il va les réduire, mais pas considérablement. Parce que bien sur il n'est pas certain que son éolienne produise la puissance nécessaire au moment d'une coupure. Et quand elle produit alors qu'il y en a deja suffisamment ailleurs, ce qui se passe aussi souvent si la capacité max de production atteint la consommation moyenne, personne ne va lui racheter l'excédent. Il va donc avoir un surcoût d'investissement, pour réduire les coupures par exemple de 3 heures par semaine à deux heures par semaine. Est-il vraiment certain qu'il le fasse?kercoz a écrit :Je peux te proposer un modèle d'évolution:GillesH38 a écrit :faut pas confondre un chantier dont la consommation électrique est minoritaire dans le bilan, avec une entreprise dont le BUT est de produire et de vendre de l'électricité, a priori avec le max de bénéfice
Avec la dépletion il y aura une phase ou les coupures seront fréquentes notament ds certaines zones excentrées.
Un industriel (ou un artisan) ne peut attendre et va donc investir ds une éolienne . Une subvention va lui permettre de surdimensionner le projet. De façon a stocker les surplus , il diversifie les énergies : froid , pression , chaleur , elec .
Il va réduire considérablement ses "intermitances" et désenclaver son canton .
peut etre qu'il le fera lorsque les coupures seront vraiment trop nombreuses. Mais peut etre qu'a ce moment là, toute la société sera tellement désorganisée que en fait cet industriel aura mis la clé sous la porte depuis longtemps parce qu'il n'y a plus personne pour acheter les gadgets qu'il fabriquait. C'est pour ça que je dis que l'éolien ne suffira pas à maintenir la société actuelle. Il y en aura peut etre, mais pas dans le meme contexte. Mes 10-15 % max s'appliquent à une production stable qui ressemble à la notre, sans grand changement social.