Tu peux donner des détails ?Tovi a écrit :Sans compter la destruction des logements sociaux...
Quelle réalité dans ce que tu affirmes ?
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Tu peux donner des détails ?Tovi a écrit :Sans compter la destruction des logements sociaux...
Surement nonenergy_isere a écrit :Tu peux donner des détails ?Tovi a écrit :Sans compter la destruction des logements sociaux...
Le crédit confirme son statut de locomotive du marché immobilier : selon les chiffres publiés jeudi par la Banque de France , l’encours total de crédit à l’habitat a progressé à fin novembre de 3,1% en rythme annuel, à 811 milliards d’euros. Les chiffres du mois prochain - qui permettront d’apprécier les 12 mois de 2013 - ne devraient pas dire autre chose. Cette performance a de quoi surprendre dans une économie atone, comme en témoigne la stagnation du crédit aux entreprises.
Revers de cette médaille : ces conditions profitent particulièrement aux secondo-accédants, qui revendent leur logement en vue d’en acquérir un autre. En cas de remontée des taux, ces derniers ne pourraient sans doute plus soutenir le marché. Et une baisse des prix plus conséquente pourrait alors s’enclencher. «L’inconnue est l’ampleur de la hausse des taux à 20 ans. En ordre de grandeur, s’ils passent de 3% à 4%, les prix baissent de 5% à 10% », expliquait récemment aux «Echos» Laurent Vimont, dirigeant du réseau Century 21.
La rénovation de certains quartiers revient souvent à détruire 2 logements pour 1 reconstruit. Le tout coûtant 1 milliard par an au pays.energy_isere a écrit :Tu peux donner des détails ?Tovi a écrit :Sans compter la destruction des logements sociaux...
Quelle réalité dans ce que tu affirmes ?
??Tovi a écrit :La rénovation de certains quartiers revient souvent à détruire 2 logements pour 1 reconstruit. Le tout coûtant 1 milliard par an au pays.energy_isere a écrit :Tu peux donner des détails ?Tovi a écrit :Sans compter la destruction des logements sociaux...
Quelle réalité dans ce que tu affirmes ?
http://www.boursier.com/actualites/econ ... 22752.htmlImmobilier : Standard & Poor's table sur une baisse des prix de 3% en 2014
Boursier.com 22 Janv 2014
Les prix de l'immobilier résidentiel en France devraient reculer de 3% en 2014, après un repli de 2% en 2013 et de 2,1% en 2012, selon une étude Standard & Poor's publiée ce mercredi. Les économistes de l'agence de notation tablent ensuite sur un rebond de 2% en 2015. Pour établir ces prévisions, l'agence s'est basée sur une croissance de l'économie française qui atteindrait 0,6% cette année et 1,4% l'an prochain, soit en dessous des projections du gouvernement (respectivement +0,9% et +1,7%).
A titre de comparaison, le courtier en agences immobilières, MeilleursAgents.com, prévoit cette année une accélération de la baisse des prix dans l'immobilier ancien avec un recul supérieur à 7% en France, alors que la FNAIM table sur un repli qui ne devrait pas excéder 4%.
Faiblesse de l'offre
L'agence S&P rappelle que le marché français se singularise par une très légère correction des prix après une très forte hausse enregistrée entre 1997 et 2007 (+157%). Le marché a notamment été soutenu par la faiblesse de l'offre. En outre, la FNAIM table sur une nouvelle année de faiblesse des transactions, autour de 650.000 après un niveau estimé à 668.000 en 2013.
La baisse des taux explique également cette situation... Le leader français des courtiers en prêts immobiliers, CAFPI évoque le risque d'une hausse des taux d'emprunt de 0,5% au premier semestre 2014 et jusqu'à 1 point d'ici la fin de l'année. S&P souligne qu'une accélération de la hausse des taux amènerait moins d'acheteurs, ce qui aurait pour conséquence d'accentuer le recul des prix immobiliers...
Peu de biens sur le marché
Et la situation n'est pas prête de s'améliorer selon S&P, qui note que les dernières données ne sont pas bonnes. D'après les chiffres publiés en décembre par le ministère du Développement durable, le nombre de permis de construire délivrés a reculé de 4,6% sur les trois derniers mois en novembre alors que les mises en chantier se sont repliées de 5,1%... Sur l'ensemble de l'année 2013, la France aurait construit un peu plus de 330.000 habitations neuves, d'après la ministre du logement, Cécile Duflot, contre un objectif gouvernemental de 500.000 par an.
http://www.europe1.fr/Immobilier/Immobi ... t-1800033/Immobilier : dans le neuf, les ventes s'effondrent
13 fev 2014 Europe1
En 2013, les ventes ont chuté de plus de 30% par rapport à 2010. Et l'année 2014 ne s'annonce pas plus glorieuse.
