Kumplöthyst a écrit : ↑29 oct. 2021, 16:51
Vous avez été contaminé après avoir été vacciné et vous semblez n'en tirer aucune rancune ni aucun sentiment d'avoir été escroqué, c'est tout à votre honneur mais vous ne semblez pas vous préoccupez du prix exorbitant de ces vaccins et du coût de leur administration de la même façon que les observateurs mainstream et alors que le système de santé a du mal à assurer les soins de base; de même pour l'affaire du remdésivir.
Vous avez heureusement hérité d'une forme bénigne, cependant si vous aviez du être hospitalisé, j'espère pour vos reins que vous n'auriez pas bénéficié d'une perfusion de remdésivir.
Au fait n'avez vous évidemment pas songé que votre prompt rétablissement jouissait plus d'un variant bénin que de l'action de votre vaccin ?
phyvette a écrit : ↑29 oct. 2021, 18:04
Ah-ah-ah, le coût du vaccin, de 4€ à 15€, bigre...
Alors que les mêmes trouvent normal le remboursement de 2 tests PCR de confort par semaines à 45€, ou la journée de réanimation à 3000€.
vos références semble dater ou bien vous citez le prix de l'astra qui n'est quasiment plus utilisé; le prix est de 19.5 pour Cominarty et et 21.5 pour le Spikevax
https://www.lesechos.fr/industrie-servi ... pe-1336262
à celà s'ajoute une consultation codé "VAC" 25euros et normalement une prime payé par la cpam dans un second temps de 5.4 euros , en fait 15 euros car la prime de 9.6 vco se cumule en pratique avec vac qui est payé aussitôt mais le praticien la reçoit après.
https://www.medecin-occitanie.org/wp-co ... decins.pdf
il est donc facile de gagner rapidement 40 euros en 5 minutes car l'éligibilité et le consentement sont cliqués électroniquement par le praticien en 5 secondes avec parfois une vague question.
Par contre saisir un effet indésirable sur la pharmacovigilance de l'ansm prend beaucoup plus longtemps pour une simple consultation et manque de finir dans les poubelles de l'informatique et les méandres administratifs. il est donc plus rentable et moins risqué , à ce jour du fait de l'état d'urgence , pénalement , pour un jeune de faire du vaccin que de soigner.
Cependant le coût des effets indésirables qui sont nombreux à être signalé malgré les freins sera immense.
et pour rassurer alga et Noelia , il y a aura en effet un coût judiciaire car quelqu'un qui était en bonne santé et se retrouve très négativement dans " la balance bénéfice risque" comme disent les endoctrinés et ceux qui comparent les effets indésirables d'un remède à ceux de la maladie, va demander réparation voire sanction pour les décideurs actuels dont la défense sera assuré par la collectivité puisque nous sommes en état d'urgence.
Enfin la fracture sociale qui me parait plus sévère que celle de l'affaire Dreyfus constitue un coût inchiffrable.
Un PH (praticien hospitalier) pharmacien specialisé dans la pharmacovigilance et juriste en complément de formation évoque qlq manquements; bref un "covidiot" selon la désignation en vogue sur oléocène à savoir quelqu'un qui est privé de l'intuition évidente que le vaccin et la pass sont l'unique solution
Amine Umlil: Pharmacien des hôpitaux, praticien hospitalier, j’exerce au centre hospitalier de Cholet depuis 2002. Dans cet hôpital public, j’ai mis en place la pharmacovigilance dès 2002, la coordination des vigilances sanitaires dès 2007 à la demande de la haute autorité de santé (HAS), et le CTIAP (centre territorial d’information indépendante et d’avis pharmaceutiques).
Le 15 septembre 2021, j’étais suspendu de mes fonctions dans le cadre de l’obligation vaccinale contre la Covid-19, avec une interruption de ma rémunération et une interdiction d’exercer toute autre activité rémunérée. Une mort sociale en somme. J’ai ainsi rejoint la cohorte des professionnels qui ont été socialement désactivés de façon extrajudiciaire, sans jugement donc, ni même un entretien préalable. Je ne peux vous divulguer plus d’informations sur cette situation pour le moins inédite et en particulier sur les raisons précises de ma suspension. Car, ces informations relèvent du secret professionnel médical. En effet, la vaccination est un acte médical. La décision de se vacciner, ou non, relève du colloque singulier qui unit la personne à son médecin. C’est la personne qui prend la décision une fois qu’elle a été bien informée. Le paternalisme médical est révolu depuis au moins la loi de 2002. Les échanges enregistrés dans ce cadre sont protégés, de façon absolue, par ce secret médical dont la violation constitue une infraction pénale notamment.
Comme j’ai pu le préciser à plusieurs reprises, ma conception de cette indépendance de l’information ne m’empêche pas de considérer l’industrie pharmaceutique comme un partenaire, plutôt qu’un adversaire. Nous avons besoin d’une industrie du médicament performante. Mais, chacun doit rester à sa place : les laboratoires pharmaceutiques proposent tel ou tel médicament ; mais ce sont notamment le médecin et le pharmacien qui doivent analyser, de façon indépendante, le rapport bénéfice/risque de tel ou tel médicament mis à disposition. Ce sont essentiellement ces deux professionnels de santé qui devraient former, le cas échéant, un bouclier protecteur du public face à un éventuel mésusage des produits pharmaceutiques.
"L’urgence ne saurait justifier l’administration d’un médicament dont le rapport bénéfice/risque n’est pas démontré"
Un vaccin mis sur le marché en décembre 2020 avec seulement « 1,5 mois » de recul sur les essais cliniques comme cela est relevé par la haute autorité de santé (HAS) ; alors qu’il faut minimum dix ans en moyenne pour évaluer le rapport bénéfice/risque d’un médicament et que, même avec une telle durée d’évaluation relativement longue, ce nouveau médicament est considéré comme insuffisamment évalué. Les essais cliniques de ce vaccin sont d’ailleurs toujours en cours
Une prescription politique et médiatique de ce vaccin qui semble avoir supplanté la prescription médicale d’un tel médicament
Des autorités sanitaires ad hoc (agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) ; haute autorité de santé (HAS) ; direction générale de la santé (DGS) notamment) qui constatent l’absence ou l’insuffisance des données sur le rapport bénéfice/risque dans telle ou telle population (personnes âgées de plus de 75 ans, femmes enceintes et allaitantes, immunodéprimés ou personnes sous médicaments immunosuppresseurs, enfants, etc.), mais qui recommandent malgré tout l’injection de ce vaccin chez ces personnes ;
Des contradictions relevées concernant même l’efficacité du vaccin quant à la prévention des formes graves. La construction même de l’essai clinique n’avait pas pour but de démontrer une telle efficacité. Des personnes vaccinées qui ont toujours peur de la Covid-19 ;
Malgré l’aveu du conseil scientifique alertant sur l’inefficacité du vaccin sur la transmission virale, les restrictions aux droits et libertés fondamentaux se poursuivent dans l’indifférence du Conseil d’État, notamment. Une indifférence qui pourrait être regardée comme un déni de justice ;
Un parlement qui ne semble plus vouloir, ou pouvoir, contrôler le gouvernement ;
Un ministre des solidarités et de la santé qui fait la promotion du vaccin auprès du public ; et parallèlement, discrètement, remet en cause l’efficacité de ce vaccin lors de certaines instances introduites, par des citoyens, auprès du Conseil d’État ;
https://lecourrierdesstrateges.fr/2021/ ... -le-debut/
https://ctiapchcholet.blogspot.com/2021 ... ution.html