Seulement quand il sera sous les 10 000 €phyvette a écrit :Tovi, un commentaire ?energy_isere a écrit :Le lingot 1 kg sous les 30 000 €.

Achetez de l'or, bordel !!

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Seulement quand il sera sous les 10 000 €phyvette a écrit :Tovi, un commentaire ?energy_isere a écrit :Le lingot 1 kg sous les 30 000 €.
http://www.agenceecofin.com/or/2201-169 ... jet-yaoureCôte d’Ivoire: Amara Mining met en évidence un nouveau gisement d’or dans le projet Yaoure
Agence Ecofin 22 Janv 2014
La compagnie minière Amara Mining Plc, listée sur AIM, précédemment Cluff Gold Plc, a mis en évidence un important gisement d’or dans son projet aurifère Yaouré couvrant 367 km2 qu’elle détient à 100% dans le centre de la Côte d’Ivoire.
Le gisement découvert est estimé à 190 tonnes et a été qualifié « exceptionnel de classe mondiale » par le ministre ivoirien de l'Industrie et des Mines, Jean-Claude Brou, qui est allé en rendre compte, accompagné du président d’Amara John McGloin, au chef de l’Etat Alassane Ouattara, le 21 janvier, rapporte l’agence Xinhua. « Cette mine d'or est la plus grande découverte en Côte d'Ivoire », a précisé M. McGloin, faisant état d’une prévision de production estimée à 190 tonnes.
L’exploitation de ce gisement nécessiterait un investissement de 200 milliards de francs CFA et génèrera 1300 emplois.
Au cours actuel 5,7 milliards d'euros, de quoi mettre du beurre dans les épinards des ivoiriensLe gisement découvert est estimé à 190 tonnes et a été qualifié « exceptionnel de classe mondiale » par le ministre ivoirien de l'Industrie et des Mines, Jean-Claude Brou, qui est allé en rendre compte, accompagné du président d’Amara John McGloin, au chef de l’Etat Alassane Ouattara, le 21 janvier, rapporte l’agence Xinhua. « Cette mine d'or est la plus grande découverte en Côte d'Ivoire », a précisé M. McGloin, faisant état d’une prévision de production estimée à 190 tonnes.
L’exploitation de ce gisement nécessiterait un investissement de 200 milliards de francs CFA et génèrera 1300 emplois.
http://www.usinenouvelle.com/article/a- ... or.N238961A Sotchi, les médailles d’or olympiques brillent... mais contiennent peu d'or
Usine Nouvelle le 07 février 2014,
Les médailles olympiques et paralympiques sont plus grosses, plus lourdes, mais contiennent bien moins d’or qu'il y a un siècle.
Bonne renommée vaut mieux que médaille dorée ! Les médailles d’or qui seront attribuées aux vainqueurs des Jeux Olympiques et Paralympiques de Sotchi ne sont que des médailles d’argent recouvertes d’une fine pellicule de métal jaune. La faute à un cours de l’or qui a atteint des sommets : 1 895 dollars l’once (28,35 grammes) en 2011, et 1 260 dollars aujourd'hui. A ce prix-là, il en coûterait 23 600 dollars par médaille d’or. A 20 dollars l’once, l'argent est moins prestigieux, mais plus économique.
Il faut remonter au début du 20e siècle pour trouver des médailles d’or encore en or. Mais, après les trois olympiades de 1904 (Saint-Louis), 1908 (Londres) et 1912 (Stockholm) la quantité d’or employée a fortement diminué.
Les récompenses des Jeux de Sotchi, produites par le joaillier russe Adamas, sont des médailles d’argent de 525 grammes recouvertes d’une couche d’or de 6 grammes. Avec leurs 4 pouces (10,16 cm) de diamètre et 0,4 pouce (1 cm) d’épaisseur, ce sont les plus imposantes et les plus lourdes jamais attribuées. Légèrement plus grandes, les médailles d’argent sont… en argent et celle de bronze, en alliage classique, cuivre et zinc. Nouveau record avec l’intégration de nouvelles compétitions cette année, ce sont 1 300 médailles qui ont été fabriquées.
