Mon but n’est pas forcément d’exploiter une ferme : je sais que ca ne s’improvise pas. C’est l’idée du « au cas où... »
Mon frère en a d’ailleurs une à qq km de là... on pourra toujours envisager un regroupement... il n’ya pas de projet précis encore... et si pas de ferme, de totue façon il faut envisager une activité payante, mais laquelle ?... tout ça est fort nébuleux pour le moment...
Quant aux enfants, je ne me suis jamais dit de manière consciente : « le monde court à sa perte, donc je ne fais pas d’enfant... » ; c’est juste que ca ne m’intéresse pas, c’est tout, sans compter une phobie de la maternité ; bref. Le reste (le monde court à sa perte) est plutôt une justification a posteriori, mais ça tombe bien, c’est tout.
thorgal a écrit : maintenir une ferme, ça demande des bras. (...) Croyez-moi, si vous pensez vous en sortir sans gamins dans ces conditions particulières, vous vous leurrez un peu. C'est en tout cas mon avis.
C’est un peu comme quand on me dit « il faut faire des enfants pour payer nos retraites »....
mais bon, chacun ses motivations, hein...
fuste23 a écrit : Vivre avec moins n'empêche en rien le bonheur...
(...)
Ce qui sera le plus dure pour nous sans doute, c'est le principe même de la décroissance...
C'est pas facile de deconditionner les esprits. La décroissance ne sera jamais à mon avis un choix de société. Dommage, elle sera donc subie!
Ca, tout à fait d’accord !
ce n’est pas vivre avec moins qui m’effraie.... c’est que je pense que tout a de grandes chances de se finir dans la violence (brigandage ou dictature, ou les 2), et/ou une pollution généralisée compromettant les chances d’une vie saine, d'une vie tout court, etc.... voilà.
La Terre est bleue comme une orange. Paul Eluard
Il n'y a que la fiction qui dise le vrai. Vladimir Nabokov
Un écran, ça empêche de voir ; c'est sa fonction.