

Modérateurs : Rod, Modérateurs
Et son apparition à la Coupe Icare à St Hilaire du Touvet en ... hélicoptère.Cassandre a écrit :Moi je n'ai pas du tout foi en ce vendu !TF1/Leclerc/L'oréal/Hulot… désolée, ça passe pas…
Un Grenelle ne fait pas le printempsCassandre a écrit :Obtenu quoi ? Un Grenelle ? Dont il sortira quoi ? Je propose d'attendre… et voir…
Ben quoi ? On t'a pas dit que chez Airbus, on fait les avions les plus écolos du monde ?rico a écrit :Sarko en Chine pour vendre ses airbus. Et devinez sui se trouve à côté de lui bien visible??? BORLOO!!!!!!!!!!!!!!!!
C'est la méthode Sarkozy : je vends de la pollution (avions, nucléaire) d'un côté et je fais croire que je suis écolo de l'autre... de cette manière il fait taire ses détracteurs et contente sa soif de croissance.Environnement: Nicolas Sarkozy propose une taxe carbone
Au dernier jour de sa visite en Chine, plus gros pollueur de la planète, Nicolas Sarkozy a défendu mardi l'idée d'une taxe carbone sur les produits importés de pays qui "ne se doteraient pas de règles contraignantes de réduction des émissions de gaz à effet de serre".
"Je défendrai le principe d'un mécanisme de compensation carbone aux frontières de l'Union européenne, à l'égard de pays qui ne se doteraient pas de règles contraignantes de réduction des émissions de gaz à effet de serre", a-t-il averti devant des étudiants chinois à l'université de Qinghua à Pékin, se prêtant au jeu -très policé- des questions réponses avec la salle. "Je prends mes responsabilités, je ne suis pas l'homme du double langage".
"Ce ne serait pas juste que les producteurs européens soient sanctionnés, que le travail en Europe soit pénalisé et découragé, uniquement parce que les engagements pris par l'Union européenne pour lutter contre les changements climatiques resteraient unilatéraux", a-t-il fait valoir, dans la foulée du Grenelle de l'environnement en France et à la veille de la conférence de Bali (Indonésie) en décembre. Un sujet présenté comme le "fil rouge" de sa visite.
La Chine a signé et ratifié le protocole de Kyoto mais n'est pas liée par des objectifs contraignants. Négocié au Japon en 1997 et entré en vigueur en 2005, ce protocole impose d'ici 2012 une réduction des émissions de gaz à effet de serre, responsables du réchauffement. Lundi, Paris et Pékin avaient paraphé une déclaration commune sur la lutte contre les changements climatiques, une "première" et une "avancée décisive" saluée par Nicolas Sarkozy.
Venu dans la quatrième puissance mondiale avec ses ministres de l'Ecologie Jean-Louis Borloo et Nathalie Kosciusko-Morizet, il a interpellé ses "amis chinois", alors que la Chine est le plus gros émetteur mondial de CO2, devant les Etats-Unis. "La Chine peut et doit prendre toute sa part. Il ne s'agit pas de freiner son développement économique", mais la croissance chinoise "ne peut pas se faire au détriment de la protection de votre environnement", a-t-il expliqué.
"Soyez un modèle du développement durable, ne soyez pas une caricature du développement. La Chine doit montrer le chemin", a-t-il exhorté. "La facture, c'est vous qui la paierez!". "Il faut se réveiller, le monde a besoin de vous". "Non seulement notre action est urgente, mais elle doit être collective", a-t-il sommé, brandissant le risque d'une "catastrophe" écologique. "Nous sommes aux limites du supportable" et ne pas agir serait "criminel", a-t-il prévenu.
Après plusieurs années d'une croissance exponentielle, la situation de l'environnement a atteint un point critique en Chine. Le pays est en effet le premier producteur et consommateur de charbon, énergie fossile très coûteuse pour l'environnement.