Les Nobel mieux lotis
Pour obtenir de vraies médailles d’or, plutôt que de se mettre au sport, il fallait viser les prix Nobel. Mais tout se perd. Avant 1968, les médailles d’or attribuées en même temps qu’une coquette somme en numéraire étaient fabriquée en or à 23 carats. Depuis, les lauréats doivent se contenter d’une médaille en or vert à 18 carats (75% d’or, 20% d’argent, 5% de cuivre) recouverte d’une couche d’or à 24 carats.
Pour ceux et celles qui veulent un pur métal jaune, ne reste que la médaille d’or du Congrès américain. Elle est traditionnellement de 3 pouces (7,62 cm) de diamètre et pèse environ 15 onces, soit 425 grammes. Pour faire des économies, lorsque le prix de l’or avait fortement augmenté durant l’administration Carter, sa taille avait été réduite et le poids d'or contenu n'était plus que de 1,5 (42,5 g) à 2 onces (56,7 g). La décrue des cours du métal jaune, sous l’administration Reagan, a permis à la médaille de retrouver ses dimensions et son poids initiaux. Au plus haut des cours de l’or, elle contenait pour plus de 28 000 dollars de métal jaune.
La relique barbare a de beaux restes mais contrairement à la volonté de Lénine, les urinoirs ne sont toujours pas en or en Russie. Les médailles olympiques non plus.
http://www.lesechos.fr/entreprises-sect ... 649915.phpOn va chercher de l’or en Maine-et-Loire
Par Les Echos 12/02/2014
La société Variscan a obtenu un permis pour exploiter un gisement d’or et d’argent en actif entre 1905 et 1941. L’an passé, l’entreprise Variscan avait déjà obtenu un premier permis de recherche pour une zone à cheval sur les départements de la Sarthe et de la Mayenne.
« Je veux donner une nouvelle ambition à la France, celle de redevenir un pays dans lequel on peut exploiter des mines ». C’est ce que déclarait Arnaud Montebourg en octobre 2012 à l’occasion d’une réunion du Comité pour les métaux stratégiques (COMES). Ce mercredi, le ministère du Redressement productif a accordé un permis exclusif de recherche de mines d’or et d’argent à la société Variscan Mines en Maine-et-Loire, dans un secteur où avait été exploité au siècle dernier l’un des principaux gisements d’or de l’Hexagone.
« Le permis (..) lui permettra d’entreprendre, dans le périmètre d’exploration déterminé, des démarches de reconnaissance et d’acquisition de données pendant cinq ans, afin d’évaluer les ressources en or et en argent susceptibles d’être présentes », précise le ministère dans un communiqué. Le périmètre d’exploration couvre 33 communes et « contient le gisement d’or de La Bellière, qui était en exploitation au début du siècle dernier », est-il ajouté.
« Alors que l’activité de recherche minière en France avait totalement cessé, cinq opérateurs ont aujourd’hui montré leur intérêt pour les ressources minières de notre sous-sol », se félicite par ailleurs le ministère, en soulignant que « huit autres demandes d’autorisation pour des recherches sur le territoire métropolitain sont en cours d’instruction ».
Un deuxième permis de recherche pour Variscan
Ce nouveau permis de recherche est le second accordé en France métropolitaine depuis « plus de vingt ans », selon le ministère. L’an passé, Variscan avait obtenu un premier permis de recherche de métaux pour une zone de 205 km2 à cheval sur les départements de la Sarthe et de la Mayenne.
Basée à Orléans, la société Variscan Mines a été fondée en 2010 par d’anciens ingénieurs du Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) grâce à des capitaux australiens, avec pour but de relancer la prospection minière en France. Elle comptait cinq salariés en 2013.
