PMO (Pièces et Main d'Oeuvre à Grenoble) a sorti un texte sur l'origine du covid intitulé "Fuite du covid 19 : des aveux scientifiques".
Je copie colle quelques extraits.
Avertissement. Il ne sera pas question ici d’« écofascisme ». A moins d’entendre par là, à juste
titre, le naufrage de la puiscience déchaînée, ayant tué des millions de gens et assigné à domicile
pendant des mois, voici quatre ans de cela, une bonne partie de la population mondiale, à coup
d’applis, de QR-code, de délations, de campagnes d’intox officielles, de contrôle, de
surveillance, de contrainte et de répression (« Restez chez vous »). Surprise, l’« écofascisme »
était en fait un « technofascisme ».
Il y a du nouveau : l’enquête sur les origines du Covid-19 avance, surtout aux Etats-Unis. A
l’inverse de l’Europe, on s’y intéresse aux causes d’une pandémie qui a fait muter le monde.
« On », c’est-à-dire entre autres, le Congrès, dont plusieurs commissions bipartisanes se sont
saisies du sujet ; des ONG telles que « US Right to know » qui a obtenu la communication de
documents et d’échanges de mails américains (le Freedom of Information Act le permet depuis
1966, au nom d’une transparence orwellienne) ; un certain nombre de chercheurs et même des
journaux. Pour rappel, Le Monde, organe central de la technocratie dirigeante, n’a plus consacré
d’articles à ce sujet depuis un an.
Le même jour, le New York Times publiait en ligne une synthèse signée Alina Chan, biologiste
du MIT et de Harvard, qui enquête depuis le début : « Pourquoi la pandémie a probablement
démarré dans un labo, en 5 points-clés ». Le New York Times, non le Facebook du groupe
QAnon
Les dernières révélations écornent aussi le fameux article princeps de Nature Medicine, « The
Proximal origin of Covid-19 », que nous avions épinglé en 2020, au risque de nous faire traiter
de complotistes.
En juillet 2023, des membres de la commission du Congrès sur la pandémie publient des
échanges (mails et messagerie professionnelle) entre les signataires de l’article avant sa
publication dans Nature. On y découvre qu’en privé, ces chercheurs disaient l’inverse de ce qu’ils
ont publié. Ils savaient que leurs conclusions sur l’impossibilité d’une fuite de laboratoire étaient
fausses, mais ont préféré le cacher et protéger leurs intérêts et ceux de leur techno-caste. On
évoque des financements en attente pour leurs projets respectifs et des pressions des autorités
scientifiques.
Et comme le montre cette l’enquête, l’éthique est au cœur des préoccupations des chercheurs.
Florence Débarre en tient pour le chien viverrin. Le pangolin, premier coupable de la
transmission entre chauve-souris et humain, ayant été disculpé, elle a trouvé un nouveau suspect.
Une question demeure sans réponse. Pourquoi les origines de l’épidémie n’intéressent-elles
personne ? Même les inquisiteurs d’extrême-gauche rongés d’angoisse par la maladie, qui
réclament encore aujourd’hui toujours plus de contraintes pour leur protection, ne manifestent
nul intérêt pour la question. Ils préfèrent les QR-codes à la vérité, et nous serions « complotistes
et validistes ». Ils sont technologistes.
Mais la plupart ont oublié Tchernobyl et Fukushima et l’heure est à la décarbonation nucléaire
et verte. Pour préserver son confort matériel et intellectuel, on n’a pas trouvé mieux que le déni
et l’ignorance.
Le texte intégral :
https://www.piecesetmaindoeuvre.com/IMG ... fiques.pdf
Ou comment l'extrême-centre provoque impunément des millions de morts tout en méprisant ceux qui osent soulever l'hypothèse de leur responsabilité.
Ces gens là sont politiques, médias, chercheurs de hauts niveaux. Ils sont ignobles. Ils sont respectables. Ils sont respectés.
Continuez à leur faire confiance, ils continueront à nuus encoler.
Supert qui préfère inséminer naturellement qu'artificiellement