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China’s central bank pauses gold purchases for sixth straight month

Reuters | November 7, 2024 |

China’s central bank refrained from purchasing gold for its reserves for the sixth consecutive month in October, according to official data released on Thursday.


China’s gold holdings stood at 72.8 million troy ounces at the end of last month. The value of the gold reserves, however, rose to $199.06 billion from $191.47 billion at the end of September.

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Bullion prices have surged about 33% this year, on track for the largest annual gain since 1979, driven by the start of US Federal Reserve’s interest rate cut cycle, geopolitical tensions, uncertainty surrounding the US presidential election, and strong demand from central banks.

According to the World Gold Council, gold purchases by global central banks, active in 2022-2023, are set to decelerate in 2024 but remain above pre-2022 levels. This is partly due to the People’s Bank of China (PBOC) pausing its 18-month buying streak in May.

“Another month of China refraining from buying indicates the PBOC is looking for a better price to build its gold reserves. We don’t think China has changed its foreign exchange reserve strategy and so is looking for more gold, but deterred by the higher prices,” Nitesh Shah, commodity strategist at WisdomTree, said.

The share of gold in the PBOC’s overall reserves, a key gauge of many central banks’ holdings for gold, reached 5.7% at the end of October vs 4.9% at the of April.

This week’s meeting of the Standing Committee of China’s National People’s Congress is in the spotlight as investors look for further details on fiscal stimulus measures.

500 tonnes d’or : des compagnies s’apprêtent à exploiter les réserves d’Ethiopie

Agence Ecofin 7 nov 2024

Selon le gouvernement éthiopien, le pays héberge plus de 500 tonnes d’or. Alors qu’aucune mine industrielle d’or n’a été développée au cours des trente dernières années, trois projets importants devraient bientôt changer le visage du secteur aurifère local.

La compagnie minière KEFI est proche de mobiliser 240 millions de dollars auprès des banques pour financer la construction de la mine d’or Tulu Kapi en Éthiopie. Cette annonce faite le mercredi 6 novembre est le dernier développement qui illustre les investissements croissants réalisés ces dernières années par des compagnies désirant exploiter les réserves d’or du pays.

L’Éthiopie a une longue histoire d’exploitation de l’or, mais aucune mine industrielle n’est entrée en service dans le pays depuis 30 ans. Cependant, trois projets majeurs mobilisent l’attention actuellement, en l’occurrence Tulu Kapi, Segele et Kurmuk. Dans le cadre du développement du projet Tulu Kapi, 100 millions $ ont été investis en Éthiopie, dont 50 millions $ depuis 2014. Selon les plans de KEFI, sa future mine peut livrer initialement 135 000 onces d’or sur huit ans d’exploitation à ciel ouvert, avant une éventuelle exploitation souterraine.

En attendant l’entrée en production de Tulu Kapi en 2026, l’Éthiopie compte depuis quelques mois une nouvelle mine d’or, pilotée par le norvégien Akobo Minerals. La société a annoncé le 8 octobre la production du premier lingot sur cette exploitation à petite échelle qui héberge au moins 68 000 onces d’or de ressources minérales. Environ 3 kg ont été produits en octobre par la mine. Notons enfin le développement de la future mine d’or Kurmuk, assuré par Allied Gold.

Selon les plans de la compagnie canadienne, cette mine peut livrer en moyenne près de 275 000 onces par an sur les quatre premières années d’exploitation et 240 000 onces en moyenne par an pour toute la durée de vie estimée à 10 ans. L’entrée en production est prévue en 2026, grâce à un investissement total de 500 millions $.

Il faut souligner que le développement de ces projets est favorisé par les efforts consentis par le gouvernement éthiopien depuis 2019. Les autorités ont notamment diminué le taux d’imposition des sociétés minières de 35 % à 25 %, parmi d’autres mesures incitatives pour attirer les investisseurs miniers.

Un potentiel encore plus grand

L’exploitation des mines évoquée plus haut devrait significativement augmenter la production d’or officiellement exportée par le pays. Selon les autorités, ces mines devraient ajouter 10 tonnes à la production annuelle d’or du pays, tout en générant 800 millions de dollars de revenus.

