OK à condition de mettre celui de Jean Jouzel en faceRemundo a écrit : Faudrait faire le bilan CO2 du livre de Monsieur Gervais en y incluant toutes les externalités (ordinateurs, camions de livraisons...)![]()
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OK à condition de mettre celui de Jean Jouzel en faceRemundo a écrit : Faudrait faire le bilan CO2 du livre de Monsieur Gervais en y incluant toutes les externalités (ordinateurs, camions de livraisons...)![]()
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Faudrait peut-être aussi faire le bilan carbone de la taxe carbone qui pour l'instant n'a pas économisé un kopek, surtout en émission carbone !GillesH38 a écrit :OK à condition de mettre celui de Jean Jouzel en faceRemundo a écrit : Faudrait faire le bilan CO2 du livre de Monsieur Gervais en y incluant toutes les externalités (ordinateurs, camions de livraisons...)![]()
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Comparons ce qui est comparable. Quand on parle de baisse de la surface de la banquise arctique, on fait référence au minimum atteint en été. Il n'est pas question de regarder ce qui se passe en hiver puisque, en Arctique comme en Antarctique, il fait très froid et même si ça réchauffe un peu ça ne change pas le fait que c'est bien en dessous de 0°.GillesH38 a écrit :je pense que tu loupes le point essentiel : si la banquise Antarctique augmente avec la température, ça veut dire que d'autres facteurs que la température moyenne du globe interviennent. Dans ce cas, comment être sûr que d'autres facteurs dans l'autre sens (aggravant la fonte) n'interviennent pas AUSSI en Arctique ? c'est l'assimilation rapide fonte = augmentation de température qui est critiquable, d'autant que la fonte s'est accélérée dans les années 2000 … où il n'y a plus de réchauffement sensible ! on pourrait tout aussi bien blâmer les suies émises par le charbon chinois qui diminuent l'albédo (ça a été prouvé).ABC a écrit :Sauf que l'augmentation de l'Antarctique est très loin de compenser celle de l'Arctique, encore un argument à la limite de l'honnêteté.comme par exemple quand François Gervais lui a dit que oui la banquise Arctique fond et ça on en parle mais que la banquise de l'Antarctique augmente
ben non , il ne fond pas puisqu'il reste en dessous de 0°C, comme le rappelle l'article que tu cites. C'est plutôt la perte de glace par les glaciers qui s'accélère, mais c'est mesuré sur une période de temps qui me semble courte pour en tirer des des extrapolations; Sinon l'article explique bien l'augmentation de la banquise antarctique par d'autres facteurs que le RC, tout comme je disais ...factsory a écrit : Comparons ce qui est comparable. Quand on parle de baisse de la surface de la banquise arctique, on fait référence au minimum atteint en été. Il n'est pas question de regarder ce qui se passe en hiver puisque, en Arctique comme en Antarctique, il fait très froid et même si ça réchauffe un peu ça ne change pas le fait que c'est bien en dessous de 0°.
Or l'été en Antarctique la surface de la banquise est déjà très faible (plus faible que celle de l'Arctique). Elle est présente surtout le long des côtes. Mais globalement l'Antarctique fond.
Ce qui me navre le plus lorsqu'on discute sur ce sujet, c'est de rencontrer si souvent la mauvaise foi.williams a écrit :Et 1998 n'est pas une année particulière
affirmation maintes fois réfutée, mais ce n'est pas grave, on continue.williams a écrit :e montre le réchauffement de la Terre qui n'évolue plus depuis 1998
La quantité de chaleur contenue dans les océans, par exemple.GillesH38 a écrit :quelles températures proposes-tu de considérer alors ?
Cette "réponse" n'en est pas une vu qu'il n'adresse aucun des points soulevés dans l'article original.yvesT a écrit :Il y a la réponse (enfin esquive) de Gervais aussi :
Non, je crois que le petit débat lu dans le monde n'est absolument pas à l'avantage de Gervais. Quant au bilan carbone, il est le même pour tous les bouquins à succès, ne faisons pas de mauvais procès.Remundo a écrit :Bon pour les ventes ! Le fond scientifique, peu importe, la polémique oui.
