Il doit y avoir 2 raisons d'après moi :mobar a écrit :Mais alors pourquoi focalise sur le CO2 alors que la vapeur d'eau, qui a un pouvoir radiatif comparable est bien plus importante en quantité, que sa quantité évolue à la hausse avec la température et que contrairement au CO2 elle peut former des nuages qui protègent (ou pas) du rayonnement solaire incident?GillesH38 a écrit : il n'y a aucune incompatibilité thermodynamique à ce que qu'un corps froid renvoie partiellement du rayonnement vers un corps chaud. C'est même pour ça que les couvertures de survie ou les bouteilles thermos sont métallisées (tu es quand même d'accord que l'enveloppe d'une bouteille thermos est plus froide que son contenu !). Ce qui est interdit par le second principe, c'est que le flux de chaleur total aille du corps froid au corps chaud. Mais rien n'empêche de réduire un flux de chaleur du chaud au froid.
Et d'ailleurs en l'occurrence le flux de chaleur total dans l'atmosphère est ... quasi nul, le flux incident à courte longueur d'onde (visible) étant compensé par le flux à grande longueur d'onde (IR). Qu'une partie de ce flux IR soit rétrodiffusé n'est en rien une violation du second principe (au lieu de + F vers l'espace, tu as +F+F' vers l'espace et - F' vers le sol mais le bilan est conservé).sur la quantification de l'effet, on est d'accord que c'est discutable. Cependant l'impact radiatif du CO2 sans rétroaction est autour de 1°C/doublement. La seule vraie discussion porte sur l'ampleur des rétroactions, c'est à dire reste-t-on à 1°c et quelques ou va-t-on vers 2,3, ..4°C par doublement ?Et maintenant quel peut être, sur la température du sol, l'effet isolant d'un composé 600 fois moins présent que la vapeur d'eau?
Probablement inférieur à l'énergie thermique dégagé au niveau du sol par les 400 tep consommée chaque seconde par l'humanité tous fossiles confondus
On est dans l'époaisseur du trait, et on dépenbse des milliards pour nous convaincre du contraire
Pourquoi?
Voila une bonne question!
Pourquoi les mix de gaz à fort pouvoir radiatifs ne sont ils pas intégrés dans les modèles analytiques?
Pourquoi focaliser sur le CO2 et négliger la vapeur d'eau?
Est ce par ce qu'on ne sait pas calculer l'influence d'un composé majeur qu'on se rabat sur les composés mineurs?
Ce serait un peu fort de café pour des scientifiques!
Toute cette histoire pue la manip foireuse à plein nez depuis le début, vivement qu'un refroidissement vienne clouer le bec à tous ces charlatans et qu'on passe à autre chose
- Avec l'augmentation du CO2 dans la tropopause il y a le H2O qui diminue dans la stratosphère suivant ce qui est dit.
- Puis parler de l'augmentation du CO2 est en parti une histoire scientifique comme cette évolution a un effet sur l'évolution d'autres éléments (température...), mais parler du CO2 c'est aussi politique avec un lien avec le pétrole.
Williams