Durant l’exercice 2022-2023, la Banque centrale indique que les exportations d’or ont totalisé 197 millions de dollars de revenus, soit 5,3 % des revenus d’exportations. Alors que le volume exporté s’élève à 3,46 tonnes sur cette période, plusieurs rapports suggèrent que la production exportée dépasse largement ce chiffre. En cause, un réseau de contrebande se serait développé pour exporter illégalement la production provenant des mines artisanales et à petite échelle.

Selon un rapport de Chatam House, jusqu’à 6 tonnes d’or sont exportées par an à partir de la seule région du Tigré, grâce à la contrebande. Il faut rappeler en effet que le potentiel éthiopien en or est énorme. En mars 2024, le gouvernement a ainsi annoncé la découverte de plus de 517 tonnes de gisements d’or dans plusieurs régions, notamment Gambella, Oromia et le Tigré. Outre la mise en service de nouvelles mines, la lutte contre l’exploitation illégale d’or est donc l’un des moyens pour les autorités de maximiser la contribution du secteur à l’économie.

Glencore secures offtake rights for Rovina Valley project in Romania
The agreement gives Glencore the right of first refusal for an offtake agreement regarding the project's production.

November 1, 2024

Euro Sun Mining has announced a binding memorandum of understanding (MOU) with Glencore, pertaining to the offtake of all future concentrates from the Rovina Valley project in Romania.

This agreement grants Glencore the right of first refusal to secure an offtake agreement for the project’s production.

Euro Sun Mining CEO Grant Sboros said: “We are delighted to announce this offtake concentrate agreement with one of the world’s leading mining companies.

“This MOU underscores the growing international interest in our project and secures future concentrate sales for Euro Sun upon commencement of production.

“The Rovina Valley Project continues to represent a significant investment to benefit Romania, which is also critical for raw material security in Europe.”

The Rovina Valley Project is reputed to be one of Europe’s largest copper-gold operations.

Situated in west-central Romania, the site boasts approximately 400 million tonnes of confirmed resources, which includes seven million ounces of gold and 1.4 billion pounds of copper.

In addition to the offtake rights, the MOU affords Glencore the option to appoint a director to the Euro Sun board.

Glencore, a commodity and mining company, operates on a global scale and is a prominent producer and marketer of more than 60 commodities.

Glencore employs roughly 150,000 individuals and contractors across more than 35 countries.

Last month, Schneider Electric partnered with Glencore to improve its copper supply chain and advance decarbonisation efforts. Schneider Electric collaborated with Glencore and Li-Cycle to recycle lithium-ion batteries and plans to develop a system for collecting copper and electronic waste.

Côte d'Ivoire: inauguration de la mine d'or de Lafigué

Article de RFI 20 oct 2024

La Côte d’Ivoire renforce sa position dans l’industrie minière avec l’ouverture d’une nouvelle mine d’or. Située dans la région nord, près de la ville de MBengué, la mine de Lafigué a été inaugurée ce samedi 19 octobre par Mamadou Sangafowa-Coulibaly, ministre des Mines, du Pétrole et de l’Énergie. Exploitée par la société canadienne Endeavour Mining, cette mine est prévue pour une durée de vie de treize ans et devrait produire cinq tonnes d’or par an.

Découverte en 2017, la mine de Lafigué a été développée à un rythme soutenu, avec une première coulée d’or réalisée en juillet 2024, le coût de production oscillant entre 900 et 975 dollars par once. Ce qui place ce projet parmi les plus compétitifs de la sous-région. Dès cette année, elle devrait contribuer à augmenter la production nationale d’or, qui pourrait atteindre 55 tonnes, contre 50 tonnes l’année dernière.

Tendance globale

Cette croissance s’inscrit dans une tendance globale qui voit le secteur minier attirer de plus en plus d’investissements en Côte d’Ivoire. L’objectif du gouvernement est de doubler la contribution de l’exploitation minière au PIB, de 3 à 6%. La mine d’or de Lafigué vient s’ajouter aux deux nouvelles exploitations mises en service en 2023 : Abujar et Séguéla.

