nord-coréenne (France info)
Si il fallait la preuve que les journalistes sont prêts à raconter n'importe quoi pourvu que ça fasse peur sur le nucléaire : ce court article dit (au moins) quatre énormes conneries.....
L'expérimentation par l'exemple de la démocratie directeparadigme a écrit :Certains préfèrent la santé de l'humain au nucléaire :
"La nouvelle centrale, installée à 40 km de Taipei, serait la 4e de l'île exposée aux tremblements de terre." Comme en France on construit dans des zones sismiques, ils sont fous les nucléocrates !
http://www.20minutes.fr/planete/1362489 ... r-centrale
http://www.usinenouvelle.com/article/de ... ne.N270017Des traces de plutonium dans la Seine
Usine Nouvelle le 20 juin 2014,
L'Usine Nouvelle Aux abords de Rouen, des traces de plutonium ont été retrouvées dans des sédiments de la Seine. L'Autorité de sureté nucléaire assure que le risque est faible.
Des traces de plutonium ont été retrouvées dans la Seine au niveau du bassin des docks de Rouen, et dans le bras mort de la Seine à Bouafles (Eure). Elles ont été identifiées dans le cadre du programme de recherche Rhapsodis (Reconstitution Historique des Apports Particulaires à la Seine par l’Observation De leur Intégration Sédimentaire) engagé en 2008 et mené par l'Institut de radioprotection et de sureté nucléaire (IRSN). Le plutonium est un métal lourd et radioactif produit au cœur des réacteurs nucléaire.
Des pollutions de 1961 et 1975
Des marques anormales de plutonium ont été relevées dans des carottes réalisées en 2011. Alertée, l'Autorité de sureté de nucléaire (ASN) a demandé à l'IRSN de mener une enquête pour identifier la provenance de ces contaminants. Deux sources de pollution ont été identifiées. L'une datant de 1961, l'autre de 1975.
L'origine de la première contamination est inconnue. Quant à la seconde, elle est liée au CEA qui, à cette époque, menait des recherches sur les procédés de retraitement et de séparation des transuraniens (famille d'éléments lourds dont le plutonium fait partie), sur le site de Fontenay-aux-Roses (Hauts-de-Seine).
Un faible risque
Selon l'ASN, cette pollution présente un faible risque sanitaire, en particulier pour les agriculteurs qui auraient épandu les boues traitées dans la station d’épuration voisine d’Achères. Ce plutonium dans les sédiments de la seine présente un impact de 0,12 millisievert (mSv) par an pour les habitants le plus en contact. L'ASN invite à comparer cette dose aux 2,4 mSv de "radioactivité naturelle reçue par toute personne en France" et au 1,3 mSv reçue lors d'examens médicaux
http://www.20minutes.fr/societe/1406950 ... -nucleaireUn avion de tourisme pris en chasse par l'armée après le survol d'une centrale nucléaire
20 Juin 2014
Un avion de tourisme allemand a été pris en chasse vendredi par l'armée de l'air après avoir survolé la centrale nucléaire de Penly (Seine-Maritime) et a été forcé à atterrir près d'Amiens, a-t-on appris auprès de la préfecture de la Somme.
Le pilote, de nationalité allemande et âgé d'une soixante d'années, et ses deux passagers ont été interceptés aux environs de 13H00 et forcés à atterrir à l'aérodrome de Glisy, près d'Amiens, a-t-on ajouté de même source, confirmant une information du Courrier picard.La prise en chasse par l'armée de l'air est « la procédure habituelle pour tous les sites interdits de survol », a précisé la préfecture.
Les trois occupants de l'avion entendus au commissariat
L'avion immatriculé en Allemagne a été fouillé, puis mis sous scellés à l'aérodrome et des vérifications étaient faites pour savoir si des photos avaient été prises, selon la même source.
Les trois occupants de l'appareil étaient en cours d'audition au commissariat d'Amiens.
L'enquête, menée par la Direction départementale de la sécurité publique, devra démontrer si le survol de la centrale nucléaire est dû à une erreur de pilotage ou à une volonté délibérée. Les trois occupants de l'avion risquent un rappel à la loi dans le premier cas, des peines d'amende, de prison et la perte de leur licence dans le second cas, a indiqué la préfecture de la Somme.
