La question ne se pose pas du tout en ces termes !Herv12 a écrit :Ce serais certainement plus logique financièrement parlant, d'attendre avant de raser.
Le problème, c'est que nos "très chers" écolos vont crier au scandale... Alors on rase à grands Frais.
Mais il y a la question de ce qu'on lègue a nos enfants... Et la, au cas ou ils ne puissent plus le faire ( par manque d'énergie, parce que le pays se sera "tiersmondisé"...) il vaut mieux s'en charger de suite, même si c'est plus cher.
Pour ma part, je pense que la logique serait, à la fin de vie d'une tranche, d'en construire une seconde en remplacement à coté. Et quand celle la arrive à l’échéance, on rase la première, pour construire la troisième et vice versa. Les ferrailles légèrement contaminées issues de la première pourraient être refondues pour être réutilisées pour le chantier de la troisième...
La code de l'environnement impose aux exploitants d'INB de constituer des provisions destinées à financer le démantèlement, de sécuriser ces provisions et d'ajuster leur montant en fonction des exigences émises par le législateur
Il n'y a pas de problème de financement ... sauf si l'exploitant est de mauvaise foi et organise son insolvabilité à la fin de l'exploitation pour éviter de payer la note
Tout ceci est un faux débat qui devrait nous alerter sur une évolution pour le moins suspecte de la position d'EdF
Chercheraient ils à soustraire à leur obligations et par la même occasion au versement des montants associés pour les faire assumer par les finances publiques?
Pour y voir clair dans les obligations de l'exploitant
http://riseo.fr/La-charge-de-la-remise-en-etat-d-243