LeLama a écrit : ↑21 juin 2024, 21:35
GillesH38 a écrit : ↑21 juin 2024, 21:29
c'est nul comme argument, tous les trucs qu'on juge "trop grand" ou "trop petit" sont évidemment quantifiables, sinon ça n'a aucun sens.
GillesH38 a écrit : ↑21 juin 2024, 21:29
pourquoi tu dis qu'il est trop élevé en France, si tu ne sais pas l'estimer?
Bon, tu penses donc qu'un animal sait compter quand il va vers ou ya plus de nourriture ou qu'un enfant d'un an sait qui s'eloigne du feu trop chaud sait estimer numeriquement une temperature. Bonne journee a toi. C'etait une discussion comme d'hab. Je ne sais pas pourquoi je te reponds encore, ca finit toujours en un argument debilissime.
Le Lama, j'ai une question pour toi : meme sans savoir compter le PIB, est ce que tu classes les gens dont il est question dans cet article du Monde (réservé aux abonnés mais je t'en donne un extrait) dans les gens qui gagnent trop, ou pas assez ? dont il faut augmenter le revenu, ou dont il faut le réduire ?
https://www.lemonde.fr/economie/article ... _3234.html
Sous pression, les ménages ont du mal à boucler leurs fins de mois, une fois payées les charges fixes, l’électricité, le carburant, les assurances, et l’alimentation, et encore, en supprimant souvent les produits les plus coûteux. « Aujourd’hui, je ne vais plus au restaurant, à peine au cinéma, encore moins à l’opéra. Je voyage en rêve, je suis à découvert le 15 du mois, je paie mon garagiste en trois fois, et j’achète mes vêtements en seconde main », résume Anne, 50 ans, professeure certifiée à temps partiel et un enfant à charge.
Des dettes impossibles à apurer
Pour certains, la crise inflationniste s’est traduite par des dettes impossibles à apurer. « On voit arriver des gens qui n’auraient jamais passé notre porte avant, confirme Laetitia Vigneron, conseillère financière à l’Union des associations familiales (UDAF) du Cher. Des personnes qui travaillent, qui ont des crédits immobiliers ou des crédits voiture. » Entre janvier et mai, le nombre de dossiers de surendettement déposés auprès de la Banque de France a augmenté de 6 % par rapport à 2023. « Le prix des courses a explosé. Les gens n’arrivent plus à s’en sortir. On voit des dossiers de surendettement constitués uniquement de dettes de charges courantes : loyers, assurances, électricité », renchérit Céline Rascagnères, également conseillère financière pour l’UDAF, dans l’Aude.
Pour ces personnes ni riches ni pauvres, la dégringolade ne se fait pas ressentir uniquement dans le train de vie. Elle est aussi symbolique. « Dans ma tête, un prof faisait partie des classes moyennes supérieures, il pouvait s’offrir deux-trois restos mensuels, des voyages pour le plaisir, des loisirs pour se cultiver, une petite maison pour la retraite et de l’argent pour les enfants, explique Anne, la professeure. Je suis déclassée. » Un sentiment partagé par bon nombre de ses semblables.
tout le monde peut donner son avis bien sûr ?
Zan, zendegi, azadi. Il parait que " je propage la haine du Hamas".