10,4 tonnes d’or extraites entre 1905 et 1941
Situé à Saint-Pierre-Montlimart, près de Cholet, ce gisement a été exploité pendant une quarantaine d’années sur une période s’étendant de 1905 à 1952. Le filon avait été découvert à la fin du XIXe siècle par un châtelain local, ancien inspecteur des Mines.
Selon le site spécialisé Francilor , il a représenté avant la Seconde guerre mondiale un des principaux gisements de métropole, avec 10,4 tonnes d’or extraites entre 1905 et 1941.
energy_isere a écrit : .....La société Variscan a obtenu un permis pour exploiter un gisement d’or et d’argent en actif entre 1905 et 1941. .....et « contient le gisement d’or de La Bellière, qui était en exploitation au début du siècle dernier », .....
http://www.lemonde.fr/economie/article/ ... _3234.htmlLa Chine devient le premier consommateur mondial d'or
Le Monde | 18.02.2014
Comme prévu, la Chine est devenue, en 2013, le premier consommateur mondial d'or, détrônant l'Inde, qui détenait ce titre depuis des décennies. Selon le rapport sur la demande mondiale de ce métal précieux pour 2013 du Conseil mondial de l'or (CMO), publié mardi 18 février, la demande d'or physique (bijoux, pièces et lingots) a atteint le « niveau record » de 1 065,8 tonnes en Chine, en hausse de 32 % par rapport à 2012, contre 974,8 tonnes en Inde.
De plus, le CMO estime qu'il y a actuellement environ 300 tonnes d'or non répertoriées par les statistiques qui seraient éparpillées dans la chaîne d'approvisionnement de ce métal en Chine, ce qui porterait la demande totale aux alentours de 1 400 tonnes. Les données du CMO ne remontent qu'à une vingtaine d'années mais « l'Inde a toujours été le premier marché depuis les années 1950-1960 et même avant », a expliqué Marcus Grubb, directeur général du CMO.
Si la Chine a pu passer devant l'Inde, c'est en partie grâce aux mesures prises par le gouvernement indien pour limiter les entrées d'or dans le pays, afin de réduire l'énorme déficit extérieur indien. Ces mesures (hausse des droits de douane, limitations des importations, etc.) ont provoqué une chute de 63 % de la demande indienne d'or au troisième trimestre, selon les données officielles indiennes citées par le CMO. Sur l'ensemble de l'année toutefois, la consommation indienne s'est maintenue en hausse de 13 %, notamment grâce aux achats frénétiques réalisés avant la mise en place de certaines de ces mesures en juillet.
« L'ANNÉE DU CONSOMMATEUR »
La forte hausse de la demande d'or chinoise est également attribuable à « l'accroissement de la classe moyenne, l'augmentation de la prospérité, l'urbanisation, des niveaux d'épargne très élevés et aussi un manque d'autres options d'investissements » en Chine, a détaillé M. Grubb. Au niveau mondial, 2013 a été « l'année du consommateur », la demande mondiale d'or sous forme de bijoux, pièces et lingots ayant bondi de 21 %, pour s'établir à un plus haut historique de 3 863,5 tonnes, souligne le rapport du CMO.
Le cours de l'or a flanché de 28 % en 2013, déstabilisé par la fuite des investisseurs financiers qui ont massivement retiré leurs billes des ETF, ces fonds d'investissement adossés à des stocks physiques d'or. Dans un contexte d'apaisement des craintes inflationnistes et de la crise économique, les investisseurs se sont en effet détournés du métal jaune, ce qui a forcé les ETF à se débarrasser de 880,6 tonnes de métal jaune l'année dernière, selon le CMO.
