Cependant, 1,6 Gb, c'est pas mal, mais c'est loin des 54 Gb de nouvelles découvertes, annoncés par PEMEX, dans le Golfe du Mexique. Mais c'est peut-être plus réaliste ...Huge energy reserves found in Afghanistan
By AP
WASHINGTON -- Two geological basins in northern Afghanistan hold 18 times the oil and triple the natural gas resources previously thought, scientists said yesterday as part of a U.S. assessment aimed at enticing energy development in the war-torn country.
Nearly 1.6 billion barrels of oil and about 15.7 trillion cubic feet of natural gas could be tapped, said the U.S. Geological Survey and Afghanistan's Ministry of Mines and Industry.
Afghan President Hamid Karzai described the estimates as "very positive findings," particularly since the country now imports most of its energy, including electricity.
"Knowing more about our country's petroleum resources will enable us to take steps to develop our energy potential, which is crucial for our country's growth," said Karzai, whose government was created after the U.S.-led invasion in 2001 and later won national elections.
The $2-million US assessment, paid for by the U.S. Trade and Development Agency, was nearly four years in the making.
U.S. Interior Secretary Gale Norton, whose agency includes the Geological Survey, said the assessment would help Afghanistan better understand and manage its natural resources.
Afghanistan's petroleum reserves were previously thought to hold 88 million barrels of oil and five trillion cubic feet of natural gas.
"There is a significant amount of undiscovered oil in northern Afghanistan," said Patrick Leahy, the U.S. Geological Survey's acting director.
Officials anticipate companies could begin energy exploration in two or three years.
Afghanistan : un nouvel Eldorado ?
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- Stéphane
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Afghanistan : un nouvel Eldorado ?
L'USGS vient d'annoncer une importante réévaluation des réserves de pétrole et de gaz naturel découvertes dans le nord de l'Afghanistan.
- GillesH38
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Re: Afghanistan : un nouvel Eldorado ?
et bien ca promet de belles luttes entre factions rivales pour le controle de ces teritoires ......Huge energy reserves found in Afghanistan
By AP
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Pour ceux qui ont vu "Massoud l'Afghan", cette mauvaise nouvelle :
http://passouline.blog.lemonde.fr/livre ... r_pon.html
http://passouline.blog.lemonde.fr/livre ... r_pon.html
Pour saluer Ponfilly
Gageons que la disparition de Christophe de Ponfilly sera annoncée par la presse sans que rien ne soit dit des causes de sa mort. Comme si elles étaient nécessairement honteuses. Une bonne vieille tradition, bien respectée, qui parfois tue un homme ou une femme une seconde fois, lorsque sa mort a l'éclat d'un geste ou d'un appel. Alors disons-le puisque cela a son importance : il s'est tiré une balle dans la tête vendredi au moment où ses confrères du jury du prix Albert Londres, auquel il appartenait de longue date en sa qualité d'ancien lauréat, remettait leur prix à Marseille. Il y était attendu ; au lieu de quoi, on y annonca la tragique nouvelle à ses amis. Il a laissé une lettre expliquant son geste. Ceux qui le connaissent n'ont pas eu besoin de la lire pour comprendre : outre des problèmes dans sa vie privée, la perte récente d'un ami et le refus par le jury du festival de Cannes de sélectionner son premier long-métrage, Ponfilly ne s'était jamais remis de l'assassinat du commandant Massoud. L'empathie de l'un pour l'autre avait abouti à une solidarité sans faille. Cette disparition l'avait plongé dans une mélancolie dont il n'était jamais sorti ; elle se nourrissait de ses violentes critiques à l'endroit des Occidentaux, coupables, selon lui, de n'avoir pas soutenu Massoud avec les moyens nécessaires quand il le fallait. Celui qu'il avait surnommé "le lion du Panshir" était son ami de longue date. Il avait consacré films, articles et livres (Lettre ouverte à Joseph Kessel sur l'Afghanistan, Poussière afghane, Massoud l'Afghan, Le clandestin, Les gobeurs de lune, Poussières de guerres, Vies clandestines) à défendre sa cause et à louer haut et fort sa personne.
Avec discrétion mais fermeté, il avait mis les choses au point lors de la polémique au cours de laquelle BHL avait abusivement excipé de ses liens privilégiés avec l'âme de la résistance afghane. Grand reporter, écrivain, documentariste et cinéaste, Christophe de Ponfilly, 55 ans, avait avant tout un regard et une éthique. Vendredi matin, il a raté le rendez-vous de Marseille. Lundi, il devait se rendre dans les studios de la télévision suisse romande à Genève pour y enregistrer l'émission Singulier, à lui consacrée à l'occasion de la parution de son nouveau livre, L'Etoile du soldat, dans lequel il raconte le destin d'un jeune soldat russe libéré par ses amis afghans puis tué par les Pakistanais lors d'une tentative d'évasion de sa prison. Entre temps, il s'est donné la mort, ce qu'on dit généralement quand on le dit, comme si c'était un cadeau.
- mahiahi
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En Français, les réserves de gaz sont estimées à 28 milliards de m3
Pour Christophe de Ponfilly, justement j'avais entendu son interview à la radio, ou il regrettait le succès commercial de "Massoud, l'Afghan" après la mort de son éponyme, et j'avais bien senti son malaise.
Sa mort, je l'ai apprise ce matin dans le journal et ça m'avait paru curieux "si vite".
C'était quoi l'histoire avec BHL?
Pour Christophe de Ponfilly, justement j'avais entendu son interview à la radio, ou il regrettait le succès commercial de "Massoud, l'Afghan" après la mort de son éponyme, et j'avais bien senti son malaise.
Sa mort, je l'ai apprise ce matin dans le journal et ça m'avait paru curieux "si vite".
C'était quoi l'histoire avec BHL?
C'est quand tout semble perdu qu'il ne faut douter de rien
Dieu se rit des hommes déplorant les effets dont ils chérissent les causes
Défiez-vous des cosmopolites allant chercher loin dans leurs livres des devoirs qu'ils dédaignent remplir autour d'eux
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