[Acteurs] OPEP : actualités de l'OPEP, quotas...
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- GillesH38
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il y a une explication possible plus physique : il suffit que les cours élevés de l'année précédente ait durablement modifié les comportements (économie de voiture par exemple) dans les pays occidentaux pour faire baisser la conso de 1 % pour que les stocks se reconstituent et que les prix baissent. Ce n'est que temporaire bien sur, la croissance asiatique et le declin de la production referont partir le prix des qu'on refranchira la barre dans l'autre sens.
Les prix ne sont pas du QUE a la spéculation, le premier moteur est l'équilibre offre-demande, la spéculation ne fait qu'amplifier les variations.
Les prix ne sont pas du QUE a la spéculation, le premier moteur est l'équilibre offre-demande, la spéculation ne fait qu'amplifier les variations.
Zan, zendegi, azadi. Il parait que " je propage la haine du Hamas".
- paradigme
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Le troc plutôt que le billet vert-pale
Hello !
En fait, il est possible que de plus en plus de pays (la Chine, l'Inde, etc.) souhaitent s'émanciper du dollar. Pour ce faire il troquent du pétrole contre d'autres produits, matières première pour les moins "développés" et produits manufacturés pour les autres.
Du coup, ils évitent d'être payé en monnaie de singe...
En fait, il est possible que de plus en plus de pays (la Chine, l'Inde, etc.) souhaitent s'émanciper du dollar. Pour ce faire il troquent du pétrole contre d'autres produits, matières première pour les moins "développés" et produits manufacturés pour les autres.
Du coup, ils évitent d'être payé en monnaie de singe...
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- Charbon
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Re: Le troc plutôt que le billet vert-pale
c'est une partie de la reponse qui explique la flambée d'un tas de matieres premieres. le dollar brule les mains. Mais, il y en a tellement...paradigme a écrit :Hello !
En fait, il est possible que de plus en plus de pays (la Chine, l'Inde, etc.) souhaitent s'émanciper du dollar. Pour ce faire il troquent du pétrole contre d'autres produits, matières première pour les moins "développés" et produits manufacturés pour les autres.
Du coup, ils évitent d'être payé en monnaie de singe...
- avec ça, il a décimé une panzer-divizion.
- il était dans l'artillerie ?
- Mais non, tu suit pas, il etait dans la LI-MO-NA-DE.
michel Audiard a propos d'une boisson d'homme au gout de pomme.
- il était dans l'artillerie ?
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- guino
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Ce sont les cours pour le mois de novembre qui sont si bas : ça s'explique aussi par le fait que ce n'est plus vraiment du future, et donc meilleure visibilité, donc "prix plus juste" . En tout cas, "plus calme".
Les cours pour le mois de décembre sont à 59 ... ( pensez aussi aux fréquentes baisses attentistes du vendredi soir ...)
Et comparez toujours les variations d'une période aux variations de la même période des années précédentes .
Les cours pour le mois de décembre sont à 59 ... ( pensez aussi aux fréquentes baisses attentistes du vendredi soir ...)
Et comparez toujours les variations d'une période aux variations de la même période des années précédentes .
mai 2010. je passais de moins en moins, j'ai acheté mon terrain, commencé à le travailler. L'ambiance sur oléocène se dégrade d'une façon alarmante, peu réjouissant quant à la capacité de l'humanité à réagir à des crises.Je ne me sens plus à ma place ici.
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A mon avis le prix du pétrole est très dépendant des stocks aux États Unis (rappelez vous le marché est myope et ne voit qu'à court terme) et si on regarde le dernier rapport de l'AIE à la page 27:Schlumpf a écrit :ca c'est très étonnant en effet. L'OPEP annonce une réduction (importante) de production et ca fait tomber les cours...(58 ce matin, 56 ce soir...) A n'y plus rien comprendre...

Les stocks aux États Unis sont effectivement au plus haut.
Donc pour moi il y a manipulation inhabituelle des stocks par le gouvernement de Bush pour le favoriser aux élections toutes proches.
Edit: euh désolé c'est peut être pas ici que je devais poster ceci.

L'homme ne court pas à sa perte, il y va en voiture!
- energy_isere
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Le Monde 20 Nov 2006Opep: seule l'Arabie a réduit comme promis sa production de pétrole (CGES)
L'Arabie saoudite est le seul pays membre de l'Opep à avoir tenu sa promesse de réduction de production de pétrole en novembre, a estimé lundi le Centre for Global Energy Studies (CGES) dans son rapport mensuel. Pour que les autres pays membres agissent, une dégringolade des prix du brut - et donc des revenus pétroliers - sera nécessaire, prédit le centre de recherche.
L'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) avait décidé il y a exactement un mois à Doha qu'elle réduirait sa production de 1,2 million de barils par jour à compter du 1er novembre afin d'enrayer la baisse des prix du brut. Mais "à part l'Arabie saoudite, aucun de ses membres n'a paru réduire sa production réelle", souligne le CGES. "Alors que les livraisons (de l'Opep) à ses clients occidentaux ont bel et bien été réduites, les exportations aux marchés bien moins transparents de l'Orient ont progressé", remarque le rapport. "Le seul signe de réduction de production est venu de l'Arabie saoudite, qui a poursuivi sa politique autorisant une baisse de sa production de brut lourd en réponse à une plus faible demande des consommateurs", ajoute le CGES. D'après le CGES, les onze membres de l'Opep (Irak inclus) produiront 29,6 mbj au quatrième trimestre, en baisse de seulement 200.000 barils par jour comparé au trimestre précédent. Le royaume saoudien "peut et va continuer à équilibrer le marché tant qu'il pourra le faire sans sacrifier un trop gros volume de production, mais il viendra un moment où l'Arabie ne sera plus capable, ou désireuse, d'agir seule pour faire remonter les prix", prévient le CGES. "Quand ce moment viendra, les autres membres de l'Opep devront assumer leur part du fardeau, mais l'histoire suggère qu'ils seront réticents" à abaisser leur offre à moins que les prix ne reculent considérablement, juge le centre de recherche.
