Absolument mais ça répond pas à la question.Remundo a écrit :toi il y a bien d'autres choses qui t'échappent, non ?


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Absolument mais ça répond pas à la question.Remundo a écrit :toi il y a bien d'autres choses qui t'échappent, non ?
T'as des répulsion dans l'absolu? Comment tu peux avoir une répulsion sans un point à partir duquel cette répulsion à lieux? idem pour l'attraction bien sur.Remundo a écrit :la répulsion et l'attraction ne sont pas des forces dépendantes d'un référentiel.
Seules les forces d'inertie dépendent d'un référentiel.
Heu la distance sans référentiel spatial ça existe dans notre univers? Ta distance est forcément vis à vis d'un point. Ton négatif et ton positif existe en référence à ce point.Remundo a écrit :ces répulsions / attraction ne dépendent que de la distance qui sépare les 2 entités, indépendamment de tout référentiel.
C'est comparable à la force de rappel d'un ressort : quel que soit le référentiel, elle dépend de son étirement/compression.
J'utilise le mot référentiel au sens de la mécanique : un référentiel est un repère d'espace combiné à un repère de temps.
Tu dis y a pas de référentiel à part tel référentiel . Je me contente de dire qu'il en faut un.Remundo a écrit :Relis ce que j'ai écrit.
http://www.sciencesetavenir.fr/espace/p ... fusee.htmlPour la seconde fois, SpaceX parvient à reposer sa fusée sur une barge
Il dépende de la direction qui est référentiel spatial, de la distance qui en est un autre.Remundo a écrit :je dis que ces forces sont indépendantes du référentiel, à l'exception des forces d'inertie.
"mon positif" et "négatif" ne dépendent d'aucun référentiel, mais simplement que l'on fixe l'énergie potentielle d'interaction nulle à une distance infinie entre les 2 entités en intéraction.
http://www.numerama.com/sciences/169291 ... pacex.htmlVidéo : Regardez le retour sur Terre de la fusée de SpaceX
Julien Lausson
SpaceX diffuse une vidéo montrant le retour sur Terre du premier étage de sa fusée Falcon 9 lors de la mission du 6 mai 2016.
SpaceX a réussi le 6 mai dernier à faire revenir pour la deuxième fois le premier étage de sa fusée Falcon 9 après l’accomplissement de sa mission, qui consistait à déployer un satellite sur une orbite géostationnaire. L’opération n’était pas évidente : il fallait se poser sur une barge, de nuit et avec moins de carburant en réserve pour effectuer les ultimes manœuvres d’atterrissage.
Pour toutes ces raisons, SpaceX n’allait par se priver d’un moment de célébration. Surtout qu’on lui prêtait des chances assez minces de succès. Aussi, une semaine après le retour du lanceur sur Terre, l’entreprise spécialisée dans le domaine aérospatial vient de diffuser une vidéo montrant l’atterrissage du lanceur filmé par trois caméras disposées à des endroits stratégiques.
À l’heure actuelle, SpaceX est parvenue à faire revenir le premier étage de sa fusée à trois reprises et d’affilée. La toute première fois, c’était sur Terre, à Cap Canaveral, en décembre dernier. Les deux autres fois, la société a franchi un obstacle supplémentaire en la faisant poser sur une barge déployée au large.
http://www.usinenouvelle.com/article/po ... es.N390767Pourquoi l'Europe doute (toujours) de l'intérêt des fusées réutilisables
Hassan Meddah Usine Nouvelle le 10/05/2016
Coûts de remise à niveau, conséquences industrielles, impact pour Ariane 6...Pour Johann Wörner, le patron de l'Agence spatiale européenne (ESA), le concept de fusée réutilisable n'est pas forcément le bon choix pour l'Europe.
Admiratif mais pas forcément convaincu. Johann Wörner, le directeur général de l'agence spatiale européenne (ESA) sait apprécier l'audace et la capacité d'innovation d'Elon Musk le patron de SpaceX, sans pour autant être totalement persuadé par son projet de fusée réutilisable.
"La réutilisation n'est pas automatiquement la solution définitive. Il ne s'agit pas d'être pour ou contre. Il faut mesurer les avantages et les inconvénients", a expliqué le patron de l'ESA, le 10 mai 2015 devant les journalistes de l'Association des journalistes de la presse aéronautique et de l'Espace (AJPAE).