Notons que Endeavour Mining n’est pas à son coup d’essai dans le pays : l’entreprise gère déjà la mine d’or d’Ity, où, rappelons-le, deux accidents industriels ont causé une légère intoxication de 185 personnes en juin 2024.

Or en Afrique : un groupe chinois investit 1 milliard $ dans une mine

Amos Traoré 13/10/2024

Le Ghana ne cesse d’attirer l’attention des investisseurs étrangers, particulièrement dans le secteur minier. Dernièrement, la compagnie chinoise Zijin Mining Group a fait un mouvement stratégique majeur en acquérant le gisement aurifère Akyem, situé au sud-est du pays, dans la région Est. Cet achat, annoncé dans un communiqué publié Ce mercredi 9 octobre, renforce l’engagement des Chinois à développer leur présence dans l’exploitation de l’or au Ghana, l’un des plus grands producteurs d’or en Afrique.

C’est auprès du géant américain Newmont que Zijin Mining a finalisé cet accord pour un montant pouvant atteindre 1 milliard de dollars. Selon les termes du contrat, Newmont devrait recevoir 900 millions de dollars dès la clôture de la transaction, prévue pour le quatrième trimestre 2024. Un montant supplémentaire de 100 millions de dollars sera versé si certaines conditions spécifiques sont respectées. Avec cette acquisition, la société chinoise s’assure un accès à l’un des gisements d’or les plus prometteurs de la région, consolidant ainsi sa stratégie d’expansion internationale.

Cette transaction illustre l’intérêt croissant pour les ressources aurifères du Ghana, un pays souvent cité parmi les plus riches en or au monde. Le secteur minier est l’un des piliers de l’économie ghanéenne, et des gisements comme Akyem contribuent de manière significative à la production nationale. Le Ghana, déjà en tête des producteurs africains d’or, bénéficie d’une situation géologique favorable, avec des réserves aurifères encore largement inexploitées.

La mine d’Akyem, opérée auparavant par Newmont, a prouvé sa rentabilité et devrait continuer à générer des rendements solides pour son nouveau propriétaire, surtout que la durée de vie de la mine pourrait être étendue jusqu’en 2042 grâce à l’exploitation de gisements souterrains. Cette prolongation est cruciale pour assurer une production durable à long terme.

Zijin Mining, l’un des plus grands producteurs d’or de Chine, voit dans cette acquisition un levier pour atteindre ses objectifs ambitieux dans le secteur aurifère. La société a fixé une production cible de 85 tonnes d’or en 2025 et de 110 tonnes en 2028, contre 68 tonnes en 2023. L’ajout du gisement d’Akyem à son portefeuille constitue un atout stratégique de taille dans cette quête.

La mine ghanéenne viendra renforcer la capacité de production globale de la société, qui cherche à consolider sa position parmi les leaders mondiaux de l’exploitation minière. L’acquisition d’Akyem s’inscrit dans une stratégie plus large d’expansion sur le continent africain, où les ressources naturelles, notamment l’or, attirent de nombreux investisseurs internationaux.

L’exploitation aurifère au Ghana connaît un essor sans précédent, notamment grâce aux investissements étrangers. Toutefois, cette expansion pose également des défis, notamment en matière de réglementation environnementale et de redistribution des revenus générés par cette industrie. Les autorités ghanéennes doivent veiller à ce que l’exploitation minière se fasse de manière responsable, en garantissant que les retombées économiques profitent aux communautés locales et au développement durable du pays.

Les entreprises étrangères, telles que Zijin Mining, sont de plus en plus sollicitées pour respecter des normes élevées en matière de protection de l’environnement et de responsabilité sociale. Le Ghana, en tant que destination clé pour l’exploitation de l’or, doit également se positionner comme un acteur exigeant sur ces questions.

Voici l’endroit ultra-protégé où sont cachées les 2 400 tonnes de réserves d’or de la France

Par Arnaud FISCHER. 19 sept 2024 ouestfrance

La Souterraine, une grande salle de 10 000 m², bien cachée à 27 mètres de profondeur sous la Banque de France, abrite les réserves d’or de l’État français. Plus de 2 400 tonnes y sont gardées sous forme de lingots d’or.

