Glycogène a écrit :mobar a écrit :l'important c'est la diminution d'amplitude des cycles sur plusieurs périodes et l'intégrale de l'énergie déficitaire associée
Et donc, quelle est la valeur de cette intégrale, disons pour chaque année jusqu'en 2100, en % de l'énergie reçue en 2015 par exemple ?
Attention, si la valeur est de moins d'1%, je te rétorquerais la même chose que ce que tu assènes 15 fois par jour au sujet du CO2 qui représente moins d'1% de la composition de l'atmosphère...
La question n'est pas là!
Reprenons du début :
1- Le responsable de la température de la Terre, c'est le soleil, s'il n'existait pas la température sur Terre serait de -270°C
2- Si l'atmosphère n'existait pas les températures terrestres varieraient entre le jour et la nuit de plus d'une centaine de degrés, comme sur la Lune
3- L'atmosphère n'a qu'un rôle d'atténuation de ces variations, en journée les nuages réfléchissement une partie importante du rayonnement solaire, la nuit ils limitent le refroidissement en ralentissant à la vitesse de transmission de la chaleur vers le vide stellaire (effet parasol le jour, effet couverture la nuit)
La température moyenne (encore un concept approximatif dont les faudrait affiner les méthodes de calcul) traduit en fin de compte les variations :
- des émissions électromagnétiques du Soleil (facteur de premier ordre),
- de la couverture nuageuse (facteur de 2eme ordre), elle même résultat des phénomènes d'évaporation de l'hydrosphère et de l'évapo-transpiration générée par la biomasse (les arbres, animaux, humains ...)
- de la teneur en gaz qui s'opposent au refroidissement de la surface (facteur de troisième ordre) et non comme on veut nous le faire croire, réchauffent la surface (les climatologues devraient revoir leurs manuels de physique de seconde et intégrer dans leurs élucubrations le sens de propagation de la chaleur - du chaud vers le froid)
- de la masse de l'atmosphère (facteur de quatrième ordre) résultant de tous ces éléments (addition d'eau, de vapeur d'eau et de CO2 ) qui elle, gouverne la pression au sol et par conséquent une fraction de l'élévation de la température
Si on veut refroidir la Terre (encore une connerie, qui créerait plus de désagréments que de bénéfices), il faut jouer sur le facteur de premier ordre :
- soit en transformant le rayonnement solaire qui arrive au sol en travail ou en énergie utilisable (électrique, chimique, potentielle ...)
- soit en le renvoyant dans l'espace (ce qui équivaudrait à dilapider une énergie que le Soleil nous envoie gracieusement sans nous demander d'en régler la facture)
Les thuriféraires des GIEC et leurs prosélytes réchauffistes se gardent bien de proposer de telles solutions qui pourraient avoir pour conséquences de nous précipiter prématurément (ça finira par arriver quoiqu'on fasse) dans un age glaciaire avant l'heure, ce qui leur vaudrait assurément le bucher!