Selon lui, l'Europe spatiale ne doit pas se disperser et rester concentrée sur ses objectifs précédemment fixés. "Nous ne devons rien faire qui puisse nous empêcher de disposer d'une nouvelle famille de lanceurs en 2020", a-t-il précisé.
L'ESA mise sur Ariane 6 qui doit être disponible commercialement en 2020 pour environ 50% moins cher que la fusée actuelle et sur le lanceur Vega C capable de mettre sur orbite des charges moins lourdes. Selon lui, développer un tout nouveau lanceur réutilisable demanderait au moins dix ans d'effort.
le dilemme industriel
Le président de l'ESA n'a pas caché ses interrogations concernant le concept de fusée réutilisable.
"Nous ne savons pas pour l'instant le coût réel des lanceurs réutilisables", a-t-il expliqué. Il a ainsi rappelé l'énorme coût lié à la remise à niveau des navettes américaines (qui étaient capables d'embarquer un équipage), de l'ordre de 500 millions de dollars. Par ailleurs, la ré-utilisabilité entraîne une perte d'efficacité du lanceur non négligeable.
"Une fusée réutilisable du type de SpaceX doit embarquer 30% de son carburant pour assurer son retour. Cela réduit d'autant la charge utile", précise-t-il. Or chaque kilo emmené dans l'espace, coûte. Ainsi Stéphane Israël , PDG d'Arianespace, aime à rappeler qu'Ariane est généralement "pleine comme un oeuf" au profit de ses clients.
Mais la véritable problématique est d'ordre industrielle selon le patron de l'ESA. Que faire des usines et des emplois liés s'il n'est plus nécessaire de produire des fusées? A supposer en effet qu'une fusée Ariane serait utilisable 10 fois, l'Europe n'aurait plus besoin d'en produire qu'une par an puisqu'elle envisage une cadence annuelle de 11 lancements. Selon lui, cela entraînerait donc une remise en cause profonde de l'organisation industrielle du secteur spatial européen.
Cela n'empêche pas l'Europe de s'intéresser au concept sans toutefois copier SpaceX. Selon le directeur de l'ESA, d'autres voies technologiques existent comme l'usage d'un système de parachute, ou encore de drone intégré au lanceur capable de revenir avec les moteurs et la baie avionique du lanceur (commet avec le projet Adeline d'Airbus group).
http://www.futura-sciences.com/magazine ... rre-62781/Le futur Shenzhou emportera des taïkonautes loin de la Terre
Le 14/05/2016 à 11:27 - Rémy Decourt, Futura-Sciences
L'actuel vaisseau spatial Shenzhou ne peut pas transporter les taïkonautes au-delà de l'orbite basse. Une nouvelle génération est donc en préparation. En juin, le nouveau lanceur CZ-7 emportera un modèle réduit de démonstration de ce Shenzhou amélioré.
Les deux versions du futur véhicule qui doit succéder aux Shenzhou au début de la décennie prochaine. La plus légère servira en orbite basse mais aussi pour des voyages plus lointains. La version allongée est spécifiquement conçue pour les missions lunaires.
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http://www.futura-sciences.com/magazine ... ute-62864/La construction du module de service d’Orion a débuté
Le 22/05/2016 Rémy Decourt, Futura-Sciences
Le module de service d’Orion, le futur véhicule d’exploration de la Nasa, prend forme. Sa construction dans l’usine de Brême en Allemagne vient de débuter. Il sera construit par Airbus Defence and Space pour le compte de l’Esa qui le fournira à La Nasa en contrepartie du loyer pour la période 2017-2020 d’utilisation de la Station spatiale. Cela se fait dans le cadre du barter element, un système mis en place par les partenaires de l’ISS.
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http://www.lesechos.fr/industrie-servic ... 001978.phpSpaceX est à nouveau parvenu à faire atterrir sur une plateforme dans l'océan Atlantique le premier étage de sa fusée Falcon 9 après le lancement d'un satellite thaïlandais.
La société américaine SpaceX est à nouveau parvenue vendredi à faire atterrir en douceur sur une plateforme dans l'océan Atlantique le premier étage de sa fusée Falcon 9 après le lancement d'un satellite thaïlandais pour le placer sur orbite. La société californienne a déjà réussi à trois reprises d'affilée cette manoeuvre délicate : la première fois sur le sol en Floride et les deux autres fois sur une barge en mer.
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