Le gros problème depuis le début c'est qu'on n'a pas de "big Picture" de ce qu'il faut faire. On a réagi à partir de certains seuils , avec des mesures dont qualititativement on pensait (avec plus ou moins de justifications) qu'elles étaient utiles pour baisser le taux de contamination, mais sans vraiment se fixer de but global - à la notable exception des pays visant le "zéro covid", mais il semble qu'il n'y ait plus que la Chine qui s'y accroche. Le paradoxe constant (déjà relevé très tôt au moment du confinement), c(est qu'on se protège pour ne pas être contaminé, mais qu'il n'y a que la contamination qui protège vraiment à la longue - et qu'elle est de toutes façons inévitable à terme, sauf à avoir éradiqué totalement le virus comme le premier SRAS, ce qui est maintenant manifestement hors d'atteinte.
Mais il n'y a qu'a voir les réactions d'horreur de Jeudi quand j'ai dit que la stratégie optimale était de permettre la circulation la plus grande compatible avec la capacité des système de soin - diagnostic inaudible bien que tres proche de ce qui est actuellement suivi, mais PAS déclaré.
A cet égard, ralentir la propagation du virus pour passer d'un doublement de 3 à 6 jours, ne répond pas au problème de fond, qui est de savoir plutot :
quelle circulation on vise au pic de l'épidémie ? . C'est meme contre productif parce que plus on prolonge la crise plus ça épuise la population.
La vraie question est de savoir si le jeu naturel des comportements, des vaccinations, et de l'immunité acquise va de lui même limiter le pic )à des valeurs acceptables, ou si il faudra mettre des mesures supplémentaires et lesquelles. Pour le moment, les mesures proposées tiennent plus de l'incantation et du symbolique que d'une action réelle pour bloquer la progression du virus ....
Ca me rappelle un peu les actions pour "'lutter contre le réchauffement climatique" mais ne changeons pas de sujet ...

Zan, zendegi, azadi. Il parait que " je propage la haine du Hamas".