De plus les US ont des bases militaires partout autour de quoi mater n'importe quelle rébéllion.




On devra la mettre dans le fil ils l’ont dit, celle là ! En tout cas j’ai franchement rigolé en lisant ça.
Modérateurs : Rod, Modérateurs
Je crains que la note ne soit un peu salée...MadMax a écrit :Pas possible de sous-traiter au Chinois ?
lire à ce sujet l' histoire du déserteur Agustin Aguayo qui ne veut pas aller se battre en Irak.MadMax a écrit :Ils ont juste un petit problème de main-d'oeuvre dirons-nous !
c'est ici : http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0 ... 622,0.htmlC'est l'histoire d'un égaré dans une armée embourbée. L'histoire d'un jeune homme sincère et crédule, qui, aspirant à la fois à un statut, un métier, un avenir, s'est engagé dans la carrière militaire et s'est rendu compte, avec horreur, qu'il s'est fourvoyé. L'histoire d'un idéaliste, incapable de braquer une arme sur un autre homme, mais envoyé tout de même en Irak, et trop respectueux de son pays d'adoption pour imaginer déserter. L'histoire d'un soldat qui ne voulait plus l'être, et qui se retrouve aujourd'hui emprisonné, attendant un jugement de cour martiale dans une base américaine en Allemagne.
L'etat Kurde est une réalité.L'armement et la lutte contre le PKK au centre de la visite aux Etats-unis du ministre turc de la défense ANKARA (MAP) - Le ministre turc de la Défense Vecdi Gonul entame, lundi, une visite aux Etats-unis, consacrée à la coopération bilatérale pour la lutte contre les séparatistes kurdes ainsi qu'à la préparation d'un contrat d'armement pour l'équipement des forces aériennes turques.
M. Gonul rencontrera le secrétaire américain à la Défense Donald Rumsfeld et son adjoint Gordon England, rapporte l'agence de presse Anadolu, précisant que ces entretiens porteront notamment sur la mise en oeuvre d'actions concertées pour contrecarrer les activités des rebelles du parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) basés dans le nord de l'Irak.
Le ministre turc de la défense se rendra, mardi, dans une usine de l'avionneur Lockheed-Martin à Forth Worth (Texas) avant de regagner la Turquie en fin de semaine, précise la même source.
Cette visite intervient alors que les forces aériennes turques ont retenu Lockheed-Martin et son chasseur F-35 pour leur projet d'achat sur 20 ans de 100 avions de combat, un contrat d'un montant de 10 milliards de dollars.
Hum, qui paye les pots cassés des américains.....Agrandir la photo
KOWEIT (AFP) - L'Irak a demandé mardi à la communauté internationale une aide d'environ 100 milliards de dollars sur cinq ans pour reconstruire son infrastructure ravagée par plus de trois ans de violence.
"Nous avons besoin de 100 milliards de dollars pour reconstruire notre infrastructure. Ceci est un chiffre approximatif pour les cinq prochaines années", a déclaré M. Ali al-Dabbagh, porte-parole du gouvernement irakien lors d'une conférence de presse à Koweït.
"Nous avons besoin d'une assistance jusqu'à ce que notre secteur pétrolier soit reconstruit", a ajouté M. Dabbagh après l'ouverture d'une réunion préparatoire pour un "Pacte international avec l'Irak".
Des représentants de 14 pays donateurs et sept institutions internationales, dont l'ONU et l'Union européenne (UE), prennent part à cette réunion d'un jour qui doit approuver un projet d'accord international pour venir en aide à l'Irak.
Les pays donateurs demandent à l'Irak d'appliquer un programme de réformes économique, sociale et sécuritaire et de combattre la corruption répandue dans ce pays, avant d'accorder cette aide à Bagdad.
Le "Pacte international", préparé à l'initiative du gouvernement irakien actuel, a pour objectif de garantir à l'Irak une aide financière et politique pour restaurer la paix et la démocratie dans ce pays ravagé par la violence.
A l'ouverture de la réunion, le ministre koweïtien des Affaires étrangères, cheikh Mohammad Al-Sabah, a notamment affirmé qu'elle examinerait les moyens d'une meilleure utilisation de l'aide promise à l'Irak par les pays donateurs lors de la conférence de Madrid, en octobre 2003.
Les donateurs avaient alors promis de contribuer à hauteur de 33 milliards de dollars à la reconstruction de l'Irak, selon l'Espagne.
Selon cheikh Mohammad Al-Sabah, quelque 40 pays donateurs doivent participer à une autre conférence, à Bagdad, avant la fin de l'année pour signer le "Pacte international", considéré comme une feuille de route pour le rétablissement de l'Irak.
matthieu25 a écrit :Hum, qui paye les pots cassés des américains
Qui c'est qui va investir en Irak comme des vautours sur le cadavre d'un pays dévasté, car ce n'est pas une aide mais un prêt pour remettre en route l'industrie pétroliére.Des représentants de 14 pays donateurs et sept institutions internationales, dont l'ONU et l'Union européenne (UE), prennent part à cette réunion d'un jour qui doit approuver un projet d'accord international pour venir en aide à l'Irak.