La Suisse est en tête des réserves d’or par habitant avec 115,79 grammes

08/09/2024

A l’heure où les prix de l’or atteignent des sommets et où le lingot d’or a atteint le million de dollars pour la première fois de l’histoire, un rapport identifie les pays disposant des plus grandes réserves d’or par habitant.

L’équipe de BestBrokers a calculé les réserves d’or par citoyen pour 104 pays en utilisant les chiffres officiels de la population pour 2024 et les dernières données du World Gold Council, qui publie les réserves d’or des banques centrales.

Les résultats révèlent que la Suisse est le pays qui possède le plus d’or par habitant, dépassant de loin des pays comme les États-Unis, la Chine ou l’Inde. Les réserves d’or de la banque centrale suisse s’élèvent actuellement à 1 040 tonnes, soit environ 3,72 onces troy, ou 115,79 grammes, pour chacun des 8 981 565 habitants du pays. Au cours actuel de l’or, qui est d’environ 2 505 dollars l’once troy (5 septembre 2024), cela équivaut à une valeur d’environ 9 327 dollars d’or par personne. Pour mieux illustrer cela, nous avons calculé les réserves par habitant comme l’équivalent de pièces d’or de 0,1 once. En d’autres termes, chaque citoyen suisse dispose de 37 pièces d’or détenues en son nom par la banque centrale.

Voici quelques éléments clés du rapport :

> La Suisse est en tête du classement mondial des réserves d’or par habitant, chaque citoyen détenant 37 pièces d’or de 0,1 once. LeLiban suit en deuxième position, avec 1,68 once d’or (52,25 grammes), soit environ 17 pièces d’or (4 208 dollars d’or).

> L’Italie arrive en troisième position avec 1,34 once par personne (41,58 g, d’une valeur de 3 349 $), suivie de l’Allemagne avec 1,27 once par citoyen (39,58 g, d’une valeur de 3 188 $), chaque pays détenant environ 13 pièces d’or de 0,1 once par habitant.

> Parmi les autres nations riches en or par habitant, on trouve Singapour (38,67 g, d’une valeur de 3 115 dollars), le Qatar (37,24 g, d’une valeur de 2 999 dollars) et le Portugal (35,97 g, d’une valeur de 2 897 dollars), qui détiennent chacun des réserves équivalant à 12 pièces d’or par personne.

> La France (35,59 g, d’une valeur de 2 867 dollars) et les Pays-Bas (34,07 g, d’une valeur de 2 744 dollars) viennent ensuite, avec 11 pièces d’or par personne chacun, tandis que l ‘Autriche détient 10 pièces d’or (30,50 g, d’une valeur de 2 457 dollars) pour chacun de ses 9 179 693 résidents.

> Les États-Unis se classent au douzième rang en termes de réserves d’or par habitant, avec environ 0,78 once troy par citoyen (24,21 g, d’une valeur de 1 950 $), soit 8 pièces d’or pour chacun de leurs 335 893 238 habitants.

> Bien qu’elle soit le sixième plus grand détenteur de réserves d’or au monde, la Chine figure à peine dans le tableau de la propriété d’or par habitant en raison de sa population importante, avec seulement 1 pièce d’or (1,61 g, d’une valeur de 129 $) par citoyen.

> Parmi les autres pays dont les réserves d’or par habitant sont relativement faibles, citons la Turquie (6,85 g), le Japon (6,83 g), le Royaume-Uni (4,59 g), la Thaïlande (3,55 g), l’Australie (2,92 g), l’Irlande (2,28 g), la Corée du Sud (2,04 g), l’Afrique du Sud (1,99 g), l’Argentine (1,31 g) et l’Inde (0,6 g).

La carte ci-dessous illustre le nombre de pièces d’or détenues par chaque pays par rapport à sa population. En d’autres termes, il s’agit de la quantité d’or que chaque citoyen recevrait si les réserves étaient réparties uniformément entre les habitants.



Bien que les prix de l’or aient atteint de nouveaux sommets, les achats nets des banques centrales ont grimpé à 37 tonnes en juillet, soit plus du double des chiffres précédents, selon les dernières données compilées par le Conseil mondial de l’or. Alors que la demande pour le métal précieux devrait rester forte dans les mois à venir, l’étude se penche sur quels pays ont été les plus actifs dans la constitution ou la réduction de leurs réserves d’or depuis le début de l’année 2024.

