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HéGlycogène a écrit : Qu'est ce qu'il y a de raté en ne faisant "que" 2200% ? Si c'est raté, quand est-ce que c'est réussi ? Jamais dans ces conditions : mieux vaut ne pas jouer en bourse. Avec un esprit comme cela, ce n'est qu'une source d'éternelle frustration.
, c'est d'ailleurs pour ca que j'ai arrêté 
Quand on a un javelin dans la main, tous les problèmes ressemblent à un T-72.
Uranium spot prices dropped for the second time this week to US133 per pound, the first time since May 2001 that two consecutive drops in the spot price have come back to back.
"Sellers are for the first time in many, many months showing a willingness to sell below the current published price in order to attract a willing buyer," says Treva Klingbiel, editor of Nuclear Market Review
The drop is spot price has had little effect on the junior uranium stocks, where the Resource World Index is up 14.3 points to 1230.91 on low volume trading across the sectors.
Producers including Cameco are fairing well in early trading which could partly be on rumours that insurgency in Niger could close down the world's seventh and eighth largest uranium mines.
But according to a Reuters article this morning the Chinese company executive kidnapped in Niger was not in danger, Chinese state media said on Monday, quoting the Chinese embassy in the West African country over the weekend.
The rebel Niger Movement for Justice (MNJ), made up largely of Tuareg and other nomadic tribes, seized Zhang Guohua, an executive at the China Nuclear International Uranium Corp. (Sino-U), on Friday close to the oasis town of Ingall.
The rebels accuse Sino-U of helping to fund government arms purchases to suppress their uprising and it said Zhang's kidnapping was meant as a warning.
Zhang was "now in the hands of Tuareg tribes and his life is not under
threat", the China Daily said, quoting the Chinese embassy in Niger as saying on Saturday without explaining how the embassy had received the information.
A company official in Beijing said she could not comment.
Since February, the MNJ has launched a series of attacks against military and mining concerns in Niger's mineral-rich north, home to the world's fourth biggest uranium mining industry, killing at least 33 soldiers.
"We demand that all countries with expatriates in the conflict zone who are there for exploration and exploitation of mining resources (and not development projects) order them to leave...for their own safety," the MNJ said in a statement posted on its Web site.
As long as the uncertainty remains uranium producers and near term producers should continue to see stock appreciate in value this week.
Uranium : le marché marque une pause
11/07/2007
Le léger recul du cours spot de l’U3O8 ne devrait être que provisoire.
Uranium : le marché marque une pause Curieux mois de juillet. Pour la première fois depuis quatre ans, la cotation spot de l’oxyde d’uranium a subi deux reculs consécutifs. Après avoir gagné 91,7% depuis le début de l’année, la livre d’uranium s’échangeait fin juin à 138 dollars. Le recul toutefois est modeste, l’uranium cotait encore 135 dollars le 2 juillet et 133 dollars le 9 juillet. Un niveau 14 fois supérieur à son prix de début 2003 quand l’uranium, victime des ventes de matière d’origine militaire plafonnait à 10 dollars.
« La fièvre acheteuse sur le marché spot a considérablement baissé et le marché subi maintenant l’activité croissante des vendeurs », notait le consultant spécialisé dans l’uranium, Trade Tech. Une nouvelle situation qui a conduit les analystes de Macquarie Research à réviser leurs prévisions de marché et de prix. La baisse de la demande des centrales électriques et une offre en légère hausse se sont conjuguées pour détendre le marché, une évolution largement influencée par les facteurs saisonniers.
Selon Trade Tech, la demande d’uranium sur le marché spot est actuellement tombée sous les 900 000 livres, alors qu’un million de livres a été échangé en juin sur le marché spot. Face à l’augmentation verticale des prix, la déduction de la demande et la légère hausse de l’offre ne sont guère surprenantes, estime la banque australienne.
Dix mines assurent plus de 70% de l'offre
Toutefois, la demande devrait continuer à surpasser la production tant cette année que la suivante, et toute faiblesse des prix ne peut être que très temporaire. Un facteur crucial devrait être les positions prises par les investisseurs qui détiennent l’équivalent de 8 000 à 10 000 tonnes de matière. Etant entrés sur ce marché pour le moyen ou le long-terme, il semble improbable qu’ils décident subitement de liquider leurs positions, conjecture Macquarie.
