Et puis je vais faire mon Mahiahi

(Les Canadiens ont beaucoup d'avenir)
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Lorsqu'on lui a demandé quels investissements il recommanderait en période de krach, il a répondu qu'en l'absence d'un nouveau Bretton Woods, il conseillerait « les pommes de terre ».
Le Dr Kiracofe a évoqué les intérêts bancaires et commerciaux de Wall Street qui ont soutenu la montée du fascisme en Europe, ainsi que leur tentative de coup d'Etat contre Roosevelt en 1934.
Mme Zepp-LaRouche a également rappelé le rôle de Brigit Breul, la directrice du Treuhand qui a imposé un démantèlement brutal de l'industrie dans les Laender de l'Est, après l'assassinat de son prédécesseur Detlev Carsten Rohwedder. Présentant à son tour la situation en France, Jacques Cheminade a fait le constat qu'au bout de quatorze années de Mitterrand et douze de Chirac, le pays est à l'agonie.
Boursorama le 18 Dec 2006L'Iran va abandonner le dollar au profit de l'euro pour calculer ses revenus extérieurs
L'Iran a annoncé lundi qu'il prévoyait d'abandonner le dollar au profit de l'euro pour ses revenus extérieurs et ses avoirs à l'étranger à compter de son prochain exercice budgétaire.
"Nous calculerons tous les revenus du pétrole et du commerce extérieur sur la base de l'euro lors du prochain exercice budgétaire", a déclaré le porte-parole du gouvernement Gholam Hussein Elham. Le prochain exercice budgétaire débutera le 21 mars prochain en Iran.
Gholam Hussein Elham a précisé qu'un projet de loi budgétaire calculé en euros et pas en dollar avait également été soumis au Parlement, selon la radio officielle iranienne.
L'Iran tire 80% de sa monnaie de l'exportation de son pétrole brut, traditionnellement payé en dollars.
Téhéran, engagé dans un bars de fer avec les Etats-Unis et la communauté internationale au sujet de son programme nucléaire, a récemment pris plusieurs mesures pour se dégager de sa dépendance au dollar. Le ministre de l'Economie Davoud Danesh Jaffari a annoncé le mois dernier que le gouvernement avait commencé à convertir ses réserves de dollars en euros.
Venezuela, Oil Producers Buy Euro as Dollar, Oil Fall
By Agnes Lovasz and Daniel Kruger
Dec. 18 (Bloomberg) -- Venezuelan leader Hugo Chavez is directing a growing share of the country's oil profits into euros as the dollar and crude prices fall.
The dollar, down 9.5 percent against the euro this year, may face more pressure in 2007 because Venezuela and oil producers from the United Arab Emirates to Indonesia plan to funnel more money into the single European currency.
``The U.S. dollar has suffered a long process of deterioration,'' Domingo Maza Zavala, one of seven board members at the central bank of Venezuela, said in a Dec. 14 interview. ``The diversification strategy started this year.''
Banco Central de Venezuela has slashed the percentage of its $35.9 billion worth of reserves invested in dollars and gold to 80 percent from 95 percent a year ago, said Maza Zavala. The country, the world's fifth-largest oil supplier, has boosted its euro holdings to 15 percent, from less than 5 percent in the same period.
The dollar has slumped against the European currency in 2006 as growth in the euro region outpaced the U.S. for the first time in five years. The dollar today fell against the euro to $1.3094 as of 6:55 a.m. in New York. The U.S. currency is little changed versus the yen this year, and currently trading at 117.81 yen.
Indonesia Buys Euros
Bank Indonesia is boosting euro holdings, said Senior Deputy Governor Miranda S Goeltom in a Dec. 13 interview in Jakarta. Indonesia has $39.9 billion in reserves. Sultan Bin Nasser al- Suwaidi, the governor of the Central Bank of the UAE, last month said he was considering when to shift as much as 8 percent of the nation's $24.9 billion in reserves into euros.
The central banks are changing policy ``because the oil price has come down a long way and the U.S. dollar has been declining,'' said Michael Derks, chief markets strategist at Arch Financial Products LLP, a London-based hedge fund. ``The euro stands to benefit.''
The Organization of Petroleum Exporting Countries, which produces 40 percent of the world's crude oil, said at a Dec. 14 meeting in Abuja, Nigeria, that it would cut output by 500,000 barrels a day to boost prices. Crude oil for January delivery fell 36 cents, or 0.6 percent, to $63.07 a barrel in after-hours electronic trading on the New York Mercantile Exchange. Prices have fallen from a high of $78.40 in mid-July.
Crude is priced in dollars and the U.S. is the biggest consumer, importing around $400 million worth of the fuel a day in 2005, according to data from BP Plc, Europe's second-biggest oil company.
Political Opposition
The share of foreign-exchange deposits held in dollars by OPEC members and Russia, the largest non-OPEC oil exporter, fell to a two-year low of 65 percent during the second quarter, from 67 percent during the previous three months, Bank for International Settlements figures released last week show.
Venezuela may also be motivated by animosity toward the U.S., said Rick Arney, chief currency strategist in San Francisco at Barclays Global Investors, which manages $1.7 trillion in assets.
``There is a political overlay to all of this,'' said Arney. ``Buying the dollar is not politically popular for some of these folks.''