De leur côté, les banques centrales sont restées acheteuses nettes d'or l'année dernière, et ce pour la quatrième année d'affilée, mais ont été moins gourmandes qu'en 2012 : leurs achats ont ainsi chuté de 32 % en 2013, à 368,6 tonnes. L'appétit des consommateurs n'a donc pas réussi à combler totalement la fuite des investisseurs financiers et les moindres achats des banques centrales puisque la demande mondiale d'or, toutes catégories confondues, s'est repliée de 15 % l'année dernière par rapport à 2012.
Pour ce qui est de l'offre, elle s'est établie à 4 339,9 tonnes, en recul de 2 %, principalement à cause d'une chute de 14 % des quantités d'or recyclées.
http://indices.usinenouvelle.com/metaux ... feres.4988Sévère correction pour les aurifères
Le 14 février 2014 par Usine Nouvelle
Les compagnies minières tablaient sur un supercycle de l'or. La chute des cours du métal jaune a été rude pour leurs résultats.
Le cours de l'once d'or repassé au-dessus des 1 300 dollars pour la première fois depuis le début de l'année 2014 ne va pas consoler les actionnaires des grandes compagnies aurifères qui annoncent des résultats catastrophiques pour 2013. Le recul de 27% des cours de l'or en 2013, la première baisse annuelle depuis 2002, a lourdement frappé les entreprises du secteur. Trois groupes basés au Canada, Barrick Gold, Goldcorp et Kinross Gold, qui sont parmi les dix premières compagnies du secteur, affichent des pertes combinées qui atteignent 16 milliards de dollars. "La réalité est que notre industrie est cyclique et nous devons assurer des retours sur investissement quel que soit le contexte des prix", a expliqué Jamie Sokalsky, le directeur exécutif de Barrick, en guise d'autocritique. Et le responsable de la recherche commodités de Goldman Sachs, Jeffrey Currie, attend un nouveau recul du métal jaune vers les 1 050 dollars!
Les compagnies aurifères ont également été obligées de revoir à la baisse leurs réserves d'or. Avec un cours attendu nettement plus bas, une partie de leurs réserves potentielles ne sont plus rentables à exploiter. Les trois canadiens ont donc réduit leurs estimations de 26% pour Barrick, de 33% pour Kinross et de 15% pour Goldcorp. Comme les compagnies minières diversifiées, les groupes aurifères, après une douzaine d’années de hausse continue du métal jaune, s'étaient lancés dans de nouveaux projets aussi colossaux que complexes. Le nouvel environnement économique les a obligés à rectifier leurs stratégies et à appliquer de drastiques plans d'économies.
Sur son site, Barrick Gold affirme son ambition : "Notre objectif est d'être la meilleure compagnie aurifère du monde en opérant de manière sûre, profitable et responsable." Un objectif qui n'a pas été atteint en 2013 avec une perte de 10,3 milliards de dollars, amplifiée par 2,82 milliards de dépréciations d'actifs. La suspension du projet géant de Pascua Lama, dans une zone à 5 000 mètres d'altitude à cheval sur l'Argentine et le Chili, est la première cause de ces pertes et profits, atténuées en partie par 1 milliard de dollars de cessions d'actifs. Kinross, qui a subi 2,3 milliards de dépréciations d'actifs, et Goldcorp n'ont pas fait mieux avec des pertes respectivement de 3 milliards et 2,71 milliards de dollars.
Les programmes d'économies mis en place par les aurifères comprennent classiquement des programmes de réduction des coûts opérationnels, des ventes de mines et des coupes drastiques dans les dépenses d'investissement. Barrick, qui va réduire de moitié ses dépenses d'investissement en 2014, a cependant mis en garde sur une hausse attendue de 7% de son coût opérationnel moyen. "Je ne comprends pas que les aurifères ne se soient pas couverts quand les cours du métal jaune approchaient les 1 900 dollars", s'interrogeait récemment l'expérimenté Christian Hocquard du BRGM.
http://www.romandie.com/news/MTAUX-PRCI ... 468238.romMÉTAUX PRÉCIEUX/La demande chinoise d'or progressera d'au moins 20% d'ici 2017
Londres (awp/afp) 15 Avril 2014
La Chine, qui a dépassé l'Inde comme premier consommateur mondial d'or en 2013, verra sa demande de métal jaune croÎtre d'au moins 20% d'ici 2017, selon les prévisions du Conseil mondial de l'or (CMO).