La Turquie a ouvert la voie en matière d’achats d’or, en acquérant plus de 44,7 tonnes entre janvier et juin 2024, ce qui a porté ses avoirs totaux à 584,93 tonnes. L’Inde a également acheté près de 37,2 tonnes d’ or depuis le début de l’année, tandis que la Chine a augmenté sa réserve d’or déjà massive de 28,93 tonnes, la portant à un total de 2 264,32 tonnes.

Voici les pays qui ont acheté le plus d’or depuis le début de l’année 2024 :

China’s gold demand expected to rebound as economic jitters spur buying

Reuters | August 26, 2024

Gold demand in China is expected to improve in coming months as consumers adjust to higher prices, industry officials said, with economic uncertainty and concerns about currency weakness driving investment flows.

A revival of demand in the world’s top consumer of the precious metal could further support the rally in global gold prices, which hit a record high last week.
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11 ans après, le Ghana se prépare à ouvrir une nouvelle mine d’or

Agence Ecofin 30 aout 2024

Premier producteur africain d’or, le Ghana a produit 4 millions d’onces en 2023 et vise jusqu’à 4,5 millions d’onces en 2024. Pour soutenir cette croissance, le pays pourra bientôt compter sur une nouvelle mine d’or, 11 ans après la mise en service de la mine Akyem en 2013.

Au Ghana, le régulateur du secteur minier a confirmé cette semaine la mise en service d’une nouvelle mine d’or d’ici la fin de l’année. Piloté par le chinois Shandong Gold, le projet Namdini deviendra en novembre 2024 la première grande mine d’or à entrer en production dans le pays depuis 2013 et la mise en service de la mine Akyem, informe Martin Ayisi, PDG de la Commission des minéraux.

Selon les propos du dirigeant relayé par Reuters, il s’agit de la première des trois grandes mines d’or à entrer en service d’ici 2026. Outre Namdini qui dispose d’une capacité de production annuelle de plus de 350 000 onces sur 10 ans, le Ghana devrait compter dès 2025 sur la mine Ahafo North de l’américain Newmont, qui peut livrer entre 275 000 et 325 000 onces d’or par an. Enfin, une dernière mine d’or est prévue dans le nord-ouest du pays en 2026.

Grâce à ces projets, le Ghana devrait maintenir la tendance à la hausse de sa production d’or. Sur une pente ascendante depuis quelques années, le pays a produit 4 millions d’onces en 2023 et vise entre 4,3 et 4,5 millions d’onces en 2024.

Premier producteur africain d’or, le Ghana compte aussi bien sur les mines industrielles que sur les mines artisanales pour réaliser ces performances. En 2023, la production artisanale et à petite échelle a ainsi augmenté de 70,6 % pour atteindre 1,1 million d’onces.

Ghana to launch ‘monster mines’ to boost gold production

Reuters | August 29, 2024


Proposed plant at the Namdini gold project in Ghana. (Image courtesy of Cardinal Resources.)

Africa’s top gold producer Ghana will commission its first large-scale greenfield mine in more than a decade in November, with expected annual production of more than 350,000 ounces, the head of its mining sector regulator told Reuters.

The Cardinal Namdini mine is owned by Cardinal Resources, a unit of Shandong Gold, which received a licence for the facility in 2020.
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Depuis quelques jours, le prix de l’once troy d’or a atteint son niveau le plus élevé jamais observé : 2 500 $, amenant ainsi le prix d’un lingot d’or (comportant généralement 400 once troy) à un million de dollars pour la première fois de l’histoire.

L'or flambe et atteint record sur record

France 24 vidéo 20/08/2024

L’or bat record sur record ces jours-ci. A plus de 2500 dollars l’once, soit plus de 80 000 dollars le kilogramme. Une flambée des cours qui s’explique aussi bien par des raisons géopolitiques que monétaire auxquelles il faut ajouter une défiance grandissante des banques centrales des pays émergents au dollar. La hausse n’est probablement pas près de se terminer.