Le 25 octobre dernier, Nicolas Sarkozy avait déjà demandé au président de la Commission européenne José Manuel Barroso d'"étudier très rapidement la possibilité de taxer les produits importés de pays qui ne respectent pas le protocole de Kyoto". AP
http://www.liberation.fr/actualite/econ ... 484.FR.phple Grenelle semble être tombé dans un trou noir
Trou noir ? Pas sûr... En tout cas, on en reparlera après le 19 décembre...Le 19 décembre, les comités opérationnels livreront donc une première fournée de modalités pour des mesures comme le bonus-malus pour les véhicules polluants, la contribution climat-énergie... Des projets fiscaux sur lesquels Bercy mouline, tout en assurant que rien n’a été encore arbitré. Sarkozy s’était engagé le 25 octobre : «Les prélèvements du Grenelle iront au financement du Grenelle.» En clair, ça ne doit rien coûter. L’inquiétude des participants sur le financement est donc loin d’être dissipée.
Le bonus écologique applicable dès aujourd'hui (ministère)
Le bonus écologique à l'achat de véhicules neufs les moins polluants est applicable "dès aujourd'hui", sans attendre le 1er janvier prochain, a précisé mercredi le ministère de l'Ecologie dans un communiqué.
La mise en oeuvre de ce dispositif doit s'effectuer par un décret simple qui sera publié "très prochainement" et qui sera rétroactif, a-t-on précisé au ministère.
En revanche, le malus qui sera infligé aux voitures les plus polluants entrera en vigueur le 1er janvier 2008.
"Le bonus écologique incitera dès aujourd'hui les acheteurs de voitures neuves à se porter vers les véhicules les plus sobres en carbone", indique le communiqué du ministère. Il s'agit d'éviter que les acheteurs potentiels de voitures "propres" reportent leur décision au 1er janvier.
Boursoram^
Amendement pour une taxe sur les voitures neuves polluantes
Les députés ont adopté mercredi un amendement instituant un malus sur l'acquisition de voitures neuves les plus fortement émettrices de dioxyde de carbone, mesure annoncée lors du Grenelle de l'Environnement.
L'amendement du gouvernement sur "l'éco-pastille" doit encore être adopté jeudi par l'Assemblée lors de l'examen du collectif budgétaire.
"Seraient soumis à cette taxe en 2008 les véhicules dont le taux d'émission excède les 160 grammes par kilomètre" précise l'amendement.
Un barème prévoit des pénalités à l'achat allant de 200 à 2.600 euros pour les voitures qui rejettent plus de 250 grammes de CO2 au kilomètre.
Ces mesures visent à inciter les acheteurs à choisir des voitures propres, "stimuler l'innovation technologique" et "accélérer le renouvellement du parc automobile".
Un sous-amendement de députés UMP a voulu éviter de "pénaliser les utilisateurs de véhicules familiaux".
"C'est pourquoi il conviendrait dans une logique d'équité de prendre en compte la quantité de dioxyde de carbone émise par place du véhicule", selon cet amendement.
Boursorama^
L'Assemblée adopte "l'éco-pastille", un malus sur les véhicules polluants
L'Assemblée nationale a voté jeudi la mise en place de "l'éco-pastille", soit un malus qui pénalise l'achat de voitures neuves fortement polluantes en dioxyde de carbone, première traduction du Grenelle de l'Environnement.
"Seraient soumis à cette taxe en 2008 les véhicules dont le taux d'émission excède 160 grammes par km", détaille l'amendement du gouvernement présenté dans le cadre du collectif budgétaire 2007 (ajustement en fin d'année des comptes publics).
Selon un barème précis, les acheteurs-pollueurs pourraient payer jusqu'à 2.600 euros lors de l'acquisition d'une voiture qui émet plus de 250 grammes de CO2 par kilomètre.
Cette mesure devrait rapporter environ 460 millions d'euros, selon les prévisions du ministre du Budget Eric Woerth.
La plus grande part de cette somme - 436 millions d'euros - doit financer un bonus à l'achat de voitures neuves qui émettent peu de CO2, selon M. Woerth.
Le reste de la somme est alloué au financement d'un "super-bonus" ou prime à la casse d'une voiture de plus de 15 ans au moment de l'achat, a-t-il précisé.
Le ministre a promis de réfléchir aux moyens de ne pas "pénaliser" les familles nombreuses qui doivent acheter de grosses voitures.
Boursoram^