En ce qui concerne les fondamentaux, le marché devrait rester à la merci du moindre incident perturbant la production, insistent les analystes, rappelant que dix mines assurent plus de 70% de l’offre globale. L’inondation qui a frappé la mine de Ranger en Australie – un quart de l’offre mondiale – devrait continuer de limiter sa production de 30 à 35% en 2008. Au Canada, c’est la mine géante de Cigar Lake appartenant à Cameco, dont la mise en production est retardée jusqu’en 2010 suite également à des inondations, qui devrait souffrir de nouveaux délais. Au Kazakhstan enfin, c’est la capacité du pays à suivre son plan de montée en puissance qui devra être observé avec la plus grande attention.
Pour Macquarie, le marché devrait réduire son déficit en 2007 et 2008 avant d’engranger un léger surplus en 2009. Surplus qui devrait s’accentuer en 2010 et 2011. En fonction des fondamentaux, les cours moyens devraient monter à 125 dollars en 2007 et 135 dollars en 2008. Puis, ce sera la décrue : 100 dollars en 2009, 80 en 2010 et 65 dollars en 2011. Nettement plus pessimiste sur les capacités des mineurs à répondre à la demande, Robin Bahr d’UBS a revu en forte hausse ses prévisions : de 95 à 127 dollars pour 2007, de 110 à 196 pour 2008 et de 120 à 150 dollars pour 2009.
Daniel Krajka
Récapitulatif rapide de la situation:NIAMEY (Reuters) - Le secrétaire d'Etat français à la Coopération fait état d'"avancées" dans la polémique suscitée par les accusations de soutien aux rebelles nigériens formulées contre le groupe nucléaire français Areva, et il propose l'aide de la France pour le déminage du nord du pays.
A l'issue d'une entrevue avec le président nigérien Amadou Tandja, Jean-Marie Bockel a fait savoir que le gouvernement français allait organiser un sommet des ministres des Affaires étrangères du Sahel pour parler de la sécurité dans la région.
Le gouvernement de Tandja a déjà sollicité l'aide des pays voisins pour mettre fin à l'insurrection lancée il y a six mois par le Mouvement nigérien pour la justice (MNJ), qui a tué une quarantaine de soldats.
Le dirigeant libyen Mouammar Kadhafi a rencontré les dirigeants du MNJ et leur a demandé de déposer les armes.
Le Niger, principale source d'approvisionnement de la France en uranium de qualité militaire, a accusé le groupe français Areva de financer les rebelles du Nord et, le mois dernier, a déclaré persona non grata son représentant local.
Le gouvernement français et Areva ont rejeté ces accusations.
"Il y a eu des avancées très significatives dans la volonté d'aller au-delà d'un certain nombre d'incompréhensions qui ont pu exister", a déclaré Jean-Marie Bockel à l'issue de l'entrevue. "Il est clair qu'Areva n'a jamais soutenu et ne soutient pas la rébellion, c'est évident.
"J'ai proposé l'aide de la France pour déminer le Nord car nous avons une certaine expérience dans ce domaine et le président est évidemment très demandeur dans ce domaine", a-t-il ajouté.
Sept soldats au moins ont été tués par l'explosion de mines au cours du mois écoulé dans la région désertique entourant Agadès.
Areva, qui gère dans le nord-ouest du Niger deux mines d'uranium produisant plus de 2.000 tonnes de minerai par an, a renouvelé mercredi ses contrats miniers annuels avec le gouvernement, portant à 40.000 FCFA (83,59 dollars) le kg le prix d'achat de l'uranium, contre 27.300 l'an dernier.
Cet accord est rétroactif au 1er janvier."
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Jägermeifter, lit ce post et celui qui suit dans le fil sur AREVA http://forums.oleocene.org/viewtopic.ph ... 249#131249Jägermeifter a écrit : Areva a prévu de doubler sa production d'ici 2011-2012. EDF dit vouloir diversifier ses approvisionnements...
Tout va très bien, madame la Marquise
Les gisements identifiés par UraMin en Afrique du Sud, en Namibie et en République centrafricaine devraient conduire à une production de plus de 7 000 tonnes d'uranium par an après 2012.
C'est fait :Jägermeifter a écrit :En tout cas, il y a 13 personnes qui doivent être bien contentes, et qui eux ont assurés leur avenir.
Dans Romandie.comHuit des dix membres de la direction d'UraMin ont "démissionné" de leur poste au conseil d'administration du groupe canadien dont le président du conseil Samuel Jonah, remplacé par Frédéric Tona, et le directeur général John Stalker, remplacé par Sébastien Bernard Montessus de Ballore, vice-président exécutif du développement minier chez Areva.
Deux autres cadres de chez Areva ont été nommés au sein de la direction exécutive du producteur canadien d'uranium qui dispose d'importants gisements en Afrique du Sud, en Namibie et en République centrafricaine.
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