Il doit avoir déjà préparé une série de réponses toutes faites à balancer au fur et à mesure dans les médias pour entretenir la flamme.
Faudrait faire le bilan CO2 du livre de Monsieur Gervais en y incluant toutes les externalités (ordinateurs, camions de livraisons...)
Il est clair que les changements climatiques changent aussi les échanges de chaleur et sa répartition, ce qui explique les différences entre les diverses parties du monde. Ici, il est possible que l'isolement de l'Antarctique en hiver soit renforcé. Après, la question soulevée est le bilan global.GillesH38 a écrit :je pense que tu loupes le point essentiel : si la banquise Antarctique augmente avec la température, ça veut dire que d'autres facteurs que la température moyenne du globe interviennent. Dans ce cas, comment être sûr que d'autres facteurs dans l'autre sens (aggravant la fonte) n'interviennent pas AUSSI en Arctique ? c'est l'assimilation rapide fonte = augmentation de température qui est critiquable, d'autant que la fonte s'est accélérée dans les années 2000 … où il n'y a plus de réchauffement sensible ! on pourrait tout aussi bien blâmer les suies émises par le charbon chinois qui diminuent l'albédo (ça a été prouvé).
La théorie du RCA enfin réfutée! Bientôt pour toi le prix Nobel!oleotax a écrit :Ici , on peut comparer ce qui est comparable ; après , si on veut rendre le CO2 responsable du réchauffement arctique, il faut admettre que dans l'hémisphère sud , ses propriétés radiatives changent de sens
ah ben ça n'est pas une température de surface , ça !!ABC a écrit : La quantité de chaleur contenue dans les océans, par exemple.
Il ne me semble pas qu'il aient commencé à la calculer que ces dernières années.pourquoi est ce que les climatologues ont usé et abusé de la température moyenne en surface, alors, si maintenant ils s'aperçoivent que c'est la quantité de chaleur qui compte ?(curieusement ils réalisent ça juste au moment où les températures stagnent tiens ….)
Non, cela, ce n'est pas le papier de Rosenthal et al, c'est un graphique extrait de climate audit...bon, sur la quantité de chaleur (température moyenne ) des océans, il y a le papier récent de Rosenthal et al. qui peut être intéressant …
ben c'est un graphique fait à partir des résultats du papier non?ABC a écrit :Il ne me semble pas qu'il aient commencé à la calculer que ces dernières années.pourquoi est ce que les climatologues ont usé et abusé de la température moyenne en surface, alors, si maintenant ils s'aperçoivent que c'est la quantité de chaleur qui compte ?(curieusement ils réalisent ça juste au moment où les températures stagnent tiens ….)
Non, cela, ce n'est pas le papier de Rosenthal et al, c'est un graphique extrait de climate audit...bon, sur la quantité de chaleur (température moyenne ) des océans, il y a le papier récent de Rosenthal et al. qui peut être intéressant …
Ceci dit, sur le site en question, on peut lire: Compiled IWT anomalies based on Indonesian records spanning the ~500- to 900-m water depth
Il s'agit d'une mesure locale, est-il bien raisonnable de l'étendre?
Pas de prévision, pas de prévention, pas de solution ==> pas de pognonTovi a écrit :Ce que la plupart des climato-sceptiques ne comprennent pas c'est que le GIEC établit des probabilités de scenarios. Et après ils ont beau jeu de dire : " vous voyez, le GIEC s'est trompé, il ne s'est pas passé ce qu'ils avaient prévu."
Sauf que le GIEC ne fait PAS de prévision, justement. Ca n'a rien à voir avec un bulletin météo.
Même pas, le GIEC établit surtout des connaissances de bases et modèles associés, permettant de dire (avec les fourchettes d'incertitudes associées), à quel climat (ou caractéristiques climatiques et autres aspects connexes, acidité des océans etc) mènera tel ou tel scénario.Tovi a écrit :Ce que la plupart des climato-sceptiques ne comprennent pas c'est que le GIEC établit des probabilités de scenarios.