Séchage et lactofermentation sont à étudier car ils peuvent prendre une place très importante pour assurer la sécurité alimentaire en cas de risque de pénurie : en cas de chaos mais aussi tout simplement pour parer aux mauvaises récoltes...
Je n'ai pas encore approfondi au point de pouvoir écrire une thèse là-dessus mais je soulève la question pour que l'on n'oublie pas d'expérimenter...
Le séchage des plantes comestibles c'est simplement la soupe deshydratée... sans compter les fruits secs, et tout cela se garde très longtemps, même plusieurs années en cas de surplus, et sans nécessiter d'énergie.
Pour la lactofermentation il faut des pots en grès ou poteries, ou encore des fûts en bois : on peut y mettre et empiler presque n'importe quoi qui se mange en salant un petit peu, et çà se garde au minimum six mois et même une année entière. Les russes ont ainsi depuis toujours lactofermenté les feuilles de presque tous les arbres et ils mangeaient çà comme de la choucroute...
Plus récement on en nourrissait encore le bétail...chez nous c'est aujourd'hui l'ensilage.
Comme dit, en cas de nécessité, ce sont des méthodes intéressantes.
Il y en a un peu là :
http://fr.ekopedia.org/Lacto-fermentation