La demande d'or physique (bijoux, pièces et lingots, utilisations industrielles) en Chine devrait atteindre "au moins 1350 tonnes" à la fin de l'année 2017, indique un rapport sur le marché chinois de l'or publié mardi par le CMO, organisation réunissant les plus grands producteurs d'or.
Cela représente une augmentation de près de 20% par rapport au niveau record de consommation de 2013, évalué à 1132 tonnes d'or par le CMO. L'année dernière, la Chine a détrôné l'Inde comme premier acheteur mondial d'or, représentant 26% de la demande privée mondiale.
Le CMO a utilisé des hypothèses économiques assez conservatrices (taux de croissance moyen de 6% sur la période 2014-2017), ce qui signifie que la demande chinoise d'or pourrait augmenter dans de plus grandes proportions, a expliqué à l'AFP Alistair Hewitt, l'un des auteurs du rapport.
La consommation chinoise d'or a connu une "croissance stupéfiante" ces dernières années, triplant depuis 2003, a rappelé M. Hewitt. La demande d'or en Chine a été particulièrement dopée par la levée en 2004 de l'interdiction faite aux personnes privées de détenir des lingots d'or.
"Nous pensons que le marché chinois de l'or va continuer de se développer au cours des prochaines années", grâce à "l'importance culturelle de l'or, à l'augmentation des revenus et au soutien du gouvernement", détaille M. Hewitt.
"De plus en plus de personnes s'enrichissent, ont plus d'argent à dépenser en bijoux et plus d'économies à investir", ajoute-t-il, rappelant que selon Ernst & Young le nombre de ménages chinois de la classe moyenne devrait passer de 300 à 500 millions d'ici 2020.
Les Chinois affectionnent particulièrement les bijoux en or pour les mariages (40% de la demande de bijoux) et pour les fêtes tels que le Nouvel an. Le CMO estime que la consommation de bijoux en or devrait passer de 669 tonnes en 2013 à 780 tonnes en 2017.
En tant qu'investissement, l'or est privilégié en l'absence de réelles alternatives.
"Pour beaucoup, l'or est la forme préférée d'épargne: les marchés d'action sont trop volatils, l'immobilier est surévalué et la plupart des comptes ont des taux d'intérêt réel négatif", explique M. Hewitt.
La demande de pièces et de lingots d'or pourrait atteindre près de 500 tonnes en 2017, contre 397 tonnes en 2013, selon le CMO.
http://www.agenceecofin.com/or/0505-197 ... -de-kibaliRD Congo: inauguration officielle du grand gisement aurifère de Kibali
Agence Ecofin 05 Mai 2014
La mine d’or de Kibali située dans l'extrême Nord-Est de la RD Congo a été officiellement inaugurée, le 2 mai, par le ministre des Mines congolais, Martin Kabwelulu. Ce gisement aurifère, qui est l’un des plus grands d’Afrique, avait coulé, le 24 septembre 2013, son premier lingot d’or très en avance sur son objectif initial de la fin d'année.
Kibali Goldmines, la société qui exploite la mine est détenue à 45% par la compagnie minière sud-africaine Rangold Resources, à 45% par sa compatriote AngloGold Ashanti, et à 10% par l'Etat congolais.
Le gisement sera mis en valeur en deux phases avec des investissements de 2,5 milliards de dollars: une exploitation à ciel ouvert et une fonderie et une exploitation souterraine qui devrait démarrer en 2015. Le projet a permis la création de 7000 emplois, tenus à 80% par des Congolais.
Selon Kibali Goldmines, la mine de Kibali devrait pouvoir être exploitée jusqu'en 2031.
