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https://www.lefigaro.fr/societes/accide ... a-20250618La première explosion d'un airbag Takata aurait eu lieu en 2004, sur une route d'Alabama. Honda a effectué le premier rappel en 2008. Depuis, ce sont des centaines de millions de véhicules qui ont été rappelés à travers le monde.
Le freinage automatique d'urgence ou freinage autonome d'urgence (sigle AEBS en anglais) ou Freinage d’urgence automatique[1] (au Canada) est un dispositif qui permet à la voiture ou au camion de freiner automatiquement lorsqu'il détecte une collision imminente avec un véhicule, un piéton ou un autre obstacle détecté. Il a été introduit en tant que systèmes avancés de freinage d’urgence. Il est réglementé en tant que système actif de freinage d’urgence (AEBS).
Le Japon a été leader dans le déploiement de ce type de technologie pour améliorer la sécurité routière, avec 84,6% de véhicules équipés en 2018.
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Le freinage autonome d'urgence repose sur des capteurs de distance radar[24] éventuellement couplés à des caméras en stéréovision. À partir de ces données, le système de freinage estime les risques de collision, prévient le conducteur, et en cas d'urgence, actionne directement le freinage et anticipe le choc, par exemple en resserrant les ceintures de sécurité.
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https://www.msn.com/fr-fr/actualite/fra ... 459&ei=116Freinages fantômes : l’entretien des capteurs en question, une enquête ouverte
Article de Maël Pilven 19 aout 2025
https://www.20minutes.fr/auto/4171439-2 ... reparationRappel de voiture : Votre véhicule bientôt immobilisé lors du contrôle technique en cas de non-réparation ?
SÉCURITÉ•Les contrôles techniques pourraient se muscler à partir de 2026 avec la possibilité d’immobiliser les véhicules qui sont sous le coup d’une campagne de rappel en raison d’un dysfonctionnement dangereux pour la sécurité
la chasse aux airbags Takata est encore ouverte. Des campagnes de rappel ont été lancées pour remplacer les éléments défectueux mais de nombreux véhicules concernés circulent encore. Critiqué pour sa gestion « laxiste », le gouvernement a décidé d’accélérer les choses en la matière.
Depuis le 15 février dernier, lors d’un contrôle technique, le propriétaire d’un véhicule est informé s’il est concerné par un rappel, et invité à effectuer les réparations nécessaires. Cette mesure n’a rien d’obligatoire et aucune contre-visite n’est exigée pour vérifier que la réparation a bien eu lieu. Mais cela pourrait changer, rapporte L’Automobile Magazine.
Un contrôle technique plus strict
Un décret et un arrêté seraient en effet en préparation du côté des ministères de l’Intérieur et de la Transition écologique, selon la Fédération de la distribution automobile (FEDA). À compter du 1er janvier 2026, les propriétaires de voitures faisant l’objet d’un rappel pourraient être contraints d’effectuer très rapidement la réparation sous peine d’immobilisation du véhicule.
La nouvelle mesure aurait pour but de faciliter, grâce au contrôle technique, le rappel de véhicules dont les dysfonctionnements ont « des conséquences graves sur l’environnement, la santé publique ou la Sécurité routière », selon la FEDA. Pour cela, les constructeurs transmettront aux centres de contrôle technique toutes les informations relatives aux rappels.
Une immobilisation très rapide
Ainsi, au moment du contrôle technique, le garagiste pourra facilement vérifier si la voiture est concernée par un rappel grâce à son numéro de série (Vehicle Identification Number, ou VIN). Si c’est le cas et que les réparations n’ont pas été faites, le véhicule ne pourra circuler que jusqu’au soir même à minuit avant d’être immobilisé.
Les automobilistes devront donc se dépêcher de trouver un garage ou une boutique capable d’effectuer la réparation en espérant pouvoir obtenir une voiture de prêt en échange. Cette mesure ne devrait s’appliquer qu’aux rappels graves, comme celui des airbags Takata. La FEDA précise en effet que seuls les véhicules « présentant un danger grave, direct et immédiat » seront concernés.
