oleotax a écrit :@sherpa
En dehors des médias, ceux de mes amis qui m'on exprimé leur doute sur le réchauffement climatique sont également très citrique sur le système productiviste
C'est vrai que les discours des médias sont souvent très acides

Il faut voir que les médias abusent toujours dans le même sens pour croire des infos fausses à propos de ceux qui ne sont pas d'accord à 100 % avec l'Etat et le GIEC. Car ils savent ce qu'ils risquent si non suite à ce qui c'est passé pour Christophe Verrier.
Par exemple, regardé dans le message de Energy_isere ce que Le Monde dit en abusant sur les septiques. Car en l’an mil, il ne faisait bien plus chaud qu'aujourd’hui mais ils disent ceci par que cette période est la dernière où il a fait le plus chaud depuis maintenant et donc où les températures était les plus proche à aujourd'hui.
C'est comme ils nous disent dans cette page du L Monde :
Cette dernière a enregistré, entre 1645 et 1715, une baisse importante baptisée « minimum de Maunder » – du nom de l’astronome qui, le premier, l’a mise en évidence à la fin du XIXe siècle. Mais le soleil n’est pas la seule cause possible à ce refroidissement : le volcanisme est aussi parfois mis pointé du doigt. Lors des grandes éruptions comme celles du Tambora (1815) ou du Laki (1783),...
Là oui ils parlent d'autres facteurs influençant le climat pour le refroidissement lors du « minimum de Maunder » alors que pour le réchauffement que nous connaissons ils ne parlent que du CO2. Puis il faut quand même voir que les éruptions volcaniques importantes font baisser les températures que de 2 à 4 ans maximum ce qui est rien sur les 70 ans de cette périodes. Si non il aurait fallut 23 grosses éruptions volcaniques et en plus tous bien à la suite tout les 3 ans. Et comme vous savez tous ce n'est pas le cas.
Alors que pour l'évolution de l'activité solaire il faut voir que depuis l'an 900 à nos sont évolution est la même à long terme que celle des températures du fait que l'optimum médiéval et les années 50 à 90 sont les périodes où l'activité solaire sont le plus haut alors que le « minimum de Maunder »,... sont des périodes où l'activité solaire a bien baissé comme la température. Quand on voit une évolution sur 2 éléments qui ont des liens entre eux (énergie...) qui ce suivent sur 1115 ans ne peut tout de même pas être une coïncidence. C'est tout comme le lien entre les effets de Milankovitch (effets astronomies) et les glaciations-interglaciation dont les 2 éléments ont un lien d'énergie mais sur une échelle de temps bien plus grande.
De plus dans cette page ils montrent la courbe Crosse Hockey de Michael Mann pour ne pas montrer qu'il a fait bien chaud à l'époque de l'Optimum Médieval alors que le GIEC a pourtant reconnu dans un rapport que cette courbe est fausse. Cela montre que Le Monde jouent sur les courbes, infos... pour dire ce qu'ils veulent. Plus d'infos sur cette fausse courbe ici :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Graphique ... _de_hockey
C'est comme ici
http://www.lemonde.fr/cop21/article/201 ... tus&xtcr=2 dans Le Monde ils disent «
Notre analyse, concluaient Bala Rajaratnam (université Stanford) et ses coauteurs, révèle qu’il n’y a pas eu de "hiatus" dans l’augmentation de la température moyenne mondiale,.... » alors que le GIEC l'a reconnu au dernier rapport ainsi que le CNRS... comme il est dit ici
http://www.insu.cnrs.fr/node/5222 encore cette année :
Ces observations ont toutefois montré un net ralentissement du réchauffement global de 1998 à 2012 relativement à l’ensemble de la période 1951-2012Ce "hiatus" dans le réchauffement atmosphérique global peut paraître d’autant plus intriguant qu’il semble difficilement conciliable avec la plupart des simulations effectuées lors de la 5ème phase du projet d’intercomparaison des modèles de climat CMIP (qui a en partie servi de support à la rédaction du 5ème rapport du GIEC). Le ralentissement observé relève-t-il dès lors uniquement de la variabilité naturelle du climat ? Traduit-il aussi une mésestimation des forçages radiatifs anthropiques, voire une trop grande sensibilité des modèles à ces forçages ?
Les travaux les plus récents sur ce thème tendent à privilégier la première piste, en désignant plus particulièrement le Pacifique tropical et le régime des alizés. Ce bassin océanique est en effet le siège d’une forte variabilité naturelle qui se manifeste aux échelles interannuelle (phénomène ENSO, pour El Niño/Southern Oscillation) et multi-décennale (PDO pour Pacific Decadal Oscillation) et se traduit notamment par de fortes fluctuations des vents dominants. L’hypothèse avancée est la suivante : l’intensification récente des alizés aurait provoqué un transfert de chaleur de la surface vers la subsurface de l’océan Pacifique tropical, via le renforcement des courants océaniques...
Williams