Les logements neufs ne sont pas à la mode. En 2013, les ventes se sont tout simplement effondrées. Elles ont même reculé de plus de 30% par rapport à 2010, selon un bilan de la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI) qu'Europe1 a pu consulter en avant-première.
Pourquoi ? Explications.
La Bourse plutôt que la pierre. La principale explication, c'est que les investisseurs ont boudé les logements neufs. En 2013, les ventes réalisées auprès de ces acheteurs, ceux qui cherchent des logements pour placer leur argent plus que pour y habiter, ont reculé de 4,1 % par rapport à 2012. Et sur deux ans, la chute est vertigineuse : près de 47 % de baisse ! La première raison ? Le marché immobilier a un sérieux concurrent : la Bourse. Le CAC a en effet progressé de 18% en 2013 et les investisseurs ont préféré la Bourse à la pierre.
Une politique "très mal perçue". Par ailleurs, la politique du logement du gouvernement actuel semble faire peur aux investisseurs. "Madame Duflot a annoncé des mesures pesant sur le statut du bailleur privé, en matière de blocage des loyers. Ça a été très mal perçu et nous le ressentons au niveau des ventes", estime ainsi Philippe Vigneron, président de la Fédération des promoteurs immobiliers en Auvergne et promoteur immobilier à Clermont-Ferrand, au micro d'Europe1. Dans sa région, seuls 450 logements neufs ont été commercialisés en 2013, un recul de 40 % par rapport à 2010.
La pire année depuis 25 ans ? Les promoteurs, qui s'adaptent à la demande, réduisent donc d'ores et déjà leurs programmes. Pour 2014, la Fédération des promoteurs immobiliers anticipe d'ailleurs une année plus noire que noire : 65.000 ventes de logements neufs seulement, ce qui serait le deuxième plus bas niveau depuis 25 ans.
Après cela n'enlève rien au fait qu'en effet cette réglementation est une vraie "usine à gaz". D'une manière générale les RT vont aujourd'hui trop loin et limitent complètement les libertés de conception, même si des progrès ont été faits.Le décret n° 2010-1269 du 26 octobre 2010 indique les dates d’application suivantes :
• en ce qui concerne les bâtiments neufs à usage de bureaux ou d’enseignement, les établissements d’accueil de la petite enfance, ainsi que les bâtiments à usage d’habitation construits en zone Anru, la RT 2012 est applicable à tous les permis de construire déposés plus d’un an après la date de publication du décret (26 octobre 2010), c’est-à-dire à compter du 28 octobre 2011 ;
• pour les autres bâtiments neufs à usage d’habitation, donc hors zone Anru, la RT 2012 s’appliquera à tous les permis de construire déposés à compter du 1er janvier 2013
Il n'y a pas un système a point (nombre de parois lourdes ou un truc du genre...) ? C'est ce que j'avais en tête. Pas assez fouillé en tout cas...sherpa421 a écrit : La norme ne prends simplement pas en compte l'inertie thermique.
Les prises, c'est la NF C 15-100, qui comme la RT, se trouve "indérogeable". C'est à dire qu'il n'y a plus aucune confiance dans le concepteur. A contrario de la RT, Si demain tu dis à ton électricien de ne pas respecter cette norme, difficile d'obtenir le consuel, et garantie d'avoir un rapport non conforme à la revente. C'est effectivement très con, mais ça existe depuis très très longtemps, et effectivement les industriels de l'électricité n'y sont pas pour rien.sherpa421 a écrit : Mais je pense que c'est la norme de trop. Une prise de téléphone + une prise TV dans chaque chambre c'est très bien pour Monsieur Legrand
sherpa421 a écrit :Pour ma maison de 35 m2 c'est juste absurde.
content de voir que sur certains sujets, on a les mêmes "délires"..Pour ce qui est des normes à la cons et du consuel, j'ai réglé le problème : pas de connexion à ERDF. Un petit panneau et un batterie ça convient à la plus part de mes besoins. Pour le moment c'est une résidence secondaire et mes besoins sont limités.