Pour 2014, la compagnie prévoit une production de 550.000 onces (15,6 tonnes) d'or.Selon Rangold Resources, les réserves prouvées de Kibali se montent à 11,6 millions d'onces (329 tonnes) d'or et pourraient encore augmenter.
L'or est l'une des principales ressources minières de la RD Congo, dont le sous-sol recèle d'énormes réserves de cuivre et de cobalt mais aussi des diamants, du fer, du nickel, du manganèse, de la bauxite ou encore de l'uranium et de la cassitérite.
http://www.agenceecofin.com/or/0805-198 ... bassi-eastMali: Alecto Minerals réalise une récupération aurifère à environ 90% dans Gourbassi East
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La compagnie cotée à Londres espère pouvoir récupérer les 193 000 onces d’or de ressources globales inférées des objectifs Gourbassi East et Gourbassi West du projet Kossanto par lixiviation au cyanure.
Toutefois, Alecto Minerals compte vérifier l’efficacité de ce procédé par des tests métallurgiques et analyses poussés avant toute stratégie de développement de ce projet qui recèle 5,04 Mt de ressources à une teneur de 1,19g/t d’or.
http://www.usinenouvelle.com/article/ba ... or.N264396Barclays mise à l'amende sur le marché de l'or
le 23 mai 2014, à 11h33 LONDRES (Reuters)
Une amende de 26 millions de livres (32,2 millions d'euros) a été infligée à Barclays pour son contrôle déficient de la procédure de fixation des cours de l'or, des manquements survenus au lendemain d'une amende représentant l'équivalent de 330 millions d'euros pour manipulation du Libor.
C'est la première banque à être mise à l'amende pour tentative de manipulation du marché de l'or mais une source a précisé que cette amende était exceptionnelle et n'était pas la conséquence d'une enquête plus générale sur une manipulation présumée du marché de l'or.
La Financial Conduct Authority (FCA), organisme de tutelle du secteur financier britannique, a observé des négligences de la part de Barclays de 2004 à 2013 et relevé que la principale infraction avait été commise le 28 juin 2012.
Elle a interdit d'exercice le trader de Barclays Daniel James Plunkett pour avoir exploité les failles des systèmes des banques britanniques.
"Les agissements de Plunkett se sont produits le jour suivant la publication de nos décisions contre Barclays sur le Libor et l'Euribor. L'enquête et ses conclusions dans ce dossier impliquaient que la société, et Plunkett, avaient pleinement conscience des risques de conflits d'intérêt autour des taux de référence", a dit Tracey McDermott, l'un des responsables de la FCA.
One Ton Gold Shipment Into Hong Kong Revealed To Contain Just Worthless Metal
ZeroHedge by Tyler Durden on 06/07/2014
Two years ago, stories of fake tungsten-filled gold coins and bars began to spread; it appears, between the shortage of physical gold (after Asian central bank buying) and the increase in smuggling (courtesy of India's controls among others) that gold fraud is back on the rise. As SCMP reports, a mainland China businessman, Zhao Jingjun, discovered that HK$270 million of 998kg of gold bars he bought in Ghana had been swapped for non-precious metal bars. What is perhaps even more worrisome, given the probe into commodity-financing deals and the rehypothecation evaporation; these gold bars were shipped to a Chinese warehouse before Zhao was able to confirm the fraud.
As South China Morning Post reports, police were last night making arrangements with a mainland businessman to check whether HK$270 million of gold bullion he bought in Africa was genuine after part of the consignment was swapped with metal bars.
On Wednesday, Zhao Jingjun, 43, opened part of his shipment in front of his buyer in Hong Kong and discovered the gold had been switched for worthless metal.
A senior officer said it would be the city's biggest heist in a decade if it was confirmed that all the gold had been stolen.
An initial inquiry showed Zhao purchased 998kg of gold bars from a company in Ghana in mid-April, police said.
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