Chavez, re-elected as President for six years on Dec. 3, told the UN General Assembly on Sept. 20 that the U.S. is ``the greatest threat'' to the planet, and has repeatedly described U.S. President George W. Bush as ``the devil.'' He also says Bush's administration is trying to have him killed.
Greenspan Comments
Chavez called on OPEC to sell oil denominated in euros rather than dollars at a meeting of the group in Caracas on June 1, supporting a proposal made by Iran.
Some analysts said the shift by oil-producing nations into euros is unlikely to weaken the dollar. OPEC nations reduced their dollar deposits by $5.3 billion in the second quarter, compared with holdings of $632 billion overall, according to data compiled by the BIS.
``It seems to be inconsequential in the large scheme of things,'' said Marc Chandler, global head of foreign-exchange strategy at Brown Brothers Harriman & Co. in New York. ``If anything, we should be surprised how small the outflow is.''
The euro climbed as much as 0.5 percent on Dec. 11, the most in a more than a week, when former Federal Reserve Chairman Alan Greenspan said there are signs OPEC nations are switching their reserves out of dollars.
`At the Start'
``A rising euro is a source of capital gain for central banks and a source for offsetting the capital loss created by the dollar'' decline, said Bankim Chadha, Deutsche Bank AG's head of macro foreign-exchange in New York and a former International Monetary Fund official. This gives ``an incentive to buy euros.''
OPEC members and Russia increased the percentage of their foreign-exchange deposits held in euros to 22 percent in the second quarter from 20 percent, the BIS said. By contrast, the global average is about a third, according to the Basel, Switzerland-based bank.
Oil states will probably buy the European currency at a faster rate to bring their reserves closer in line with other nations, according to David Durrant at Julius Baer Investment Management in New York.
``They've done very little diversification in the past,'' said Durrant, an investment strategist at Julius Baer, which oversees about $40 billion. ``We're at the start.''
etTéhéran a indiqué lundi que ses revenus extérieurs et ses avoirs à l'étranger seraient désormais libellés en euros, pour contourner notamment les pressions américaines visant à limiter ses échanges extérieurs.
Mais des analystes de marché ont qualifié ce geste de politique, et des observateurs iraniens ont mis en doute sa faisabilité.
Les entreprises et organismes iraniens sont confrontés à des difficultés croissantes pour conclure des contrats à l'étranger en raison des pressions américaines sur les banques pour ne plus traiter avec des clients iraniens.
La majeure partie des transferts de fonds s'effectue désormais en euros ou en d'autres devises.
Une porte-parole de la Commission européenne a noté que les intentions précises de Téhéran n'étaient pas claires et elle a rappelé que la Commission n'encourageait pas les pays extérieurs à l'Union à utiliser l'euro.
Bruce Evers, un analyste chez le britannique Investec, à Londres, a parlé d'un "geste essentiellement politique", en représailles envers les Etats-Unis.
Il n'a pas exclu cependant que l'Iran "pense, non sans raison, que l'euro est une monnaie plus forte, et qu'ils y perdent avec un dollar aussi faible qu'il l'est actuellement".
Un membre de la commission du budget au Parlement iranien, Morteza Tamadon, a cependant prôné "un panier équilibré euro-dollar", notamment parce que, pour "les contrats à long-terme" déjà signés en dollars, il faudrait "des opérations de change multiples pour l'avenir, un processus difficile et coûteux".
Je te rappelle que cette "décision" a été prise plusieurs fois dans le passé, suivie de rien du tout : tu comprendras qu'on attende un peu avant d'ouvrir le champagne.vincent128 a écrit :Le communiqué de Bloomberg cité par energy Isère n'a pas eu l'air de vous émouvoir. .
Complètement à coté de la plaque, cette analyse. L'iran est peut être un nain, mais ses ressources énergétiques lui donnent une force démesurée, par rapport aux besoins en pétrole de la zone euro et des USA. On le voit bien pour la Russie, Poutine peut faire promener du plutonium en Europe et assassiner des journalistes tout en recevant les plus hautes distinctions françaises. Qui sont les "nains" dans cette histoire ?La décision très politique des mollahs n’a eu aucune incidence sur le marché des changes : la parité euro-dollar n’a pas bougé d’un cent au cours de cette journée à la suite de cette annonce. Les mollahs iraniens ne devraient pas oublier qu’ils sont un nain économique et financier par rapport à la zone euro et aux Etats-Unis.
Certes, tout le monde est dans l'expectative mais la situation internationale a foncièrement changer : le contexte est différent aujourd'hui. Le PO est "proche", la politique désastreuse des USA a fait qu'ils ont de nombreux "fronts" idéologiques contre eux, y compris chez les européennes, mais dans de très nombreux pays arabes, en Asie et en amérique du Sud, et majoritairement chez les peuples (les politiques ayant du mal à continuer de soutenir la politique internationale américaine.Environnement2100 a écrit : Je te rappelle que cette "décision" a été prise plusieurs fois dans le passé, suivie de rien du tout : tu comprendras qu'on attende un peu avant d'ouvrir le champagne.
Au passage, tu remarqueras également le silence assourdissant de l'UE et de toutes les parties détentrices de gros tas d'euros ou de dollars.
oups :Alter Egaux a écrit : On le voit bien pour la Russie, Poutine peut faire promener du plutonium en Europe et assassiner des journalistes tout en recevant les plus hautes distinctions françaises. Qui sont les "nains" dans cette histoire ?
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