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La menace d'une nouvelle baisse de production fait grimper le pétrole
La Tribune.fr - 27/11/06
Le ministre de l'Energie saoudien Ali al-Naimi n'exclut pas une deuxième baisse de la production du pétrole dans le pays avant la fin de l'année. L'hiver très doux a en effet conduit à un effritement de la demande et des stocks très fournis.
Dans une interview accordée au journal Al-Hayat, le ministre de l'Energie de l'Arabie Saoudite Ali al-Naimi fait savoir qu'il n'hésitera pas à procéder à un nouveau recul de la production de pétrole saoudien le mois prochain si la baisse de 1,2 million de baril par jour engagée en novembre ne suffisait pas à stabiliser les prix.
Alors que le pic de production hivernal ne devrait pas tarder, ces déclarations ont fait grimper les prix du baril. Le baril de brut pour livraison en janvier a gagné 1,6% à 60,20 dollars ce matin sur les échanges électroniques du New York Mercantile Exchange.
Après avoir réduit l'offre en novembre en raison d'un déclin de la demande et d'une hausse des stocks, les pays de l'OPEP (Organisation des pays exportateur de pétrole), qui produisent 40% du pétrole mondial, vont se réunir le 14 décembre à Abuja, au Nigeria. Le ministre de l'Energie du Qatar Abdullah bin Hamad a déjà fait savoir que la douceur de l'hiver a conduit à un effritement de la demande et des stocks très fournis.
Premier consommateur mondial de pétrole, les Etats-Unis ont en effet vu leur stocks grimper de 341 millions de barils il y a dix jours, 14% au-dessus de la moyenne sur cinq ans. En raison d'un hiver clément, la demande de chauffage à New York est actuellement de 36% en deçà de sa moyenne. Mais selon le National Weather Service, les températures retourneront à la normale la semaine prochaine. A temps pour que la situation se retourne avant la réunion de l'OPEP le 14 décembre.
- mrlargo
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Il doit s'agir de l'hiver indien...
on ira, où tu voudras quand tu voudras...
Je sors...
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La différence entre l’amour et l’argent, c’est que si on partage son argent, il diminue, tandis que si on partage son amour, il augmente. L’idéal étant d’arriver à partager son amour avec quelqu’un qui a du pognon.
(Philippe Geluck)
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- MathBreizh
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- GillesH38
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si on oublie le problème du prix qui est compliqué par tout un tas de facteurs psychofinanciers (tiens pas mal cet adjectif), ce qui est intéressant, c'est que la demande ne croit pas alors qu'elle était bien en retard sur les previsions d'il y a quelques années. Ce n'est donc pas tout de suite que la production va repartir à la hausse... le plateau a quelques beaux jours devant lui.
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- energy_isere
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Boursorama le 30 Nov 2006L'Opep serait heureuse d'accueillir l'Angola, mais pas de demande officielle
L'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) juge que l'intention affichée de l'Angola de rejoindre ses rangs est une "bonne initiative", mais n'a pas encore reçu de demande d'adhésion officielle, en ce sens, a indiqué jeudi un porte-parole.
L'Angola assiste "depuis des années" aux réunions de l'Opep en tant qu'observateur, et par conséquent, "s'ils ont pris l'initiative de vouloir nous rejoindre, c'est certainement une bonne initiative", a déclaré Omar Farouk Ibrahim, chef des relations publiques de l'Opep, à l'AFP par téléphone depuis Vienne.
Le conseil des ministres du pays africain s'est prononcé mercredi en faveur de l'adhésion de l'Angola à l'Opep, selon un porte-parole du ministère des Finances à Luanda.
La question de cette adhésion ne devrait toutefois pas encore être abordée lors de la prochaine réunion de l'Opep prévue le 14 décembre à Abuja (Nigeria), a indiqué M. Farouk Ibrahim.
"Dès que nous recevrons (la demande), elle sera transmise à nos ministres, et très probablement programmée à l'une des conférences" de l'Opep prévues l'année prochaine, a-t-il précisé.
M. Farouk Ibrahim a indiqué que l'Opep n'a pas reçu non plus de demande formelle d'adhésion de l'Equateur, qui vient aussi de manifester son intention de rejoindre le cartel, dont il est un ancien membre et qu'il a quitté en 1992.
- energy_isere
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L' article plus complet de Boursorama : http://www.boursorama.com/infos/actuali ... ws=3838937L'Opep pourrait laisser sa production inchangée
Avec un baril à plus de 60 dollars, l'Opep pourrait renoncer à réduire sa production lors de sa réunion de jeudi au Nigeria, mais l'importance des stocks américains de brut, à un plus haut de 13 ans, va dans le sens d'une nouvelle réduction de l'approvisionnement au début 2007.
Une faible majorité de ministres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole ont déclaré pencher en faveur d'une nouvelle diminution, d'au moins 500.000 barils par jour, après celle qui est entrée en vigueur le 1er novembre.