On savait que plusieurs sociétés militaires privées (mercenaires) américaines et britanniques étaient à pied d'oeuvre en Irak, embauchées pour protéger les convois ou les matériels.
Selon des chiffres émanant du Congrès américain, il y aurait actuellement plus de 50 000 mercenaires en Irak. Plus de 7 fois le nombre de militaires britanniques (7000) par exemple.
La tentation est forte pour les gouvernements américains et britanniques, de plus en plus ouvertement contestés par leurs citoyens au sujet du bien fondé de cette guerre, d'avoir recours à ces armées de mercenaires, qui opèrent complètement en dehors de la loi et ne rendent de comptes à personne.
L'Irak recrute près de 31.000 soldats supplémentaires
BAGDAD 02/11 (BELGA/AG) = L'armée irakienne a entamé le recrutement de près de 31.000 soldats supplémentaires pour endiguer les violences qui ensanglantent quotidiennement le pays. "Douze mille soldats ont déjà été recrutés, ils sont en cours d'entraînement", a affirmé le général américain William Caldwell, porte-parole de l'armée américaine, au cours d'une conférence de presse. Cette mesure est destinée à muscler les effectifs des unités irakiennes, qui sont souvent à 70% ou moins de leurs capacités en raison des permissions, ce qui porte atteinte à leur efficacité. "18.790 soldats supplémentaires vont être recrutés, comme le Premier ministre Nouri al-Maliki l'a annoncé il y a quelques jours. Ils vont permettre de former 20 nouveaux bataillons, 1 bataillon de forces spéciales et des états-majors", a ajouté le général. Par ailleurs, l'armée irakienne a récemment recruté 18.000 soldats afin de compenser les pertes au combat, les démissions et les non-renouvellements des contrats. L'armée irakienne compte actuellement 115.000 soldats. (GFR)
Le tri ethnique continue.Près de 100.000 Irakiens fuient chaque mois leur pays, selon les Nations unies --par Alexander Higgins
AP | 03.11.06 | 19:55
GENEVE (AP) -- Près de 100.000 Irakiens fuient chaque mois les violences dans leur pays pour se réfugier en Syrie et en Jordanie, contraignant le Haut commissariat pour les réfugiés des Nations unies (HCR), qui avait prévu une stabilisation de la situation, à revoir son plan d'action, a indiqué vendredi l'organisation onusienne.
"La plus grande partie de notre travail au cours des trois années depuis la chute de l'ancien régime était basée sur l'hypothèse que la situation intérieure se stabiliserait et que les centaines de milliers d'Irakiens déplacés pourraient rentrer chez eux", a expliqué Ron Redmond, porte-parole en chef du HCR. "Mais, aujourd'hui, nous constatons de plus en plus de fuites liées aux violences qui se poursuivent".
Il est difficile d'obtenir des chiffres précis concernant les réfugiés, peu d'Irakiens étant enregistrés auprès du HCR, a précisé Ron Redmond. Mais l'organisation onusienne a compté les personnes entrant en Syrie au cours des derniers mois, et est parvenue à un total de 2.000 personnes empruntant quotidiennement cette route.
"Il ne s'agit pas d'une situation dans laquelle tout le monde est parti d'un seul coup, ou a fui vers des camps de réfugiés", selon le porte-parole du HCR. "Il s'agit d'un exode invisible et silencieux".
Selon le gouvernement jordanien, environ 1.000 Irakiens entrent également chaque jour en Jordanie.
Le HCR estime également que 425.000 Irakiens ont fui cette année leur domicile pour un autre lieu de vie dans le pays, ce qui fait d'eux des "déplacés internes", essentiellement en raison des violences entre chiites et sunnites qui ensanglantent l'Irak depuis février.
Ron Redmond a également expliqué que le HCR avait établi, avant le début de la guerre en mars 2003, un plan d'action prévoyant 600.000 réfugiés et déplacés irakiens. L'organisation onusienne avait réuni un budget de 154 millions de dollars, mais l'a réduit à 29 millions de dollars depuis, aucun exode massif n'ayant été constaté dans les premiers mois du conflit.
Le HCR estime aujourd'hui à 1,8 million de nombre d'Irakiens réfugiés dans des pays étrangers, et à 1,6 million les Irakiens déplacés à l'intérieur de leur pays. Mais, souligne Ron Redmond, ces chiffres prennent également en compte les personnes ayant fui le pays dans les années 1990.
A l'heure actuelle, environ 700.000 Irakiens se trouvent en Jordanie, au moins 600.000 en Syrie, 100.000 en Egypte, de 20.000 à 40.000 au Liban, et 54.000 en Iran. AP